La Régionalisation Avancée Un Choix Stratégique

ROLE DES ORGANISMES/ORGANISATIONS CONCERNES PAR LE SECTEUR DANS UN OU PLUSIEURS PAYS DANS LA GESTION DE LA CRISE ECONOMIQUE. PARTIE 3 : ETUDE DE CAS (COMPARAISON ENTRE LE TOURISME AVANT LA CRISE COVID 19 ET A L’ERE DU COVID – PLANS DE RELANCES STRATEGIQUE)) CONCLUSION INTRODUCTION : - OMT Le tourisme est donc l’expression d’une mobilité humaine et sociale fondée sur un excédent budgétaire susceptible d’être consacré au temps libre passé à l’extérieur de la résidence principale. En effet

les pouvoirs publics pour la mise à niveau de l’économie nationale et ce, eu égard aux évolutions économiques que connaît le pays depuis quelques années ainsi qu’aux engagements du Maroc dans des accords de libre échange. a- Les Objectifs stratégiques de la réforme La réforme portuaire en cours s’est fixée comme objectif de rehausser le niveaude la compétitivité des ports marocains aux standards internationaux notammenteuropéens.Dans ce but, elle prévoit : * La séparation des trois fonctions

étatiques nationales. Cette mondialisation est une réalité pour tous mais elle inquiète aussi beaucoup : o Les entreprises bénéficient de marchés plus vastes mais sont aussi confrontées à une concurrence plus forte, o les ménages ont davantage de choix parmi les biens de consommation disponibles, mais la mondialisation peut aussi être violente en mettant les travailleurs en concurrence, ce qui a pour conséquence salaires à la baisse, flexibilité, fermeture d’entreprises … o Les citoyens craignent

actualités...... 6 Section 2, Les composantes et la mesure du capital immatériel ............................... 9 Chapitre 2 : La richesse immatérielle des nations : un regard sur le Maroc .................. 13 Section 1, Le Maroc à l’heure du choix d’immatériel : En quoi consiste le capital immatériel du Maroc? Quel est son rôle dans le développement du pays? Zoom sur un concept économique qui fait son apparition ........................................................................ 13 Section

certains pays toutefois – associés, au niveau régional et local, à la gestion de ces services, dans le cadre d’orientations fixées par les administrations nationales. Ces transferts de compétences résultent d’une volonté de décentralisation ou de régionalisation de ces services. Ces attributions, difficiles à assumer, peuvent inciter les partenaires sociaux à transposer des conflits locaux ou des comportements corporatistes au sein de ces services ou à s’engluer dans des tâches de gestion. Dans de nombreux

marchés internationaux et ce d’autant plus que l’Afrique souffre toujours d’une faible intégration dans le marché mondial (voir le rapport de la Banque mondiale sur les perspectives économiques 2005). Si l’Asie, par son poids démographique, son avancée technologique et le dynamisme de son économie, s’impose désormais comme un acteur important dans le cadre des échanges internationaux, la nécessité d’encourager et de développer les relations de coopération éco- DÉVELOPPEMENT PAR MAURICE FOUDA

le droit fil de cet objectif politique. 18 analyses sectorielles, une seule méthodologie Les résultats de ce projet d’étude doivent permettre d’identifier les orientations de nouvelles actions européennes en vue de promouvoir la gestion stratégique des ressources humaines et de renforcer les synergies entre l’innovation, les compétences et l’emploi, compte tenu du contexte mondial, mais avec le souci d’encourager les adaptations aux contextes national et régional. Pour valider les conclusions

France, de l’Italie et de la Belgique. Chapitre 5 : Les premiers pas et les concessions réciproques (1988-1989). 5.1-Le rapport Delors : avancées et limites. 5.2-L’affirmation de la construction européenne. 5.3-Les premières formes de coopération européenne. Chapitre 6 : Les suites du rapport Delors (1989-1991). 6.1-Le contre-projet britannique. 6.2-Les avancées du rapport Delors. 6.3-Le traité de Maastricht. Chapitre 7 : De l’Ecu à l’Euro (1992-1998). 7.1-Le nom de la monnaie européenne. 7.2-Le «

population est estimée à 450 000 habitants a un PIB par habitant de 10 660 euros1; il est inférieur de 44 % à celui de la métropole. Pourtant, l’archipel est parmi les îles les plus développées de la zone Caraïbe disposant d’une infrastructure très avancée. En 2000, l’économie de l’archipel, très dépendante de l’extérieur, repose principalement sur le commerce et le tourisme. Entre 1996 et 2000, le nombre d’entreprises a augmenté de 6 % pour atteindre 30 000 entreprises. Parmi celles-ci, 11 000 sont

faible, il est évident que l’un des plus graves problèmes de la décentralisation est son financement. Les modalités de financement des dépenses administratives et d’investissement représentent des obstacles qui limitent non seulement la portée des avancées sur le plan légal, mais aussi marginalisent la grande majorité de la population haïtienne vivant à très fort pourcentage dans les zones rurales. Les politiques actuelles de financement des collectivités territoriales créent des disparités entre