La Relation Des Personnages Phèdre

ETUDE DES PERSONNAGES DANS PHEDRE EN RAPPORT AVEC LA MYTHOLOGIE : ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Les Exposants : 1. Souleymane Bakhayokho 2. Pape Amadou Mbaye 3. Tayir Fall 4. El Hadj Babacar Diop 5. Amadou Woury Diallo 6. Mass Diallo 7. Sidiya Bodian ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ PLAN : Introduction I. Personnages principaux dans Phèdre  II. Les personnages secondaires  III. Les personnages mythologiques dans le roman Conclusion  ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++

passion interdite I/Un amour non réciproque L’amour entre Phèdre et Hippolyte ne peut exister car c’est une passion non-réciproque. Elle se décrit comme étant atteinte « d’un incurable amour » pour lequel les « remèdes [sont] impuissants » (283). L’adjectif antéposé incurable fait allusion à la malédiction de Vénus, qui lui a infligé cet amour. Le mot impuissant placé à la rime prouve que Phèdre ne peut s’empêcher d’aimer. Cependant, Phèdre est détesté par Hippolyte, c’est elle qui « pressai[t] son

Francisca Corona Commentaire Phèdre – La Negresse Blonde George Fourest, écrivain et poète français (né le 6 avril 1867 et mort à Paris le 25 janvier 1945), est l’auteur de deux recueils de poèmes inspirés sur des œuvres de grands auteurs comme Corneille, Racine et Victor Hugo, mais réécrites de façon burlesque. Un de ces recueils s’intitule La Négresse Blonde et a été publié en 1909 : là, Fourest s’amuse à élaborer des résumés parodiques des grandes pièces de théâtre et des pastiches des poète

les rapports entre les hommes ? Plan détaillé  Les types de relations A)Relations familiales → Andromaque;un rôle difficile du personnage éponyme car elle est à la fois la mère et l'épouse: elle est donc partagée B)Relation politique → Ruy Blas et Don Salluste ; déjouer le plan C)Relation amoureuses → Hernani-Dona Sol ; amour pur → Hippolyte-Phèdre ; relation interdite D)Relations religieuse → Tartuffe-Orgon : un faux dévot (un vrai libertin) avec

français. Le début du succès. 1655 : Alexandre le Grand → Succès incroyable sur la scène du Palais-Royal. Confiée a la troupe de comédiens la plus admirée dans le genre tragique, à l'Hôtel de Bourgogne. Son apogée. Phèdre → représente l’apogée de l’œuvre tragique de Racine. Protégé et admiré par le roi. 1672 : élu à l'Académie Française → Il atteint le sommet de sa carrière. Racine à St Cyr. Esther : tragédie biblique avec chœurs. Représenté pour

a) un encrage réaliste Zola justifie cette épisode en quelques mots : "Un soir, Renée et Maxime assistent à une représentation de Phèdre" (l.4). Le lieu est donc défini puisque c’est le théâtre Italien qui est une référence identifiable pour le lecteur d’un roman réaliste. L’encrage réaliste est également donné par la référence à l’actrice Italienne qui joue Phèdre. En effet, celle-ci appelée Ristori qui est une tragédienne célèbre. Il est donc tout a fait vraisemblable que Maxime et Renée l’est

ZINGRAFF AMANDINE 2ND 07.02.10 Fiche de lecture 1 |Phèdre, de Jean-Racine | I/ Présentation de l’ouvrage, biographie de l'auteur. Jean Racine est né dans une famille de petits notables le 21 décembre 1639. Orphelin dès 4 ans, il reçoit une éducation janséniste à Port Royal. Il étudie la philosophie au Collège d’Harcourt, puis il écrit ses premiers poèmes. Après

FICHE III - La genèse de Phèdre 1- Mythologie L’Antiquité constitue un substrat culturel ordinaire dans les arts et la littérature du XVIIème siècle. Les personnes cultivées de cette époque entretiennent un rapport de proximité avec la mythologie gréco-romaine. Ils voient dans les personnages mythologiques une portée symbolique qui peut référer à des situations ou des personnes contemporaines. Ainsi, pour le divertissement royal du Carnaval de 1670 au château de Saint-Germain, Louis XIV

INTRODUCTION Phèdre est une pièce dont le personnage central est évidemment la femme animée d’une passion interdite avec laquelle elle mène un combat mortel. La pièce débute par une scène d’exposition, c’est ensuite le personnage d’Hyppolyte, objet d’amour qu’ignore encore le spectateur, qui apparait sous un jour incertain. C’est enfin la passion amoureuse elle-même, sujet tragique essentiel 17e siècle qui reçoit une définition contradictoire et entretient des relations complexes avec le langage

schémas actantiels correspondant aux trois intrigues en cours dans Phèdre. On relève d’emblée des traits communs : - chaque personnage apparaît finalement isolé dans une parfaite incommunicabilité ; - hormis Oenone, les confidents n’apparaissent pas ; ils s’en tiennent à des rôles d’observateurs passifs. Quant aux initiatives d’Oenone, elles ne sont pas récompensées. Elles seront interprétées comme une trahison : Phèdre : « Ainsi donc jusqu’au bout tu veux m’empoisonner, Malheureuse ? Voilà