La Redistribution Des Revenu Et La Croissance

d’allocations par l’Etat. Ce sera le cas pour le minimum vieillesse, l’allocation de solidarité ou le Revenu minimum d’insertion (RMI) par exemple. La redistribution a pour objet de modifier la répartition des revenus dans une société. On distingue : • la redistribution horizontale qui, sur le principe de l’assurance, effectue par exemple le transfert de ressources des actifs vers les retraités ; • la redistribution verticale, sur le principe de la solidarité et de la correction des inégalités, qui transfère

.......................................................... 7 Évolution des prélèvements obligatoires sur la période 2012-2013 ......................... 17 Dossier I : Le rôle de la progressivité des impôts pesant sur les ménages dans la redistribution ........................................................................................... 31 Dossier II : Écarts de taxation implicite des bénéfices entre grandes et petites entreprises ......................................................

consommations intermédiaires (diapo 8), valeur ajoutée (diapos 10 et 11), production marchande (diapo 12), production non marchande (diapos 13 et 14), FBCF (diapo 17), EBE (diapo 20), dividendes (diapos 18 et 20), taux de marge (diapo 23), revenus primaires (diapo 30) ; revenu disponible brut (diapo 33). Je connais : * Des exemples illustrant la notion de capital circulant (diapos 2 et 3). * Des exemples illustrant la notion de capital fixe (diapos 2 et 3). * Le critère utilisé par l’insee

développement de l’économie, sans oublier la redistribution de la richesse. Mesurer l’efficacité de la politique fiscale, c’est donc évaluer sa performance au regard des trois fonctions de la politique. Section1 : L’interventionnisme fiscal comme moyen de développement économique  La fiscalité, devenue l'instrument économique le plus important, remplit trois rôles : l'allocation des ressources (1), le contrôle du niveau économique (2), la redistribution (3). Sous section 1 : Les motifs

Inégalités et Croissance Parmi les 15 pays les plus égalitaires selon l’indice de Gini de distribution des revenus, 14 sont des pays européens, et parmi les 15 pays les moins égalitaires, 9 sont sud-américains et 6 sont africains. On peut donc remarquer que les pays industrialisés, les pays les plus développés économiquement, c’est-à-dire qui ont connu ou connaissent encore une forte croissance sont moins inégalitaires que les pays en développement ou les moins avancés. Pourtant parmi ces pays

progressivement contester un système ou ses droits sociaux sont méprisés, via des manifestations, des grèves. On va pouvoir noter aussi l'organisation de cette classe via les syndicats qui s'organisent pour réclamer des droits sociaux, en parallèle d'une croissance du mouvement socialiste. Ainsi petit à petit le besoin d'une prise en charge de cette question ouvrière va se répandre. → Dès lors la question sociale apparaît sous une nouvelle nature : auparavant, elle concernait les exclus de la vie sociale

niveau des impôts et leur structure sont elles de nature à rendre notre économie plus compétitive et notre société fondamentalement plus équitable ? L’impôt, comme le prétendent certains libéraux, est-il vraiment l’ennemi de l’emploi et de la croissance ? N’y a-t-il pas lieu de penser que les impôts, loin de constituer uniquement des « distorsions négatives », sont également indispensables au bon fonctionnement de l’économie de marché ? Finalement, quelle(s) réforme(s) faudrait-il adopter pour

nécessité de l’intervention de l’Etat en raison des imperfections des marchés. Séquence I : La politique économique Le chômage, l’inflation, le déficit du commerce extérieur, l’instabilité de la valeur de la monnaie nationale, l’inégalité des revenus, la pauvreté, l’analphabétisme…sont autant de problèmes socio-économiques qui nécessitent l’intervention de l’Etat comme un agent suprême. De ce fait, l’Etat a toujours une place importante dans tous les volets de la vie sociétale : économie, politique

parlant, le système fiscal marocain a connu une grande refonte à partir de 1985 dans le cadre du Plan d’ajustement structurel. Cela s’est traduit par la mise en place de la TVA en 1985, de l’Impôt sur les sociétés en 1986 et de l’impôt sur le revenu en 1990, tout en maintenant les Droits d’enregistrement et du timbre, introduits depuis le début de l’époque coloniale. L’intérêt du sujet s’avère d’une grande importance dans la mesure où il nous permettra d’étudier en profondeur le concept de

résultant de versements volontaires et/ou ayant une contrepartie immédiate (redevance audiovisuelle par ex.) ; • Prélèvements obligatoires : o les impôts (directs et indirects) : prélevés sur l’ensemble des contribuables sur des bases très diverses (revenus, patrimoine, biens et services, etc.) ; o les cotisations sociales : prélevées sur les salaires au profit des organismes de protection sociale ; o les taxes fiscales : perçues sur les particuliers à l’occasion de la fourniture d’un service, sans équivalence