La Recherche Du Bonheur Est Elle Un Idéale égoiste

Résumé de l’Utopies L’utopie : décrit une société idéal qui ne peu pas être réaliste « la société idéal »  Plusieurs étapes de la société idéale dans l’histoire (utopiste) : * Les sociétés socialistes : Le socialisme utopique se caractérise par la volonté de mettre en place des communautés idéales modèles selon des modèles divers, certaines régies par des règlements très pénibles, d'autres plus libertaires ; certaines communistes, d'autre laissant une plus grande part à la propriété individuelle

n’espérait pas obtenir en retour une certaine satisfaction, voire être heureux en devenant médecin ? Ne serait-ce pas l’espoir d’être heureux qui constitue le motif de son acharnement au travail ? D’une manière plus générale, n’est-ce pas le bonheur que les hommes visent à travers tous leurs projets et toutes leurs entreprises ? [ Enoncez le sujet en toutes lettres ] Bref, vivons-nous pour être heureux  ? [ Analyse

de leur porter préjudice? ® Le problème que soulève cette question est donc le suivant : Si les hommes ne vivaient en société que par pur égoïsme individuel, la recherche de la justice et de la liberté auraient-elles pu apparaître ? Et même si l’égoïsme est à l’origine de ces valeurs, ne peut-on pas les considérer comme des idéaux qui dépassent le seul désir de défendre des intérêts individuels ?   Développement 1)          les hommes vivent en société avant tout par intérêt. · Les

possible. Les hommes cherchent naturellement le bien pour eux : même le « méchant » pense faire le bien, si ce n’est pour autrui, au moins pour lui-même. Par ailleurs "tous les hommes cherchent le bonheur", dit Aristote, justement parce que le bonheur représente en général l'ensemble des biens souhaitables… Le Bonheur pourrait se définir comme la satisfaction complète et durable de tous nos désirs, ou à défaut des plus importants. C'est en quoi il faut le distinguer des simples plaisirs passagers, et même

Le bonheur et le plaisir sont deux notions qui portent à confusion. Le plaisir est une forme de satisfaction mais c'est une satisfaction comprise comme plus limitée et plus ponctuelle: avoir une maison, une famille, une voiture; on prend du plaisir à de telles actions sur le moment où on le fait. Ce caractère fugace et éphémère du plaisir a souvent été dénoncé par les philosophes, comme si la quête du plaisir était obligatoirement une quête dont la satisfaction se trouvait limitée par la nature même

optimistes, pour qui le bonheur comme "état de satisfaction totale" est possible (Spinoza, Montaigne, Diderot), voire facile (Épicure) et les pessimistes, pour qui il est difficile (Rousseau), voire impossible (Pascal, Schopenhauer, Freud). D'autres, comme Kant, opposent la recherche du bonheur et la réalisation de la loi morale (on ne peut pas chercher à être heureux en suivant la loi morale; néanmoins, on ne peut pas parler d'une condamnation de la recherche du bonheur). Nietzsche lui, la critique

II. La conception du bonheur A. Conception de Lui : épicurienne Conception en plaisirs et non en devoirs, individualiste et matérialiste, refus de toutes valeurs = libertin => champ lexical du plaisir + chiasme ; énumération : « boire de bon vin, se gorger de mets délicats, se rouler sur de jolies femmes, se reposer dans des lits bien mollets ». Conception provocatrice car remise en cause de la conception chrétienne, altruiste et vertueuse, remise en cause même de la société : « Tant

suite logique dans les idées. Tocqueville : « les idées sont reliée entre elle ». La philosophie (de façon générale) s’est occupée du bonheur (savoir comment vivre dans le bonheur). Comment le pouvoir peut me permettre d’accéder au bonheur ? On ne voit qu’un aspect de la philosophie, c'est-à-dire savoir comment la société s’organise pour pouvoir accéder au bonheur. Dans l’histoire des idées politiques, pour que l’homme soit heureux, il faut qu’il soit libre c'est-à-dire que l’on reconnaisse ses

Remarques générales : Notion qui engage de nombreux rapports : Il se rattache à autrui dans la vie affective (les passions, dont les principales sont amour et ambition). Mais il peut également ne pas concerner autrui : il peut viser un idéal ; désir d’éternité (ex : désir d’immortalité dans la religion, désir de création dans l’art, désir de vérité dans la philosophie, désir de connaissance dans le savoir). Le désir vient toujours d’un manque. Si nous désirons, c’est parce que nous

Commentaire Fénelon Les Aventures de Télémaque (1699) Livre XIV La descente aux enfers de Télémaque Fénelon avec Les Aventures de Télémaque s'inspire du livre IV de L’Odyssée. Il imagine Télémaque à la recherche de son père Ulysse et réécrit l’épisode de la descente aux enfers en l'adaptant aux problématiques de son époque. Quel registre personnel l'auteur apporte-t-il à ce mythe ? Nous verrons que, tout en respectant les codes de l’épopée traditionnelle, Fénelon poursuit une visée didactique