La Recherche Du Bonheur Est Elle Un Idéal Moral

Ch. 17 I) Les caractéristiques de l’Utopie 1- Le luxe et la richesse -Eldorado = Endroit où il y’a de l’or, recherché par les conquistadores mais jamais atteint. -Champ lexical de la richesse : « or » « rubis » « émeraudes » etc. * les maisons sont excessivement luxueuses : elles sont "bâties comme des palais d'Europe " * les vêtements indiquent la richesse du peuple, même ceux des enfants : ils sont "vêtus de draps d'or" * l'abondance : Le repas est pantagruélique : les plats sont

l’excellence de la morale Ouvertement sceptique à l’égard du régime démocratique athénien. La démocratie confie la politique à des hommes désignés par le suffrage d’une foule ignorante ou par les lois du hasard. La politique pour Socrate est un art. Elle exige une excellence morale. * La soumission aux lois de la cité  Socrate ne condamne pas le nomos (la loi civique établie par les hommes). Il lui voue un respect sans borne car elle est établie pour le bien des citoyens et recherche la plus grande

Chapitre 2 : Le bonheur Bonheur = heureux hasard = état de bien-être stable et durable lié à la satisfaction du désir. Bonheur -> désir : manque dt on a conscience -> plaisir : satisfaction du désir -> besoin diff du plaisir : nécessaire. I) Bonheur et désir 1 – Les tyrans sont les hommes les plus heureux Platon, « République II » : Gorgias : les tyrans sont les plus heureux car ils font tout ce qu’ils veulent => Mythe de l’anneau de Gygès : Gygès trouve un anneau qui est un anneau d’invisibilité

Faut-il vouloir le bonheur ? Faut-il vouloir le bonheur ? Et pourquoi faudrait-il ne pas le vouloir ? La pensée commune s'accorde à dire que la recherche du bonheur est un but naturel auquel tout homme aspire. L'homme se met naturellement à la recherche du bonheur car celui-ci apparaît comme étant son essence même. Chaque homme poursuit un but dans la vie, et chacun de ces buts, tels que l'argent, l'amour, le pouvoir ou bien la gloire, lui permet de tendre vers le bonheur. La question: "Faut-il

org/wiki/Perfection [en ligne] (page consultée le 7 avril 2011) Volumes : FORMEY, Jean-Henri-Samuel, Essai sur la perfection: pour servir de suite au Système du vrai bonheur, Paris, chez Sorli, 1751, 90 pages II. RÉSUMÉ DES SOURCES Le livre Essai sur la perfection: pour servir de suite au Système du vrai bonheur est un traité philosophique écrit en 1751 par Jean-Henri-Samuel Formey, un auteur reconnu de son époque. Homme de lettres et pasteur, Formey s’autorise la réflexion sur

philosophie Bonheur (comp. De bon et de heur, du lat. pop. Agurium, dér de augurium, augure, chance). Psy. Mor. Etat de satisfaction complète de toutes les tendances humaines ; dist. Le plaisir, à la fois incomplet et passager. A la différence des termes béatitude, félicité, il y a dans celui de bonheur l’idée qu’il est dû à une chance extérieure favorable (heur), opp. Malheur ; v. Eudémonisme. L-M. Morfaux, Vocabulaire de la philosophie et des sciences humaines Définition kantienne du bonheur Le

plus courageuse. Premièrement, le bonheur pour les Stoïciens c’est la recherche du bien moral. Déjà là, nous pouvons observer que le bonheur, pour eux, n’est pas individualiste ou axé sur eux-mêmes. Du point de vue du Stoïcisme, il n’existe pas d’autre bien qui, acquis seul, puisse apporter le bonheur que celui du bien moral. Les biens extérieurs ou matériels comme la gloire ou une voiture ne servent à rien. Ils ne contribuent aucunement à la vertu du bonheur puisqu’il consiste dans le plaisir et

politique dans lequel ils vivent ne leur permette plus de vivre et de reconvertir leurs anciens idéaux à leur niveau d’individu => repli des idéaux dans l’intériorité de la vie spirituelle. La meilleure preuve de cette tendance c’est l’apparition de deux écoles philosophiques nouvelles et concurrentes : l’épicurisme et le stoïcisme. Ces deux écoles sont aux antipodes des idéaux mais qui obéissent à ce repli des idéaux. 300 ans avant JC => fondation de l’école stoïcienne à Athènes. Le fondateur de cette école

BONHEUR Semble être le bien suprême auquel aspirent les hommes. Semble dépendre de la fatalité et du hasard. Définit comme un état durable de complète satisfaction et d’harmonie. Pour savoir ce qui procurer satisfaction il faut en faire l’expérience. La sensibilité diffère d’un homme à un autre et varie au cours de l’existence. Bonheur=> idéal de l’imagination Le désir est un manque et donc souffrance Schopenhauer=> souffrance essence de la vie. La satisfaction est éphémère

IV- La Morale La Liberté On peut envisager la liberté sous deux aspects principaux : L'individu face à lui-même : - Tout objet est déterminé par une loi de causalité universelle. L’esprit est soumis à cette loi au même titre que la matière. Toute action, décision est donc le résultat d’un ensemble de causes antérieures. Ce qui permet de dire que l’individu est déterminé par son histoire, c'est-à-dire par un ensemble de causes et d’évènements antérieurs.Notre liberté est alors dépendante