La Question De L Homme Par Argumentation Directe

les didascalies (Silvia vs lisette) • Augmentation du comique de situation car chacun des personnages croient tromper l’autre (cf. apartés) • L’identité est ce sujet de conversation : augmentation comique de situation (apartés de Silvia : « quel homme pour un valet ») à Donc scène de qui propos proche de la mise en abime mais on les reconnaît C’est donc le comique qui importe 2) Le comique de mot • • Lié au comique de situation. On a tout un jeu sur le lexique « L’histoire de tous valets

défendu ; négatives pour le point de vue refusé. 2. S'adapter au destinataire Le souci de l'effet à produire est très fort dans le discours argumentatif, puisque l'auteur cherche à convaincre, il doit connaître son destinataire et disposer son argumentation en fonction de ce qu'il sait de son caractère. L'adaptation calculée du langage à l'auditeur(听众) relève parfois de la manipulation. C'est le cas lorsque les propos ne sont adaptés aux attentes du destinataire que pour tromper celui-ci. • en préparant

les fronts de la contestation : intolérance, torture, guerre, esclavage. La question de l’inégalité hommes-femmes et, son corollaire, la dépendance des femmes à l’égard de leurs maris, est l’un des sujets de société qui l’ont passionné, tout comme ses contemporains Marivaux et Beaumarchais. Présentation de l’œuvre : Ici, le genre choisi pour mener ce combat des lumières ne relève ni du théâtre ni de l’argumentation directe, mais d’un genre hybride, à mi-chemin entre le récit, le dialogue, le discours

 ARGUMENTATION I - Les démarches de l’argumentation - L’ironie : affirmer le contraire de ce que l’on veut faire entendre. - Convaincre : faire appel à la raison du lecteur (indices de l'énonciation rares ou absents, structure claire et rigoureuse, procédés tels que la concession…) - Persuader : faire appel aux sentiments - Délibérer : discuter et analyser une situation en vue de prendre une décision. On mobilise des arguments contradictoires afin

commencée, après un repas (déjeuner ou dîner). B – Le contexte narratif La courbe de tes yeux : lecture analytique L’intrigue se dessine également assez vite : Georges Duroy, le protagoniste, apparaît dès la première phrase. C’est un jeune homme pauvre (« il lui restait juste en poche trois francs quarante pour finir le mois ») qui mène une vie modeste ; son seul « grand plaisir » est d’aller boire une bière le soir (« deux bocks sur le boulevard »). Il semble assez indécis sur ce qu’il

développant les concepts de substance, d’essence, d’auto causalité, d’autodétermination. Sa pensée ne sera reconnue qu’après sa mort, et elle inspira moult philosophes. Churchill (1874-1965) est un homme politique britannique. Surtout connu pour avoir dirigé le Royaume-Uni pendant la Seconde Guerre Mondiale, cet homme d’Etat en est le premier ministre de 1940-1945 et puis de 1951-1955. Il a également exercé les activités d’officier dans l’armée britannique, de journaliste, d’historien, d’écrivain lauréat

entre les mains d’un seul homme, alors tout est sous la volonté de cet homme même si l’ensemble du peuple est en désaccord avec lui. Le peuple ne possède donc d’aucune possibilité pour pouvoir exprimer son avis. Il faut donc par exemple un juge constitutionnel pour assurer la constitutionnalité des lois dans le droit constitutionnel.5. Ces principes ont évolué car nous sommes sous la 5e république et que le chef d’Etat est élu directement par le peuple (suffrage universel direct), cela veut dire que la

Plan I Eloge de l’inconstance amoureuse et blâme de la constance amoureuse a) Eloge b) Blâme II Le lecteur retrouve le Don Juan traditionnel… a) Don Juan, un homme libertin qui déborde de plaisir b) Don Juan, un homme insoucieux des sentiments féminins qui accumule les conquêtes III ...Mais découvre un Don Juan brillant (orateur éloquent) a) Une tirade inattendue b) Un discours remarquable c) Un Don Juan, une victime * Première approche : - Cette deuxième scène de l’œuvre

peut-on comprendre par « interrogation » ? On pourrait partir du principe que la question est l’outil de l’interrogation, la forme de quelque chose de plus général, tendant vers la pragmatique. L’interrogation a donc partie prenante avec l’énonciation. D’un point de vue terminologique nous parlerons de locuteur quand il s’agira de celui qui émet l’interrogation et de destinataire pour celui qui reçoit cette question. Bien entendu il ne s’agit pas pour nous de donner des limites au sujet, si vaste

comme le prouve la présence du discours indirect et direct : - Alternance entre discours indirect et direct: discours indirect (lignes 4 à 6) / discours direct (lignes 13 à 25) / paroles rapportées (lignes 25 à 30)/discours direct (lignes 30 à 52) - Interlocuteurs différents: ligne 4 « on lui dit que», lignes 8 « plusieurs », « les uns », « d'autres » : au début masse indistincte (« compagnie » (l.26)) puis une voix s'élève « un petit homme noir » (l.25) - Verbes de parole: « dire » puis