La Puissance Imperiale

général : la Gaule en particulier est marquée par l’apport de Rome, de l’Eglise et des Germains : Barbares. I.Rome Rappels : 1)La progression impériale Depuis Auguste (avant Octave) Princeps. L’empire héritier de la rep romaine a su attribuer au régime politique un caractère durable (-27) au 2e s ap J-C l’urbs (la ville) . L’urbs est au sommet de sa puissance, empire riche et actif grâce aux esclaves. Il est bien unit socialement puisqu’en 212 un empereur Caracalla : la citoyenneté. Rome a créé le

En 1853, Napoléon III épouse une jeune fille de la grande noblesse espagnole, Eugénie de Montijo, fille du comte de Teba. Ensemble, ils ont un fils : Eugène Louis Napoléon, « prince impérial » né en 1856 et tué en Afrique australe par les Zoulou en 1879. L’impératrice, à laquelle Napoléon III n’est pas fidèle tout en lui témoignant du respect, exerce une influence importante sur les affaires politiques. Très catholique, favorable à une politique conservatrice, elle contribue sans doute à favoriser

si puissant. Tout d’abord l’empire romain avec la mort de Domitien, vu disparaitre la seconde dynastie impériale romaine (les flaviens). Ainsi le Sénat choisit comme empereur Nerva, « un vieillard qui avait la réputation d’être un homme juste et sage. (…) Nerva prouva sa sagesse en se choisissant lui-même un successeur , beaucoup plus jeune que lui ». Trajan fut donc choisi, la dynastie impériale des Antonins commença. Il fut succédé par Hadrien, qui fut un des derniers empereurs sous lequel la littérature

d’Espagne à la mort de son grand-père Ferdinand d’Aragonne en 1516, et empereur du Saint-empire romain germanique, en 1519, à la mort de son grand-père en ligne masculin Maximilien d’ Habsburg,. Grâce à l’heredité paternelle il avait agrandi sa puissance avec les Pays Bas aussi N. B. Il est vrai que la dignité d'empereur, dans le Saint-empire romain germanique, n'était pas héréditaire : elle était conférée par l'élection; mais il arrivait fréquemment que les princes-électeurs (Les princes-électeurs

Histoire des institutions Charte de 1814 Le 31 mars 1814, les puissances alliées arrivent à Paris, suite à la défaite de Napoléon 1er( en octobre 1813 à Leipzig). Ce dernier n'ayant aucun sang noble pour justifier son ascension, tient son rang uniquement du soutien du peuple français, ce qui permet au Sénat impérial de voter sa destitution le 3 avril 1814, entraînant son abdication le jour suivant. Les monarchies européennes qui occupent le pays, forcent par la suite le

Fujiwara. Dôkyô est banni. - 784 : déménagement de la capitale à Nagaoka (actuel Yamashiro山城). Mais meurtre de l’un des membres de la famille impériale Fujiwara. On pense alors que le lieu est maudit. - 794 : nouveau déménagement de la capitale à Heian平安, l’actuel Kyôto. Epoque de Heian平安 (de 794 à 1185) Début du Japon féodal et apogée de la Cour impériale au Japon. Durant cette époque, les Fujiwara, la famille de nobles japonaise, est au pouvoir. Ils ont donné de nombreux régents (shogun) à la

de sa puissance commerciale et financière, et poursuit, tout au long de la Guerre froide, son rôle de rempart du libéralisme face à la menace communiste avec des succès mais aussi des échecs (Vietnam). Le sujet se clôt en 1989 avec la chute du mur de Berlin et l’effondrement du bloc communiste qui marquent la fin de la Guerre froide. On s’attache à montrer que, lors de la guerre du Vietnam, nouvelle croisade pour la « défense du monde libre », les Américains découvrent que leur puissance a des

1913, l’économie mondiale est dominé par la Grande Bretagne grâce à sa puissance impérial, car le pays possédait beaucoup de colonie dans le monde entier et donc pouvait avoir accès au matières premières ; sa puissance financière grâce aux banques et à la bourse de Londres ; sa puissance commercial, La G.B étant la première flotte marchande dans le monde et représente un tiers des échanges mondiaux, et enfin grâce à sa puissance industriel car la première révolution industriel a lieu dans ce pays.

à tue-tête : « Eh bien, vous aurez Hitler, vous aurez Hitler ! ». Cette prédiction se réalisa » [4]. Déjà en 1927, Poincaré avait répondu à Stresemann : « Pas de rapprochement franco-allemand si l’on met en doute la responsabilité du gouvernement impérial [allemand] dans le déclenchement de la guerre. [5]» Le national-socialisme pouvait bien innover sur beaucoup de points en politique intérieure, sur le plan des relations internationales, son programme n’avait pourtant, à première vue, rien de

peuvent devenir esclave. Ce sont les lois qui structurent la société, cité autonome (ils ont leurs propres lois, non pas celles de l’extérieur). Cette cité est maitresse de son régime politique, choisit des chefs qui ne sont pas imposés par une puissance étrangère. La qualité de citoyen n’est pas attribuée facilement, durcissement des conditions d’intégration. Il y a des étrangers résidents (métèques) et des esclaves, les maîtres peuvent les affranchir mais ils sont assimilés ensuite à des métèques