La Prise En Compte Des Différences Culturelles Remet Elle En Cause La Mise En Place De Valeurs Universelles

ruptures par rapport au siècle précédent, l’ordre établit auparavant était surtout sur le climat du religieux, sur des structures sociales figées et sur une éco relevant de la révolution industrielle. Le 20e a accompagné ces mutations : l’éclatement des valeurs familiales et morales et une relative uniformisation de la culture et de l’économie. Une autre rupture est le déplacement du centre géopolitique du monde : le 19e était le siècle de l’Europe et le 20e a vu un déplacement du centre du pouvoir vers

pacifiques plan des conflits et des catastrophes, prise de conscience de l’interdépendance appelée village international. 2 .Différence de nature et deux types de groupes Société interne (homogène) et internationale (plus hétérogène malgré la mondialisation, société segmentée).La fusion est une illusion car on y exerce des activités o ù l’on résonne international alors que l’on vit dans une société interne. 3 .Au cœur de cette différence, une institution:l’État avec un double visage Lié

au moment des deux chocs pétroliers (1973-1979) qui marquent une rupture très nette dans l’évolution des cours. Jusque-là, les découvertes nouvelles avaient accompagné la progression de la demande et les pays producteurs n’avaient pas pu mettre en place une organisation aussi puissante que l’Opep pour défendre leurs intérêts face aux compagnies pétrolières déjà organisées en cartel. Les dissensions au sein de l’Opep, le recours aux énergies de substitution et les politiques d’économie d’énergie ont

constate qu’il y a une véritable complexité par rapport à l’ordre juridique interne : * Il y a une différence de nature entre les 2 sociétés. Celles-ci s’opposent sur différents points : * La société interne est relativement homogène : les principes organisateurs sont à peu près les mêmes dans l’ensemble de la société et les différents acteurs sont aussi homogènes = il y a peu de différences entre les différents acteurs. A l’inverse très forte hétérogénéité dans la société internationale,

ressources nécessaires à l’économie de certains pays, des biens indispensables parfois pour une stabilité sociale, mais non disponibles sur place, devaient être acheminés en provenance d’autres pays. Le besoin de complémentarité ressenti initialement entre les nations s’est transformé rapidement, en fonction des rapports de forces, en une volonté de main mise sur l’ensemble des richesses mondiales par les Etats les plus forts (colonisation, domination…). Cette évolution historique a contribué à l’émergence

d'économistes remettent en cause la suprématie du chiffre et des séries statistiques au dépend d'autres indicateurs et phénomènes. Aujourd'hui on étudie davantage la "business history", école anglaise s'intéressant à l'histoire des entreprises. I - Les grandes questions de l'histoire économique A - 3 pôles majeurs de réflexion : • Fluctuation de croissance : Façon dont une société satisfait ses besoins dans un contexte de rareté, en fonction du contexte social, culturel, institutionnel. • Histoire

riches, les diplômés etc.). On donnait la parole au monde ouvrier mais sans l’écouter vraiment. En 1919 le suffrage universel est instauré (En 1848 déjà pour la France). Déjà avant ça des évolutions se présentent : les partis, mêmes ceux de droite, font des changements pour les ouvriers : le parti libéral a des réels partisans parmi le monde ouvrier et surtout ils se rendent compte que la classe ouvrière forme un électorat non négligeable. Des mesures sont prises, on instaure un âge minimum (8 ans

dirigisme remet-il en cause les structures libérales de l’éco et en particulier le début de l’internationalisation ? I. Certes le dirigisme est une entorse à la conception la plus libérale de l’économie de marché. A) La durée de la guerre longue révèle les failles d’une économie non préparée B) L’Etat intervient dans tous les domaines d’échange, de production, de travail C) La révolution bolchevique a fait sortir un pays des économies de marché capitaliste II. S’il y a remise en cause du libéralisme

INTRODUTION A L’ANALYSE POLITIQUE Introduction I/ L’affirmation de la sociologie face à la philosophie 1) La différence entre sociologie et philosophie Définition : La sociologie, c’est l’étude des phénomènes sociaux mais avec une prétention particulière qui fonde son existence par rapport à la philosophie. C’est éviter de porter des jugements de valeur, (de dire si ce que l’on observe est bien ou mal), ceci au risque d’une subjectivité importante qui risque de déformer la réalité.

non-conscients, c'est-à-dire dont nous n'avons pas conscience au moment où ils s'effectuent. On ajoutera à cela les intermittences de la conscience comme l'évanouissement, le sommeil ou le coma. La mise en évidence de l'inconscient ou, plus exactement, de l'inconscience, ne remet pas fondamentalement en cause le primat accordé par la philosophie classique à la conscience. Pour Descartes, par exemple, pensée et conscience ne font qu’un : « Par le nom de pensée, écrit Descartes, j’entends tout ce qui est