La Politique Monétaire Selon Les Monétaristes

marxistes et keynésiens, n'explique pas l'emballement de 1928-1929 ni les modalités détaillées de la crise. L'explication monétaire, dans sa version soutenue par Milton Friedman et Anna Schwartz dans Une Histoire monétaire des États-Unis (1963), sera elle aussi jugée partielle ; en revanche, la version plus tard avancée par l'économiste français Jacques Rueff dans Le Pêché monétaire de l'Occident (1971) couvre largement la période antérieure à la crise et explique la plupart des symptômes constatés.

Introduction générale La macro – économie, terme introduit en 1 933 par Ragnar FRISCH (prix Nobel en 1 969), désigne l’étude de la structure, de la performance et des politiques d’une économie nationale. Elle constitue une analyse globale des marchés et agrégats économiques. Ces agrégats sont obtenus et traités par la comptabilité nationale. Celle - ci est une représentation suivant un cadre comptable défini par avance et rigoureux des informations chiffrées de l’activité économique d’une

------------------------------------------------- Pensée politiques et économiques Conclusion sur les politiques structurelles : Les politiques structurelles sont très nombreuses. Elles correspondent aux interventions publiques, elles sont donc crées sur le long terme. Elles sont justifiées par les défaillances de marché c'est-à-dire : « les markets failures ». Les défaillances de marché correspondent aux situations de monopole, aux externalités. L’externalité peut être positive ou négative

et donc de retrouver la valeur réelle de son capital que les taux d’intérêt seront faibles. Maurice ALLAIS pense, par ailleurs, que l’exubérance des marchés financiers est due à une création intempestive de monnaie tant de la part des autorités monétaires que des banques commerciales et que sans une vigoureuse réforme du système bancaire, la crise financière est certaine (1999). Prix Nobel 1988, cet économiste français est connu pour sa contribution à l'étude des marchés et ses travaux sur l'utilisation

Les fondements théoriques du libéralisme La théorie économique libérale recouvre pour l'essentiel la pensée des économistes classiques, néoclassiques, monétaristes ou nouveaux classiques. -Les classiques XVIIIème et XIXème SMITH, SAY, RICARDO, MILL Ils ont posé les bases principales de l'économie politique moderne en développant largement une vision libérale de l'économie. → ont engendré un courant d'analyse pessimiste et critique à l'égard du marché, à travers MALTHUS, MARX et SISMONDI

des actifs, 1974 voit apparaître chômage et inflation … La théorie économique viendra donc apporter de nouveaux éclairages (monétarisme en particulier). Plusieurs interprétations de la crise sont pourtant avancées : - Pour les monétaristes, c’est une politique monétaire laxiste qui est à l’origine des déséquilibres - Pour les keynésiens, le renouvellement du capital nuit à l’augmentation des revenus ; cela entraîne de l’inflation et du chômage et donc une diminution de la demande - Pour la théorie

différents pays. Le BIT (bureau international du travail) a donné une définition en 1964 et d’une manière générale, c’est sa mesure que l’on retient dans la plupart des pays pour construire ses indicateurs permettant de mesurer le nombre de chômeurs. Selon le BIT, trois critères sont majeurs : ne pas avoir travaillé pendant une durée déterminée (aucun travail, même partiel), être en recherche active d’un emploi rémunéré, et être disponible dans les 14 jours qui viennent pour prendre un emploi. A partir

questions d'influence et de rupture conduisent à s'interroger sur la phase d'émancipation de la science économique relativement aux doctrines de morale et de politique. En résumé, la perspective épistémologique adoptée ici nous permettra de saisir en quoi certaines doctrines du courant de la modernité qui concerne des préoccupations politiques et morales ont fourni une base conceptuelle pour la construction du cadre d'analyse microéconomique. Nous étudierons également de quelle manière la science

(Council of Economic Advisers) du president George W. Bush entre 2003 et 2005 « Une longue tradition en macroéconomie (y compris les perspectives et monétariste keynésienne) souligne que la politique monétaire se répercute sur l'emploi et la production dans le court terme, car les prix réagissent lentement aux changements de l'offre de monnaie . Selon ce point de vue, si l'offre de monnaie tombe, les gens dépensent moins d'argent et la demande de biens diminue. Parce que les prix et les salaires sont

explique comment doit être le monde. L'économie n'a pas pour mission de fixer des règles de bonne gestion ou de bonne conduite. Ce rôle est laissé aux hommes politiques. Cependant les travaux des économistes influencent les jugements des décideurs politiques. Exemple d'influence : Keynes qui a révolutionné les démocraties et les politiques économiques, le rôle de l'Etat intervient de plus en plus. A.Laffer dit que " trop d'impôts tue l'impôt " car plus les gens travaillent plus il paye d'impôt