La Politique Monétaire Est Elle Efficace

Chapitre 3 LA POLITIQUE MONETAIRE Introduction : l’économie des pays avancés avait connu une période d’inflation marquée entre 1973 et 1980, après les 2chocs pétroliers avec des taux supérieurs à 10%. Les 30 glorieuses, elles-mêmes, ont été marquées par une période assez inflationniste avec des taux en moyenne égaux à 5%. Les pays développés et un moindre degré, les pays en développement ont enregistré un tournant dans l’histoire économique au cours des deux dernières décennies avec une baisse

l’inflation. Cette « stagflation » contredit temporairement la courbe de Phillips qui établissait une corrélation inverse entre inflation et chômage.  Dans les années 1980, dans un contexte de libéralisation et de mondialisation des économies, les politiques de désinflation compétitive, en ralentissant la croissance et en accélérant la montée du chômage, provoquent une baisse du taux d’inflation qui ne bénéficie pas encore au commerce extérieur.  Dans les années 1990, les « Vingt piteuses » (Nicolas

partie réelle : le marché de biens et service, 2 variables : r taux d’intérêt  (concrètement r : le taux d’intérêt réel à ne pas confondre avec i taux d’intérêt nominal) Y le revenu (vu dans l’optique PIB, production du richesse) LM : la partie monétaire : demande – offre de monnaie  qui va trouver l’équilibre sur un graphique qui va lui aussi utiliser les deux variables r et Y. Quand le taux d’intérêt augmente, l’investissement diminue du côté de IS, du côté de LM il y a d’autres relations.

Création monétaire . 25 SIII) politique monétaire et taux d’intérêt : 26 S1) Objectifs de la politique monétaire : 26 a) La sécurité des opérations bancaires : 26 b) L’objectif général de régulation de l’économie 27 c) Les objectifs intermédiaires : 27 S1) Instruments de la politique monétaire. 27 S2) Rôle du système financier : 32 S3) les agrégats monétaires : 32 S4) Les limites de la politique monétaire. 33 S5) Politique de lutte contre l’inflation 33 CHAPITRE V : LA POLITIQUE BUDGETAIRE

libérales : l’inflation comme phénomène monétaire : Inflation ici de tous les prix cumulative, durable ; on distingue l’inflation globale et l’inflation subjacente = ne prend pas en compte les prix de certains produits importants qui ont un impact évident (énergies, matières premières, fruits et légumes). Dans L’approche libérale ou monétariste, l’inflation est un phénomène qui est purement et strictement monétaire. Les causes ne sont que monétaires. Thèse de Friedman : on doit rechercher les

Conclusion : une éco a donc tjrs besoin d’un certain montant de hausse des prix pour les ramener vers la situation d’équilibre : offre = demande. A quel moment l’inflation risque-t-elle de devenir dangereuse ? Comment justifier la généralisation de politique de lutte contre l’inflation dans tous les PD à éco de marché à partir des années 80 ? Comment expliquer que le principal objectif de la BCE : la lutte contre l’inflation ? III. Les objets de l’inflation. 1. L’inflation devient dangereuse. A

un de chômage parce que la main-d’œuvre, le capital, la terre et l’entrepreneuriat ne sont plus utilisés à leur plein potentiel. Pour combler cet écart récessionniste, deux outils macroéconomiques sont employés : la politique monétaire et la politique budgétaire. Le but de ces politiques est explicite; il s’agit de stimuler la demande agrégée pour augmenter la quantité offerte de PIB et retrouver l’équilibre de plein-emploi au niveau du PIB potentiel. On pourrait penser que seule la demande agrégée

Dissertation : la politique budgétaire conjoncturelle est elle efficace ? « Si l’Etat est fort, il nous écrase ; s’il est faible nous périssons » ; ce constat de Paul Valery illustre la crainte que suscite l’intervention de l’Etat, à travers les politiques économiques, dans les esprits. D’après Adam Smith (1723-1790) le père fondateur de la doctrine du « laisser faire, laisser passer » et de la main invisible, le meilleur mode d’organisation du marché est le marché concurrentiel car il permet

redressement efficace et durable des finances publiques. L’efficacité des politiques monétaire et budgétaire et leur impact dans la réalisation des objectifs des pouvoirs publics (croissance, plein emploi, stabilité des prix, équilibre du commerce extérieur) font l’objet de vifs débats chez les économistes. Si, dans la zone euro, les contraintes institutionnelles rendent délicate la mise en oeuvre cohérente de la politique monétaire unique de la Banque centrale européenne (BCE) et des politiques budgétaires

stabilité des prix adopté comme mission fondamentale des banques centrales s’est révélé insuffisante à prévenir la crise voire même préjudiciable à la stabilité financière Avant la crise, prévalait l’idée selon laquelle la politique économique devait reposée sur des règles monétaires appliquées par les banques centrales et des règles budgétaires respectées par les Etats, tout en faisant confiance à l’infaillibilité des marchés. Dans ce cadre, les banques centrales avaient pour mission principale,