La Politique Monétaire Des Monétariste

courant monétariste. Il a travaillé sur des domaines de recherche aussi bien théorique qu'appliquée, il fut à l’origine du courant monétariste. Il se lie d'amitié avec un de ses professeurs, l'économiste Arthur Burns, qui l'incite à rejoindre l'université de Chicago pour y étudier sa discipline. Il intègre la fonction publique en 1935, et travaille au National Bureau of Economic Research dans l'équipe de Simon Kuznets (Prix Nobel d'économie en 1971). Il est également un commentateur politique et essayiste

pourquoi on peut dire que la BCE et la politique monétaire qu’elle mène se rattachent au courant monétariste Comme toute banque centrale, la BCE (Banque Centrale Européenne) fixe la politique monétaire, le taux d’interêt directeur…Nous allons nous concentrer sur la politique que cette banque centrale supranationale puis voir en quoi elle se ratache au monétarisme.Dans un premier temps nous allons analyser la conception de Friedman puis observer la politique actuelle de la BCE. La BCE

économique Fondateur du Monétarisme**, membre fondateur de l’Ecole monétariste de Chicago**, et créateur du concept de Taux de chômage naturel** Promoteur du libéralisme**, de l’économie libre et du capitalisme Médaille John Bates Clark (1951),« prix Nobel » d'économie (1976),médaille présidentielle de la liberté (1988) Auteur de nombreux ouvrages dont : Capitalisme et Liberté 1962 et Inflation et systèmes monétaires 1968 et La liberté du choix, écrit avec son épouse, Rose, en 1980 Farouche

Chapitre 2 : Les approches contemporaines : Section 1 : Les néo-classiques Section 2 : Les keynésiens Section 3 : Les post keynésiens Section 4 : Les monétaristes Section 5 : Les « supplie spiders » Conclusions Section 1: Les néoclassiques La demarche neoclassique Les hypotheses de depart Les consommateurs Les producteurs L'équilibre economies Le role de d’état Difficultés avec la théorie néo-classique 1) la démarche néoclassique Continuité des méthodes entre le 19e et aujourd'hui

L’histoire de la Fed vue par un monétariste Éric MONNET L’économiste Allan Meltzer offre une histoire en trois tomes de la Banque centrale des États-Unis, à la fois immense travail d’exhumation de sources nouvelles et second grand manifeste historique du monétarisme. Recensés : - Meltzer Allan H., 2003, A History of the Federal Reserve, vol. 1, 1913-1951, Chicago, The University of Chicago Press, 800 p. - Meltzer Allan H., 2009, A History of the Federal Reserve, vol. 2, book 1, 1951-1969,

Approche monétariste……………………………………….P.5 B- Le déséquilibre sur le marché……………………………….P.6 II- Conséquences de l’inflation……………………….P.6 A- Effets positifs………………………………………………..P.6 B- Effets négatifs……………………………………………….P.7 Section III : Relation inflation-chômage…………P.7 I- La courbe de Phillips et l’approche keynésienne…P.7 A- La courbe de Phillips………………………………………..P.8 B- L’approche keynésienne…………………………………….P.8 II- Les analyses monétariste et de la NEC……………P.8 A- L’analyse monétariste………………………………………

La politique monétaire vise a réguler la croissance de la masse monétaire de à ce que la quantité de monnaie en circulation ne soit pas trop importante pour éviter l’inflation, mais suffisante pour assurer le volume des transactions et ne pas freiner l’activité économique. La politique monétaire chez les monétaristes : La politique monétariste est une politique monétaire préconisée par les économistes libéraux monétaristes (dont le chef de file est Milton Friedman). Selon eux, la politique monétaire

La courbe de Philips : Ce sujet présente plusieurs intérêts. Il illustre au plus haut point l’interdépendance entre les objectifs de la politique économique puisqu’il cristallise une opposition centrale entre activité et stabilité. A la suite de la crise de 1929, John Maynard Keynes dénonce les postulats de la théorie classique en insistant sur les quatre points suivants : - La monnaie peut être désirée pour elle-même. A côté du motif de transaction, il existe une demande de monnaie de spéculation

place les prémisses de la théorie monétaire. La monnaie ne serait donc pas neutre, contrairement à ce que pensent les classiques, pour qui la monnaie n'est qu'un instrument. Aujourd'hui s'opposent encore deux écoles héritières des précédentes, les keynésiens et les monétaristes. Si l'étude de la monnaie a bien évolué, et la théorie de la monnaie progressé, ces deux écoles restent opposées. Si les keynésiens sont partisans de l'interventionnisme, les monétaristes semblent partisans du laisser-faire

les hypothèses monétaristes et keynésiennes ne peuvent l’expliquer. Seule la théorie autrichienne du cycle économique peut le faire. Une vue d’ensemble de l’économie du Japon pour la période 1985-2000 Après les accords du Plaza en septembre 1985, l’appréciation du yen frappe durement le secteur des exportations et la croissance économique passe de 4.4% en 1985 à 2.9% en 1986 (EIU 2001).[1] Le gouvernement tenta de compenser les effets d’un yen fort en adoptant une politique monétaire axée sur le crédit