La Peste Prologue

pour faire face à cette grêle de coups, rengainait avec la même précision, et, d’acteur qu’il avait manqué d’être, redevenait spectateur du combat, rôle dont il s’acquitta avec son impassibilité ordinaire, tout en marmottant néanmoins : – 16 – « La peste soit des Gascons ! Remettez-le sur son cheval orange, et qu’il s’en aille ! – Pas avant de t’avoir tué, lâche ! » criait d’Artagnan tout en faisant face du mieux qu’il pouvait et sans reculer d’un pas à ses trois ennemis, qui le moulaient de coups

par un personnage de meilleur ami/colocataire, ce qui permet au scénariste de verbaliser les émotions de son personnage principal. Dans Le Septième Sceau, Ingmar Bergman raconte l’histoire d’un chevalier du Moyen Âge, Blok, pendant une épidémie de peste. Il se pose des questions existentielles sur la vie et la mort et, pour éviter de le faire monologuer, Bergman invente un personnage d’écuyer, mi-confident mi-bouffon, très cynique et désabusé, qui accompagne le protagoniste dans sa quête. Dans Pretty

conceptualisation. La législation est plaçé sous le patronage divin, représentation du dieu soleil (dieu des cieux et de la terre) qui tient un style pour graver les tablettes et devant lui se tient Hammourabi qui écoute la divinité dicter sa loi. Dans le prologue et l'épilogue, Hammourabi insiste sur son rôle, il détient la force et la justice. Les lois sont donc faites par Dieu et non pas par les hommes. Cette compilation traitée de multiples questions: mariage, succession, droit des biens, édits promulgués

au sommet. * Les esclaves avec quelques précisions sur le statut, mais pas d’esclavage privé. * Les classes intermédiaires= les « mesquins ». C’est un statut transitoire. On peut enfin citer le code de Lipit Ishtar vers -1875. Dans le prologue il est dit que ce code est destiné à établir le droit, il porte le nom d’un roi impérial. Ce code se développe essentiellement sur les questions économiques. Le code le plus intéressant est celui d’ Hammourabi en -1750, c’est le droit le plus

des sorcières libère un esprit dévastateur & suicidaire, Macbeth prend en charge les textes dits par les prédictions pour mettre en scène sa vie. Macbeth est le sujet & le destinateur, il remplace le démon. Cf. : « Deux vérités sont dites,/ Comme prologue heureux à l’acte qui se gonfle/ Du thème impérial. Merci à vous, messieurs./ La sollicitation surnaturelle/ Ne peut être ni le mal, ni le bien. Si c’est mal,/ Pourquoi me donna-t-elle le gage du succès/ Commençant par la vérité ? Je suis Cawdor./

de raconter ma vie» à cause de la prescience de la mort qui sert désormais de point de vue à la vie. L'exil de la société et le repli sur soi sont les conditions les plus favorables à la transmission de la vérité qu'il entend exposer (un exorde, prologue du récit de vie proprement dit : «Je m'efforce de reparcourir ma vie pour y trouver un plan, y suivre une veine de plomb ou d'or, ou l'écoulement d'une rivière souterraine» (33). Cette lettre est une belle ouverture où tous les thèmes principaux

de raconter ma vie» à cause de la prescience de la mort qui sert désormais de point de vue à la vie. L'exil de la société et le repli sur soi sont les conditions les plus favorables à la transmission de la vérité qu'il entend exposer (un exorde, prologue du récit de vie proprement dit : «Je m'efforce de reparcourir ma vie pour y trouver un plan, y suivre une veine de plomb ou d'or, ou l'écoulement d'une rivière souterraine» (33). Cette lettre est une belle ouverture où tous les thèmes principaux

(plantă tropicală rădăcinile căreia produce amidon) maquis s.m. - arbust, tufiş mélasse s.f. - melasă (sirop de zahăr) métayer s.m. - fermier, lucrător agricol métropole s.f. - teritoriul Franţei situat pe continentul european morue s.f. - morun (soi de peşte) maraîcher,~ère, s.m. adj. - culturi de zarzavaturi lambeau s.m. - fîşie, fragment, petic luxuriant, ~e adj. - abundent natif, ~e - originar, băştinaş noix de coco s.f. - nucă de cocos olivier s.m. - măslin orme s.m. - ulm pamplemoussier s.m. - (pom

laquelle elle puise sa source. Elle ne sent pas, non plus, le besoin de faire mourir ses protagonistes à l'extérieur de l'aire de jeu. En plus, elle va jusqu'à mettre en scène le spectre. «Dans plus de la moitié des tragédies, il y a [... ] un prologue prononcé par un être non­ humain, fantôme furieux d'un héros principal ou divinité enragée, furie, dieu vengeur.» (Dupont, 1985, p. 192) Cette présence surnaturelle sert essentiellement à raconter J'histoire, à donner à entendre la trame qui unit

formellement la fin de la tragédie par la sortie du Chœur (l. 26 à 29). Cette sortie, appelée exodos en grec, correspond au sens restreint aux six derniers vers (l. 26 à 29) et fait pendant au parodos, entrée du chœur, situé immédiatement après le prologue. Au sens large, l’exodos comprend tout le mouvement final, après le cinquième stasimon (partie chantée par le chœur qui alterne avec les épisodes récités). Il englobe donc les récits des messagers, les lamentations de Créon, les interventions du