La Peste Philippe Othon

de la culture. Héritage de l'Ancien régime et de la décennie révolutionnaire, cette politique culturelle s'amplifie à l'aube de la Ve République avec la 1 création d'un ministère des Affaires culturelles confié à l'écrivain André Malraux (voir Philippe Poirrier, L'Etat et la culture en France au XXe siècle, Lgf, 2006). Cette politique culturelle de l'État se démarque en France par la volonté de défendre ses spécificités face à la mondialisation, notamment pour le domaine artistique dans ce que

XIIIème siècle, accentuée par la perte de la Terre Sainte et leur difficile « reconversion » en banquiers (aux papes et aux princes) suscita envie et haines. Au XIVème siècle, la puissance et la richesse des templiers inquiétèrent certains rois ; Philippe le Bel fit arrêter en masse (138) le même jour les templiers (1307), ils furent mis à la torture et avouèrent tout, une soixantaine furent brûlés vifs (en 1314, dont leur grand maître Jacques de Molay), leurs biens vendus ; le pape clément V supprima

« L’argent est le nerf de la guerre. » Dans sa lutte contre la cité de Sparte, c’est précisément l’argent qui manquait à Athènes. Cette brillante cité fut en effet dépeuplée puis ruinée par une épidémie de fièvre typhoïde (que Thucydide appelle « peste »). Le mal emporta son chef Périclès en 429 av. J.-C. La guerre mit fin aux plus belles années du siècle d’Athènes, tournées vers la démocratie, la philosophie, les arts plastiques et le théâtre. Une formule reformulée Au III siècle av. J.-C., le

autorité. Louis VI Le Gros a été conseiller par l'Abbé Suger qui inculque certains principes au roi lui-même comme celui du ministère royal. Le roi s'impose au sein de son domaine royal avec autorité. Suger sera également le conseiller de Louis VII. Philippe Auguste, fils de Louis VII a été surnommé ainsi de son vivant même c'est un titre romain qui a été identifié à un empereur romain, c'est le véritable tournant de la mornachie. Pour la première le roi ne sera plus le roi des francs mais le roi de

les autres arts Séquence 4. Dossier Les sciences humaines dans la littérature et les arts 64 Séquence 5. Groupement de textes et d’images Des situations et figures mythiques 92 Séquence 6. Œuvre longue Un roman philosophique : La Peste de Camus 108 Objet d’étude 3 La parole en spectacle Séquence 7. Dossier Scènes de parole, paroles en scène 128 Séquence 8. Groupement de textes et d’images Les tribunes politiques et leur médiatisation 152 Séquence 9. Œuvre longue

ses fils puînés, ardent de voir la guerre, Un camp d'autres puînés assembla hasardeux, Et quittant son pays, fait capitaine d'eux, Traversa la Hongrie et la basse Allemagne, Traversa la Bourgogne et la grasse Champagne, Et hardi vint servir Philippe de Valois, Qui pour lors avait guerre encontre les Anglois. Il s'employa si bien au service de France, Que le roi lui donna des biens à suffisance Sur les rives du Loir ; puis du tout oubliant Frères, père et pays, François se mariant, Engendra

ou II. J = Les justes, I. LAA = Lettres à un ami allemand, II. Mal = Le Malentendu, I. MH = La Mort heureuse, Cahiers Albert Camus I. Paris, Gallimard, 1971. MS = Le Mythe de Sisyphe, II. N = Noces, II. 01 = Le Chevalier d'Olmedo, I. P = La Peste, I. PA = Entre Plotin et saint Augustin (Diplôme d'Études supérieures), II. Pos = Les Possédés, I. RA = Révolte dans les Asturies, I. RG = Réflexions sur la guillotine, II. RN = Requiem pour une nonne, I. RR = Remarque sur la révolte, II.

L'Étranger, I. L'Homme révolté, II. Interview, I ou II. Les justes, I. Lettres à un ami allemand, II. Le Malentendu, I. La Mort heureuse, Cahiers Albert Camus I. Paris, Gallimard, 1971. Le Mythe de Sisyphe, II. Noces, II. Le Chevalier d'Olmedo, I. La Peste, I. Entre Plotin et saint Augustin (Diplôme d'Études supérieures), II. Les Possédés, I. Révolte dans les Asturies, I. Réflexions sur la guillotine, II. Requiem pour une nonne, I. Remarque sur la révolte, II. Marcel J. Mélançon, Albert Camus. Analyse

arrivait qu’un saint se venge de n’avoir pas été appelé au secours – ou d’avoir été confondu avec un autre ! De la même manière, on faisait de nombreuses processions dans les villages pour se protéger des tempêtes, de la sécheresse, des famines et de la peste ou pour remercier le ciel des bonnes récoltes de l’année. La religion jouait enfin un rôle important dans l’art médiéval, puisque la Bible, si elle n’était lue que par les seuls prêtres et moines, était source d’inspiration tant pour les peintres que

n’est pas tenu des respecter des lois contraires au droit naturel. Mêmes si les lois positives sont bonnes, elles peuvent aboutir à des injustices. Les grecs n’ont pas eu de science du droit. A) Les royaumes hellénistiques Le roi de Macédoine, Philippe, a étendu son autorité sur les cités, qui subsistent, mais n’ont plus qu’une autonomie interne, elles ont perdu leur indépendance politique. Son fils, Alexandre le Grand, s’est lancé dans une politique de conquête (l’empire perse). A sa mort, les