La Peste Métaphore

Arès, Hébè, IlithyeZeus + Métis : AthénaZeus + Léto : Apollon, ArtémisZeus + Maia : HermèsZeus + Alcèmene : HéraclèsZeus + Sémélè : DionysosZeus + Déméter : PerséphoneEt beaucoup d'autresThème de la gigantomachie : représenter les combats des dieux(métaphore du combat de la victoire de la civilisation sur les forces obscurs)Arès : dieu de la guerre au sens négatif, au sens de la colère, du sang versé et des horreurs - il est assez peu apprécié et peu représentéAthéna :

verrons d’abord en quoi ce passage est, comme je l’ai dis plus tôt, une leçon. Puis, nous analyserons le discours de Vautrin afin de démontrer son aspect argumentatif. Enfin, nous étudierons la vision du monde livrée par le personnage à travers une métaphore et un champ lexical qui montre bien toute la violence, le mépris et presque le dégoût du regard qu’il porte sur sa société. Cette analyse se fera donc en trois axes : . Une leçon… . …Persuasive, a. L’emploi des pronoms b. L’argumentation .

humaine. Les conditions de vie des êtres humains telles qu'elles apparaissent dans les fables se caractérisent par la présence d'une certaine misère. Dans « Le chien et le loup », le loup vit pauvrement dans les bois. Dans « Les animaux malades de la peste », les animaux doivent affronter les terribles épreuves d'une épidémie. Dans les autres fables le chêne et les grenouilles finissent par mourir, Les conditions de vie des animaux lorsqu'elles sont favorables au départ ne restent guère durables. Le

Contexte littéraire et genre : Baroque : XVIIème siècle, Guerre de religions -> fin humanisme Revendiquer son indépendance, casse les règles, originalité, plaisir dans le désordre, cherche à choquerFigure de style plus complexe, hyperbole outrées, métaphores recherchées, antithèses hardies Classicisme : 3 règles (temps, lieux et action) / parallélisme, chiasmes, litote Cette règle a pour but de ne pas éparpiller l'attention du spectateur avec des détails comme le lieu ou la date, l'autorisant

Tebaldeo, le jeune peintre, exprime une vision encore idéalisée de cette cité qui est pour lui une source d’inspiration sans cesse renouvelée, en témoigne la métaphore maternelle : « ma mère Florence » (II, 2). • Une image maternelle dégradée Pour les bannis de la ville, en revanche, l’image maternelle est très nettement dégradée : « peste de l’Italie », « mère stérile, qui n’a plus de lait pour tes enfants » (I, 6). La ville ne joue plus son rôle de patrie nourricière et protectrice. De mère

quatre fois sur un corps inerte où les balles s’enfonçaient sans qu’il y parût. Et c’était comme quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur. Camus (1913-1960) L’Etranger (1942) Questions préliminaires (6 points) 1. Dégagez les métaphores qui dans la suite du texte évoquent le “couteau” (ligne 1) 2. Quels éléments du texte annoncent “J’ai secoué la sueur et le soleil” (ligne 18) 3. Analysez la signification des trois formes verbales dans “Alors, j’ai tiré... y parût” (lignes 20-22)

produire un effet . On distinguera au niveau de la classe de 3ème, Quatre grandes familles : 1.1 Les figures d’analogie et de substitution qui rapprochent deux éléments (comparaison, métaphore, personnification, allégorie, symbole) ou qui désigne un élément sous une autre dénomination (périphrase, métonymie, synecdoque). a/ La comparaison  : elle met en relation un comparé

pour Rome, le soutenir. La mort de di Rienzo dans une émeute interrompt son voyage, en 1354. Pétrarque s'établit à Milan jusqu'à ce que la peste l'oblige à fuir. Il ira successivement à Venise, Padoue puis, finalement, Arqua, où il mourra en 1374. La fin de sa vie est entachée par des drames intimes dont la mort de l'inaccessible Laure, victime de la Grande Peste de 1348, et celle de Giovanni, un fils qu'il a eu d'une maîtresse. Il s'éteint en plein travail le 19 juillet 1374 dans sa retraite campagnarde

ANIMAUX MALADE DE LA PESTE (1678)/p.332 LECTURE ANALYTIQUE Un récit étendu et riche en rebondissements Cette fable de La Fontaine est caractéristique du style du Second Recueil, dans la mesure où le fabuliste s’emploie à développer le récit et ce qu’il appelle, dans son avertissement, les « circonstances ». Ainsi, dans cette fable liminaire trouve-t-on une exposition très développée, du vers 1 au vers 14. Il s’agit, pour le narrateur, de mettre en évidence le pouvoir de la peste et de susciter

vocabulaire hyperbolique et de l´énumération (coururent assassiner, égorger, jeter par les fenêtres, mettre en pièces, ligne 16). En plus, nous pouvons observer la métaphore filée de la maladie avec le champ lexical de la maladie tout au long du texte. Il remarque la gravité de la maladie avec des mots comme gangrène, maladie épidémique, peste. Il trouve le cerveau, l´esprit comme le siège de la maladie (lorsqu’une fois le fanatisme a gangrené le cerveau,la maladie est presqu’incurable, ligne 33). Pour