La Peste Le Dénouement

même considérer que le passage à étudier correspond au cinquième acte d’une tragédie classique et que la suppression de la pause contribue à accélérer le rythme de la marche inexorable du destin : après dix-sept ans de bonheur fallacieux, soudain peste, révélation de l’identité du roi, de son inceste, suicide de Jocaste, mutilation d’Œdipe sous les yeux d’Antigone. Tous ces événements, qui constituent la trame d’Œdipe-Roi de Sophocle, surviennent en quelques pages, dont la brièveté contraste avec

L’histoire d’Antigone est inspiré par une pièce de théâtre écrite il y a 2400ans par le dramaturge grec Sophocle. Si Anouilh nous présente à travers sa pièce une tragédie structurée comme celle de Sophocle (l’importance du prologue, même corps et dénouement), il y introduit la notion de la modernité. Loin des vers du grand poète grec, le langage d’Anouilh est une prose simple, familière, accessible. Ses personnages, antiques, sont profondément ancré dans notre époque et ce par des anachronismes introduits

«alors naît la joie étrange qui aide à vivre et mourir». Comme tous les Français d’Algérie, il est traumatisé par la guerre d’Algérie dont il ne verra pas le dénouement tragique. Le 4 Janvier 1960, il trouve la mort dans un accident de voiture. b.Oeuvres les plus connus : - Caligula pièce (1938) en 4 actes - L’étranger (1942) roman - La Peste (1947) récit - Les Justes (1949) pièce en 5 actes - L’Homme révolté (1951) essai - La Chute (1956) récit II - Le livre, L’étranger : L’étranger

fallacieux, soudain peste, révélation de l’identité du roi, de son inceste, suicide de Jocaste, mutilation d’OEdipe sous les yeux d’Antigone. Tous ces événements, qui constituent la trame d’OEdipe-Roi de Sophocle, surviennent en quelques pages, dont la brièveté contraste avec la longueur des trois actes précédents : le premier acte 2 comporte quarante-trois pages, le deuxième, cinquante-deux, le troisième, quarante-quatre dans l’édition du Livre de poche (1962). 2. Le dénouement Après cette accélération

! les haillons pourris, le pain trempé de pluie, l'ivresse, les mille amours qui m'ont crucifié ! Elle ne finira donc point cette goule reine de millions d'âmes et de corps morts et qui seront jugés ! Je me revois la peau rongée par la boue et la peste, des vers plein les cheveux et les aisselles et encore de plus gros vers dans le cœur, étendu parmi les inconnus sans âge, sans sentiment... J'aurais pu y mourir... L'affreuse évocation ! J'exècre la misère.      Et je redoute l'hiver parce que c'est

ainsi la pitié et la crainte. Le dénouement semble toujours être fatal, et est bien sur dramatique et peut sembler injuste pour le lecteur. Dans l'histoire d’œdipe Roi on retrouve cette terreur et cette pitié avec un homme ayant commis l'inceste et qui a tué son père. Le mythe d’œdipe est des plus connus, cet homme qui a triomphé de la Sphinge en répondant à son énigme et qui a ainsi accédé au trône de la ville de Thèbes, cherche à découvrir la raison de la peste qu'a envoyé le dieu Apollon sur la

massacre causé par son époux au temple. Elle donne d’ailleurs une définition singulière du chrétien : « C’est l’ennemi commun de l’Etat et des Dieux, / Un méchant, un infâme, un rebelle, un perfide, / un traître, un scélérat, un lâche, un parricide,/ une peste exécrable à tous les gens de bien,/ Un sacrilège impie : en un mot, un chrétien ». Sympathique n’est-ce pas ? Stratonice raconte le déroulement du sacrifice. Premièrement, Polyeucte et Néarque se moquaient des Dieux, Polyeucte brise les objets saints

qu’il épouse la reine. Et voilà l’inceste. Pour que les dieux s’amusent beaucoup, il importe que leur victime tombe de haut. Des années s’écoulent, prospères. Deux filles, deux fils compliquent les noces monstrueuses. Le peuple aime son roi. Mais la peste éclate. Les dieux accusent un criminel anonyme d’infecter le pays et ils exigent qu’on le chasse. De recherche en recherche et comme enivré de malheur, Œdipe arrive au pied du mur. Le piège se ferme. Lumière est faite. Avec son écharpe rouge Jocaste

→ recours au récit pour ne pas choquer « Ce que l’on ne doit point voir, qu’un récit nous l’expose » récit de Théramène. personnages nobles niveau de langue soutenu 5 actes : exposition action / nœud de l’intrigue conséquence du nœud dénouement exposition : aveu des amours annonce de la mort de Thésée annonce du retour de Thésée jalousie de Phèdre mort de Hyppolite et de Phèdre. provoquer terreur et pitié : catharsis raisons de la passion amoureuse de Phèdre : - punie de l’amour

dans la progression de la comédie, temps fort et moments de détente .Le graphique de l`action permet d`apprécier la variété .La répartition et l`intensité des scènes de tension et des scènes de répit. Molière termine souvent ses pièces par des dénouements pleins de fantaisie et jugés parfois très artificiels .Celui de l`avare présente une originalité il repose sur un élément fantaisiste ( les reconnaissances) ,mais , aussi sur un élément logique ( le chantage à la cassette ) .Molière s`est efforcé