La Pactomanie Américaine

LES RELATIONS INTERNATIONALES DEPUIS 1945 (1947-1991) La Guerre froide est une expression journalistique et dit pour la première fois par un homme politique américain : Bernard Beruch. Ce mot a deux sens ; d’abord les relations internationales de 1947 à 1991 et l’autre sens de 1947 à 1962. C’est une période d’affrontement d’un demi-siècle mais indirecte parce qu’ils ne se sont jamais affronter directement mais à travers le monde. C’est une guerre d’idéologie et ce n’a jamais été une « guerre

le 1er septembre, et en 5 jours pénétra le territoire indien sur 25 km. Les forces indiennes contre-attaquèrent sur place ainsi qu'au Pendjab pakistanais, près de Lahore, donc au cœur de la région vitale du Pakistan. Equipées pourtant de matériel américain, les troupes pakistanaises ne purent repousser les Indiens. Le 4 janvier 1966, les chefs indiens et pakistanais se rencontrent à Tachkent pour organiser le retrait des troupes sur les positions antérieurs, mais sans que le problème de fond de l'appartenance

batailles ont eu lieu la bah ( Poltava , la Russie d’Alexandre 3 bat la suède) . Il faut éviter que l'Allemagne, soit par une alliance soit par une victoire militaire n’accède au Heartland.John Spykman (journaliste et universitaire américain) —>  théorie du Rimland : On va gagner la guerre mais pour conserver la paix, il faut contrôler le Rimland - zone la plus industrielle, anneau partant de l’Europe à l'Asie , tous les conflits périphériques de la guerre froide se sont déroulé ici

superpuissances que furent les États-Unis et l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et leurs alliés entre 1947 et 1991, année de l'implosion de l'URSS et de la dissolution du Pacte de Varsovie. C’est en 1947, sous la plume de l’homme d’État américain Bernard Baruch, que l’expression « Cold War » apparaît pour la première fois[1]. Elle est vite popularisée par le journaliste Walter Lippmann[2]. D'après Raymond Aron, il s'agissait d'une « guerre limitée » ou « paix belliqueuse » dans un monde bipolaire

monde européen n’est plus acteur mais enjeu entre les 2 grandes superpuissances mondiales (URSS, USA) ; l’URSS engendré par rapport à cela un syndrome obsidional (complexe de la cité assiégée) qui va engendrer un refus du système « impérialiste américain ». Bien entendu cette opposition idéologique entre le capitalisme et le socialisme va provoquer un premier blocage à l’ONU sur la direction mondiale. 1947 début de la guerre froide (selon les mots de Harry Truman) A l’ouest la doctrine Truman

Mars 1947 signe le début de la guerre froide avec la conférence de la dernière chance à Moscou entre les quatre grands. C'est un échec. Ainsi, du côté occidental, on chasse les communistes dans de nombreux pays en contrepartie d'une promesse américaine de venir en aide à l'économie. Le « rideau de fer » ne se limite pas à séparer entre eux les pays, il passe au milieu de la société française, comme italienne. Ces deux pays ont en effet la particularité d'avoir un puissant parti communiste qui

d’État américain Bernard Baruch2. Elle est vite popularisée par le journaliste Walter Lippmann3. D'après Raymond Aron, il s'agissait d'une « guerre limitée » ou « paix belliqueuse » dans un monde bipolaire où les belligérants évitaient l’affrontement direct4- d'où l'expression : « Paix impossible, guerre improbable ». De nombreux conflits, depuis la guerre de Corée, la guerre du Viêt Nam jusqu’à la guerre d'Afghanistan, ont illustré l'opposition indirecte entre Soviétiques et Américains, avec la

inverses : liberté d’entreprise et démocratie parlementaire d’un côté, collectivisation, planification et totalitarisme de l’autre. Les EU ne pouvaient que mal s’accomoder avec un système communiste qui regniait les fondements de la civilisation américaine, à savoir : la propriété, la famille et la religion. 2/ Des objectifs divergents en 1945 a/ Les objectifs de StalineStaline est à l’apogée de sa puissance : 1er secrétaire du PCUS, il détient tous les pouvoirs (PCUS épuré dans les années 30 : “procès

social qui rayonne comme jamais avant en Europe. De plus, contrairement à l’armée américaine, l'Armée rouge n'est pas démobilisée à la fin de la guerre. L'Union soviétique dispose de ce fait d'une réelle supériorité numérique en hommes et en armement lourd. Les États-Unis sont les grands vainqueurs de la Deuxième Guerre mondiale. Leurs pertes humaines et matérielles sont relativement faibles et même si l’armée américaine est presque entièrement démobilisée quelques mois après la fin des hostilités,

superpuissances que furent les États-Unis et l’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS) et leurs alliés entre 1947 et 1991, année de l'implosion de l'URSS et de la dissolution du Pacte de Varsovie. C’est sous la plume de l’homme d’État américain Bernard Baruch, en 1947, que l’expression « guerre froide », déjà utilisée au XIVe siècle, fait son apparition pour la première fois dans l'Occident moderne. Elle est vite popularisée par le journaliste Walter Lippmann[1]. D'après Raymond Aron, il