La Médiatisation De La Gastronomie

certitudes successives et variables et d’être soi même dans un monde de plus en plus complexe. En témoignent certains profils ou modes de consommation : un « bistrot » et un grand restaurant, la « malbouffe » et les aliments sains, le grignotage et la gastronomie, le bon marché et le luxe, le maxidiscompte et le grand magasin. En recherche d’identité ou d’identification, il peut se comporter en expert, mieux informé grâce à internet, infidèle et « zappeur », en quête de sens, avec des attentes multiples

garantir la qualité du service. LYCÉEN. – Qu'est-ce que vous entendez par là ? JEAN-B APTISTE. – Il faut bien reconnaître que, pour un restaurant, le plus important c'est la qualité de la cuisine que l'on propose. Nous sommes dans une région à la gastronomie riche, mais nous devons aussi proposer quelque chose de plus, comme notre magret de canard à la sauce martiniquaise. LYCÉEN. – Vous avez fait un vrai pari. Qu'est-ce qui compte le plus pour le succès de votre activité ? CLAIRE. – Il est indispensable

une forme de développement personnel : la culture remplit un devoir de nouveauté qu’il poursuit dans la société contemporaine. Elle lui permet d’apprendre par lui-même, à travers les arts, les langues, les pratiques artisanales, les coutumes, la gastronomie. Les nouveaux touristes culturels ont cependant un degré de connaissance élevé, et 40 % des enquêtés d’Atlas avaient moins de 30 ans. (…) Pour beaucoup de ces touristes, la culture est une expérience de caractère global. La différence entre haute