La Majorité Royale

légitimité de type aristocratique; – la séparation des pouvoirs, destinée à écarter les excès de l’autoritarisme d’un homme ou d’une Assemblée. Ces principes vont au cours de la période étudiée s’imposer, à la fois contre les résurgences de la légitimité royale et contre les tentatives d’instauration d’une démocratie plus directe. A. Les deux Empires et la Restauration se sont efforcés de revenir sur les principes de la démocratie représentative 1. Pour Napoléon 1er, une Constitution devait être « courte

dans le système politique. Après de vifs débats, le 11 septembre 1789, l’assemblée nationale constituante, par 673 voix contre 325, se prononce en faveur d’un veto suspensif. Cela signifie que le veto ne sera valable que temporairement, la volonté royale devant céder, au terme d’un certain délai, devant l’assemblée. De plus, la Constituante décide que le roi ne disposera pas de son droit de veto en ce qui concerne certaines matières : c’est le cas pour les actes concernant le règlement interne et

France , l'Angleterre a renversé et décapité son roi. Le 17éme siècle anglais connaît deux révolutions politiques successives en 1640 et 1688. Ces révolutions amènent à une reconstruction du régime politique en revendiquant une limitation du pouvoir royal qui existait dans l’Angleterre médiévale. En 1215 , le roi d'Angleterre Jean sans terre , est obligé d'accorder des droits politiques à ces aristocrates. Il signe la grande charte qui crée un conseil de l'aristocratie, ce conseil doit être consulté

Mai 2007 : Sarkozy contre Royale - Dissolutions : Octobre 1962, une dissolution pour résoudre une crise institutionnelle (De Gaulle veut instaurer l’élection présidentielle au suffrage universel direct) ; Mai 1968, crise de société ; Mai 1981, dissolution stratégique pour avoir une majorité de gauche (Mitterrand) ; Mai 1988, dissolution stratégique pour avoir une majorité de gauche (Mitterrand) ; Avril 1997 dissolutions raté (Jacques Chirac avait une majorité de droite, mais 1 an avant

Clovis le chef de l’église Franc, un peu à l’image de l’empereur byzantin. Il va choisir les évêques de sont royaume. Dés 511, il évoque une réunion des évêques et des Abbés à Orléans. C) Le rôle social et politique des évêques Pour l’écrasante majorité, ils appartiennent à des familles sénatoriales, ils dirigent les cités. La charge épiscopal à tendance a rester dans les vieilles lignées aristocratiques. Un évêque vit seulement en ville, il est le seul à avoir le pouvoir, il doit entretenir tous

de dix ans par la Fronde parlementaire, traqué avec sa mère par la Fronde des princes sur les routes de France jusqu'en 1652, il en restera profondément marqué ; de là peut-être plus tard sa volonté de brider les parlements, de fixer la résidence royale en dehors de Paris et d'y museler la noblesse. Cette adolescence agitée et nomade, si elle est néfaste à sa culture livresque, lui apprend à connaître très tôt les hommes et les choses de son royaume. En outre, le cardinal Mazarin, son parrain, investi

et la fonction (pour le Clergé) sont déterminants dans la hiérarchie sociale. C’est une société d’ordres dans laquelle les 2 premiers ordres privilégiés (Clergé et noblesse) concentrent richesse et pouvoir grâce à leurs privilèges et où l’immense majorité de la population (95 %) rassemblée dans le Tiers-Etat n’a aucun droit et subit divers impôts qu’elle paie aux 2 ordres privilégiés mais aussi au Roi qui se confond alors avec l’Etat. Cependant, à la fin du XVIII° siècle, cette société est confrontée

contrôlait déjà la majorité du pays franc en ayant su entourer littéralement le pays de son neveu. Gontran fait promulguer dès 587 par le traité d’ Andelot, de nombreuses réformes visant à simplifier la gestion du Royaume. Il voit là l’occasion de généraliser à tout le pays franc, ses idées. Malheureusement, déléguant une trop grosse partie des pouvoirs royaux aux puissants seigneurs terriens et aux maires du palais qui deviennent de véritables premiers ministres, les pouvoirs royaux deviennent moindres

deuxième ou troisième langue dans d’autres régions du monde, comme en République démocratique du Congo, le plus peuplé des pays africains de la francophonie [3] et l'un des 29 pays ayant le français pour langue officielle ou co-officielle[4], la majorité des pays de l'Afrique de l'Ouest, ou encore au Maghreb. Ces pays ayant pour la plupart fait partie des anciens empires coloniaux français et belge. Il est parlé comme première langue en Afrique francophone par une minorité, surtout dans les milieux

comme deuxième ou troisième langue dans d’autres régions du monde, comme dans la République démocratique du Congo, le plus peuplé des pays de la francophonie[2] et l'un des 29 pays ayant le français pour langue officielle ou co-officielle[3], la majorité des pays de l'Afrique de l'Ouest, ou encore au Maghreb. Ces pays ayant pour la plupart fait partie des anciens empires coloniaux français et belge. Il est parlé comme première langue en Afrique "francophone" par une minorité, surtout dans les milieux