La Ligue des justiciers

suzeraineté en échange de couronnes royales. Il réclame participation de Byzance + versement d’un gros tribut annuel (Alexis III Ange, 1195-1203, doit alors établir un impôt élevé = ALAMANIKON + dépouiller tombes impériales). Croisade : ambitions de justicier → Henri IV a marié son frère Philippe de Souabe à Irène, fille d’Isaac Ange. Il se pose alors en vengeur de l’empereur détrôné. Versements byzantin s+ opposition du pape → détournement de la croisade de Constantinople vers Jérusalem. Les 1ers contingents

vers le XIIe siècle. Titre I : la monarchie judiciaire Les rois barbares prennent le pouvoir. Clovis va fédérer l’ancienne gaule romaine. La monarchie s’incarne dans un roi. Ce roi va exercer son pouvoir en grande partie en sa qualité de justicier, de juge, il va imposer son pouvoir car c’est celui qui arbitre, qui juge. Ce régime monarchique existe depuis le Ve siècle en France mais va dégager ses principaux caractères du Xe au XIIe siècle, il va s’affirmer pendant le XIIIe et XIVe siècle

régner la paix et la justice comme il s’y est engagé lors de la promesse du sacre. Du 13e au milieu du 15e siècle, notamment grâce à la Guerre de Cent ans, le roi recouvre sa souveraineté dans 3 domaines essentiels : • La justice : Le roi est le justicier suprême du royaume à qui on peut s’adresser en ultime recours (saint Louis attache une particulière importance à son devoir de rendre la justice, ce qu’il fait parfois sous son chêne à Vincennes). « Toute justice émane du roi » qui seul peut la

Le fractionnement du conseil du Roi ; la création des parlements. La mise en œuvre des décisions royales se manifeste particulièrement par l’image caractéristique du fameux Saint Louis qui rend la justice sous son chêne. C’est l’idéal du Roi justicier, du Roi fontaine de justice, source de toute justice. Cela ne signifie pas que le Roi ne se trompe jamais et qu’il n’est pas infaillible mais que le Roi est à l’origine des juridictions qui sont dans le royaume. Il peut rendre la justice lui-même

Le fractionnement du conseil du Roi ; la création des parlements. La mise en œuvre des décisions royales se manifeste particulièrement par l’image caractéristique du fameux Saint Louis qui rend la justice sous son chêne. C’est l’idéal du Roi justicier, du Roi fontaine de justice, source de toute justice. Cela ne signifie pas que le Roi ne se trompe jamais et qu’il n’est pas infaillible mais que le Roi est à l’origine des juridictions qui sont dans le royaume. Il peut rendre la justice lui-même

négatives pour l'écrivain. Il apparaît évident que « J'Accuse...! » a totalement relancé l'Affaire, et lui a donné une dimension sociale et politique qu'elle n'avait pas jusqu'alors. Zola sort donc de ses démêlés judiciaires avec une stature du justicier pour toute une frange de la population, de défenseur des valeurs de tolérance, justice et vérité. Mais cet engagement coûte très cher au romancier. Sur le plan financier, tout d'abord, la justice fait saisir ses biens et les revend aux enchères.

souveraineté est absolue donc ne peut être partagée Les rois capétiens ont le pouvoir de rendre la justice « rois justiciers » Pour J. Bodin le premier des pouvoirs est de donner et casser la loi, soit tout simplement de légiférer. En effet, de ce pouvoir législatif, découle tous les autres pouvoirs : guerre, offices, impôts, etc. Les rois de France ne sont plus justiciers mais législateurs, soit que tous les autres droits régaliens découlent de ce pouvoir de légiférer « il existe d’autres

de Constantine, des heurts où l’on dénombre des morts dont le sang sèche trop vite et qu’on inscrit trop hâtivement dans la colonne «pertes et profits»... Où est l’Etat ? C’est aussi ce chauffard qui chevauche une ligne jaune, ou un groupe de «justiciers» qui se substituent à la police pour, au nom de la morale, leur morale, faire pression sur des citoyens, les redresseurs de torts des bas quartiers, les Zorro des plages. L’indignation est désarmante et la question lancinante : «Où est l’Etat ?»

symbole c'était un gibet, la peine de mort s'exécutait par pendaison, c'était la peine courante pour les paysans. Les nobles avaient le privilège d'échapper à cette mort infamante. La haute justice c'était tous les crimes de sang, elle concilier aux justicier de condamner à mort. Parmis les droit seigneuriaux de nature publics il y a aussi le droit de garde. Dans une société où il n'y a pas de protection de l'Etat la seigneurie garantie les frontière contre tous les envahisseurs. Le droit de garde bénéficie

peuple chrétien vers son salut, il doit défendre les églises, assurer le respecte de la justice et maintenir la paix. A partir de 869, les rois vont même prêter un serment durant la cérémonie du sacre : ils vont promettre de défendre l’Eglise, d’être justicier et pacificateur. Le premier qui fait cette promesse est Charles le chauve. On voit bien ici que le gouvernement du roi carolingien ne se sépare pas du spirituel (on parle de théocratie = gouvernement d’inspiration divine). 12/10 B)La rénovation