La Ligue des justiciers

ils disposèrent d’une puissance suffisante de s’immiscer dans les affaires de leurs vassaux et éventuellement de s’emparer de leurs biens. Louis VI le Gros(1081-1137) établit l’ordre dans le domaine royale. Il inaugure une politique de « justicier » qui allait кtre poursuivie par ses successeurs. Elle permit au roi de se substituer peu а peu а la feodalité, а la faveur du conflit qui l’opposait а la bourgeoisie naissante. Cette époque vit en effet la renaissance et l’mancipation des

recherche en écologie et paléoécologie) de la faculté des sciences de Besançon et celui de Versailles. En revanche, ce qui est certain c'est que dans la deuxième moitié du XVIème siècle, les Guerres de religion (protestants/catholiques) et de la Ligue ont ravagé les campagnes roannaises. Avec l'arrivée d'Henri IV et le retour de la paix et de la stabilité, l'économie redémarre et de nombreux domaines agricoles équipés d'une grange type "Grand-Couvert" apparaissent. Photo Mairie de Saint-Hilaire

et elle va donné son accord au massacre de la saint Barthélémy 1572 massacre de protestants. Devant l'horreur du massacre, il va y avoir la paix de monsieur qui constitua a désavouer la saint Barthelemy en réaction les catholiques vont former une ligue en 1576. La position ferme de la royauté ne fait qu'empirer la crise religieuse et les trois rois qui se succèdent ne parvient pas a mettre un terme a cette guerre civile. Les trois fils n'ont pas de descendants et lorsque le dernier frère du roi Henri

depuis 1584. Le problème est qu’Henri de Navarre est la chef des Protestants de France. Les ultra-catholiques poussent Henri III à prendre des mesures pour éviter qu’un protestant ne devienne roi de France. En juillet 1588, sous l’influence de cette ligue ultra-catholique, Henri III prend un Edit, l’Edit d’Union qui proclame la catholicité du roi. Après Charles X, le problème de succession se pose. Les candidats sont : le lieutenant général du royaume (le Duc de Mayenne) et l’Infante d’Espagne (Claire-Isabelle

contre les perse (médique) Victoire de Marathon et 10ans plus tard victoire de Salamine reporté par les Athéniens, il vont se couvrir de gloire devant les autres citées Conséquences de ces guerres seront la gloire de Athènes, constitution de la ligue de délos (alliance militaires qui aura un trésor constitué par les pays ne pouvant envoyé d'homme/ forces, entreposé a délos puis Athènes mais confusion avec celui de la cité notamment sous Péricles pour reconstruire la ville, le détournement va crée

va créer la séparation des pouvoirs. En France, à l’époque moderne, le roi détient seul le monopole du gouvernement, il a des pouvoirs confondus, faire les lois, juger et exécuter les lois. Dès le moyen âge le roi est justicier et il va légiférer, au départ, parce qu’il est justicier. A partir du XVIème s le pouvoir de faire la loi va se détacher du pouvoir de faire la justice et ce pouvoir de faire la loi va devenir la prérogative principale, supérieure du roi alors que c’était la justice. Le roi

publiques ont le devoir de faire respecter les coutumes". Autrement dit, cette obligation concerne d'abord les autorités locales comme le comte par exemple: "si celui ci méconnaît la coutume alors il appartient au roi d'intervenir en tant que roi justicier" Coutumes de Bauvaisis. Ce principe de roi gardien a une double conséquence: - judiciaire: tous les tribunaux, qu'il s'agisse de juridictions royales, seigneuriales ou municipales, ont l'obligation de trancher les litiges en appliquant les coutumes

véritable dévotion populaire. Ont estime que le roi peut pardonner et gracier l’âme et l’esprit et guérir le corps. De plus le roi lors du sacre s’engage a protéger les Eglise et assurer la paix et la justice dans son royaume et cet qualité de grand justicier lui permet d’avoir recours au droit et de tenter d’imposer sa loi. Le roi peut intervenir a plusieurs niveaux et limite les guerre privée (paix de Soisson) pour cela il utilise une technique celle de l’asseurement c’est a dire une promesse de s’abstenir

doublé d’hermine, assis sur son trône, porte les instruments symboliques du pouvoir. Aux symboles de l’Ancien Régime, il emprunte le sceptre (à gauche) qui rappelle son droit de commander, la main de justice (à droite) pour rappeler qu’il est suprême justicier et que toute justice découle d’une délégation personnelle de ses pouvoirs. Ce qu’il ajoute est le glaive impérial doré incrusté de pierres précieuses pour rappeler le grand chef de guerre qu’il fut et est encore, la couronne d’olivier remplace la

triomphant du crime, du châtiment du crime, des souffrances à subir pour l’expiation des fautes commises. Mais, ne pouvant s'en remettre à Villefort pour obtenir justice, il en vient à prétendre tenir sa légitimité de Dieu, à se présenter en superhéros justicier. Le roman peut donc amener à s'interroger sur les limites de la vengeance, car l'être humain a-t-il le droit de punir lorsque Dieu paraît silencieux? jusqu'où peut aller la vengeance puisqu’au nom de la justice, on peut causer des « dommages collatéraux »