La Liberté Selon Darwin

l’inconscient émis par Freud reste floue. Faut-il confondre la notion d’inconscience au concept d’inconscient ? Dans un premier lieu, nous verrons la notion non-psychique de l’inconscient évoquée par les philosophes. Puis, nous aborderons l’inconscient selon Freud. Enfin, nous étudierons en quoi la notion d’inconscience et le concept de l’inconscient sont incompatibles. Avant Freud, le mot « inconscient » sert à désigner les individus qui ne savent plus ce qu’ils font tels les hommes tombés dans le

les pensées peuvent les contrôler. Nous avons une distinction entre l’homme et l’animal. L’émotion serait la part animal de l’homme qui resurgirait. I. L’ÉMOTION FAIT-ELLE DE NOUS DES BÊTES ? Non pas au point de vue de l’adaptation selon DARWIN. Il va décrire les émotions et il va s’appuyer sur la théorie de l’évolution : Plus les animaux sont évolués, plus ils ressentent des émotions, le summum de l’évolution est l’homme L’émotion peut permettre l’adaptation de l’homme.

concepts liés aux processus mentaux inconscients. L'objectif visé était de dénouer des troubles psychiques médicalement inexplicables. Son époque fut grandement influencé par le développement scientifique. La théorie freudienne à été marqué par Charles Darwin, car sa théorie a radicalement transformer la conception de l'Homme. En effet, celle-ci a permis une place à l'Homme au sein du règne animal, alors qu'avec la tradition judéo-chrétienne, cela n'était point envisageable. Par conséquent, l'Homme devient

authentique éthique du bonheur et de la liberté. Il cherche donc à concilier déterminisme et liberté. Or, une telle conception va à l’encontre de la croyance qui est, selon lui, basée sur la méconnaissance des causes qui nous déterminent. Il est excommunié, pour cause d’hérésie, d’une façon particulièrement violente. Un homme aurait même tenté de le tuer. Nous pouvons établir un certain parallèle entre les sciences « dures » et « douces ». De la même manière que Darwin, fondateur de la théorie de l’évolution

l’obligation ; la perfection, le développement le plus parfaitement harmonieux du potentiel humain. L’autorité à laquelle doit obéir la conduite humaine change selon les écoles de pensée : la volonté divine, les lois de la nature et les règles de la raison apparaissent tour à tour comme le fondement de la régulation morale. Pour la pensée religieuse, selon laquelle la volonté divine représente l’autorité suprême, les actions humaines doivent obéir aux commandements consignés dans les textes sacrés. Pour les

Joseph Gall ( 1758 -1828 ) est un médecin allemand qui a concentré son travail sur l'étude du cerveau . S'il commence par travailler sur les liens entre la matière grise et la substance blanche , il développe par la suite une théorie localisationiste selon laquelle les facultés mentales sont liées spécifiquement à certaines parties du cerveau. Il poursuit sur cette voie et, suite à des observations faites notamment sur ses étudiants, en déduit que la forme du crâne est influencée par le développement

l’obligation ; la perfection, le développement le plus parfaitement harmonieux du potentiel humain. L’autorité à laquelle doit obéir la conduite humaine change selon les écoles de pensée : la volonté divine, les lois de la nature et les règles de la raison apparaissent tour à tour comme le fondement de la régulation morale. Pour la pensée religieuse, selon laquelle la volonté divine représente l’autorité suprême, les actions humaines doivent obéir aux commandements consignés dans les textes sacrés. Pour les

cet extrait, Nietzsche traite de la question du libre-arbitre, capacité de juger librement et d'être responsable de ses actes. Or selon lui cette idée du libre-arbitre n'est qu'une croyance et a été inventée par les prêtres et les théologiens soumettre les hommes. Ainsi l'auteur incite à se demander si la morale et le libre arbitre sont ou non un obstacle à la liberté nécessaire à la vie en société. Dans un premier temps nous étudierons comment Nietzsche révoque l'idée du libre-arbitre. Dans

et la transmission héréditaire. Enfin, la théorie de l’évolution, où Lamarck et Darwin essaye de comprendre « l’histoire » des espèces. Ceci nous laisse à penser que l’homme est capable d’établir une connaissance scientifique du vivant. Cependant, le vivant ne se comporte pas tout à fait comme les objets de la physique et de la chimie. Il est difficile d’étudier un être qui se modifie sans cesse, qui est différent selon l’âge, l’espèce et le milieu où il vit. Les organismes ne demeurent pas identiques

reçu la sensibilité, c’est à dire, la vie". -2- 2) La théorisation de l’eugénisme. a) De Darwin à Galton, en Angleterre. • Charles Darwin Il écrit en 1859 un ouvrage qui le rend célèbre, "L’origine des espèces". Dans cet ouvrage, il n’apparaît pas à proprement parler comme un eugéniste mais le fait est que son œuvre renferme déjà toutes les prémices du raisonnement eugéniste. Ch. Darwin explique l’évolution des espèces par un phénomène de sélection naturelle. Son sentiment est cependant