La Liberté Est Le Droit De Faire Tout Ce Que Les Lois Permettent

Sujet: La liberté est-elle menacée par l'égalité ? Liberté, égalité sont les mots qui permettent de composer la devise républicaine qui est « Liberté, égalité, fraternité ». Or liberté et égalité ne sont pas forcément conciliables. La liberté peut-elle être menacée par l'égalité ? Cette réflexion peut nous amener à se demander si ces deux mots sont vraiment conciliables sous toutes leurs formes. Sous quelles formes peuvent ils être conciliables ou non ? Quelles conséquences peuvent avoir ces

du texte de Hans KELSEN : « La Théorie pure du Droit » p 299-302 Le Droit est une science morale ; mais c’est aussi l’opposé de la barbarie, c ‘est la source de la civilisation, il permet le développement de la justice entre les hommes, le droit est l’assurance de la liberté dans toute son affectivité. Il faut s’assurer que par le droit la liberté est assurée a chacun. La pensée humaine est très évolutive au cours du temps, c’est pourquoi le Droit, en suivant les courants de pensée, a lui aussi

DÉSOBÉÏR AUX LOIS ? » Pour le commun, la liberté se réduit à faire ce que l'on veut, et ce qui est autre à nos propres désirs apparaît alors comme une entrave pour l'accomplissement sans limite et absolu de ces derniers. 
Ainsi la loi serait vécue de manière négative comme ce qui empêche la réalisation de nos “caprices“. La loi est-elle une contrainte ? La question est comment définir la liberté en elle-même et de montrer son rapport à la loi. Car la définition de la liberté, “notre liberté s’arrête

paraît en 1764 à Livourne en Italie, œuvre du marquis Cesare Beccaria 26 ans qui ne signera pas son œuvre tout de suite . C’est lors de sa publication dans La Gazette littéraire de l’Europe en 1765 que le livre fait scandale car il traite des cruautés des supplices et de l’irrégularité des procédures criminelles. Marquis Beccaria est entouré de personnes ayant des relations avec le droit ou la justice : son meilleur ami Pietro Veri, écrit une satire à l’encontre de la justice et son frère Alejandro

LA LIBERTE, LA JUSTICE, LA LOI INTRODUCTION : 1. LA LIBERTE : Définitions : Sens courant (Liberté par le désir) | Sens philosophiques (Liberté par la raison) | Pouvoir faire ce qui ma plaît, ce que je désir (Liberté-spontanéité) | Etre maître de soi (choisir nos désir/volontés) | Absence de contrainte et d’obligation | Autonomie (Choisir nos propre règles d’action)(Donc ici la liberté est liée à l’obligation) | 2. LA LOI ET LA JUSTICE : Définitions : a. LOI : la règle du

CHAPITRE 2 : LES SOURCES DU DROIT NATIONAL La loi a un caractère général et obligatoire. Elle émane de l’autorité publique. Au niveau interne, c’est la Constitution de 1958 qui organise les pouvoirs de l’Etat français. Les autorités nationales élaborent des textes généraux et obligatoires. I. LA CONSTITUTION A. L’adoption de la Constitution Le régime politique actuel est issu de la Constitution du 4 octobre 1958, qui a donné naissance à la Ve République. Les événements de la fin des années

HISTOIRE DU DROIT ET DES INSTITUTIONS 26 mars 2015 Le premier président du parlement de Paris répond à cette réforme du roi et il dit que ce qui est en train d’être imposé c’est un changement de Constitution, il fait référence à la réforme de Maupeou, changement déjà tenté en 1771 et auquel les magistrats ont su faire face. Le premier président du parlement de Paris déclare « la nation française n’adoptera jamais le despotisme qu’on veut aujourd’hui entre vos mains. » Le parlement de Normandie

DROIT DE L’INFORMATIQUE Le droit de l’informatique est l’ensemble des règles juridiques applicables aux situations mettant en cause les techniques du traitement de l’information. C’est une discipline relativement récente (25ans). La 1ère loi date de 1985 et tendait à la protection du logiciel. Différents aspects : - protection juridique des produits informatiques - les normes juridiques qui vont réguler la sécurité de l’informatique (contre le piratage)

étatiques qui respectent au mieux les droits et libertés fondamentales des individus mais aussi de limiter l’arbitraire et d’empêcher les abus liés à l’exercice de missions souveraines. Ainsi ce principe est devenu un élément essentiel des démocraties représentatives. La nécessité d’une telle séparation inspirera l’article 16 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 aout 1789 qui affirme que « toute société dans laquelle la garantie des Droits n’est pas assurée, ni la séparation

refuser de faire quelque chose, c'est ne pas se plier aux lois morales ou juridiques que l'on nous a imposées. La loi, c'est en effet d'abord la loi juridique, celle qui est produite par un pouvoir législatif et exécutée par un pouvoir exécutif, légitimes ou pas, et auxquelles les membres d'un Etat doivent se soumettre. Or, la désobéissance, pacifique ou violente, peut d'abord être entendue comme une action de contestation dont la finalité est d'aboutir à la remise en question des lois ou du régime