La Liberté Est Elle Absence De Contrainte

car la liberté pourrait être perçue comme une absence de contrainte. En effet, cet idéal qui anime la condition humaine se résumerait ainsi à faire ou exprimer ce que l’on veut sans loi qui pourrait nous y contraindre. Cependant l’absence de toute loi ne serait-elle pas elle même une contrainte à notre liberté ? Ne pourrions nous pas au contraire exprimer notre liberté à partir de nos propres lois, nos propres contraintes ? Est ce que la contrainte est nécessairement une limite à une liberté ? Est

" l6, liberté totale illimitée dans le temps. " toute leur vie "l1. • Cette liberté s’exprime dans la vie quotidienne : verbes à l’imparfait dans le premier § l’habitude • C’est grâce à la vertu qu’ils arrivent à rester dans une harmonie totale : aucun désordre (entente parfaite) « vertu » l8-11. • La vertu l’emporte sur le vice : " instinct et aiguillon qui les pousse toujours a la vertu et les éloigne du vice " (ligne 8) • Le mode de vie des Thélémites se base sur la totale liberté des faits

1 - Le désir de liberté Chaque individu possède au moins un désir, sinon une expérience, complète ou insatisfaisante, de ce qu’il nomme liberté. Le concept est cependant difficile à définir, parce qu’il concerne des domaines apparemment différents (de la liberté de penser à celle d’agir), mais aussi parce que ses acceptions historiques sont variables. L’expérience simple d’un comportement libre enseigne qu’il n’est soumis à aucun empêchement : être libre, c’est faire ce que l’on voulait – au

27 LA LIBERTÉ 1 L•ES•S Le désir de liberté Être libre, est-ce faire ce que l’on veut ? • Chaque individu possède au moins un désir, sinon une expérience de ce qu’il nomme liberté. Le concept est cependant difficile à définir, parce qu’il concerne des domaines apparemment différents (de la liberté de penser à celle d’agir), mais aussi parce que ses acceptions historiques sont variables. • L’expérience simple d’un comportement libre enseigne qu’il n’est soumis à aucun empêchement : être libre

touchant à la notion de liberté : croire en l'indépendance, n'est-ce pas faire preuve d'égarement ? Si oui, faut-il renoncer à la liberté ? Selon Épictète, l'homme vraiment libre ne recule pas devant la réalité. Il ne veut pas modifier ce qui ne dépend pas de lui. Aussi, il veut les contraintes sur lesquelles il n'a pas de prise. Pour cette raison, « la liberté consiste à vouloir que les choses arrivent [...] comme elles arrivent ». mots clés : philosophie[->0], liberté[->1], autonomie[->2], indépendance[->3]

que « la forme nécessite la contrainte, qui est la condition de la plénitude ». Quelques années auparavant, dans ses Nouveaux Prétextes, conférences données sur le théâtre, André Gide notait : « L’art est toujours le résultat d’une contrainte. […] C’est sur de la résistance, […] que l’art doit pouvoir s’appuyer pour monter. […] Le grand artiste est celui qu’exalte la gêne, à qui l’obstacle sert de tremplin […]. L’art naît de contrainte, vit de lutte, meurt de liberté. » La création littéraire est-elle

cette conception de la « conscience morale » : elle nous est donnée et nous dispense même des règles. Nous nous attacherons davantage à l’approche psychologique de la conscience afin de savoir si « elle est source de liberté ou de contrainte ». Nous verrons comment conscience et liberté sont étroitement liées et pourquoi l’homme peut parfois préférer l’inconscience. Source d’épanouissement et d’effort, en quel sens la conscience est-elle la plus grande tâche de l’Homme ? | | | 

La Liberté, c’est une notion vague. Elle peut avoir différentes définitions. La façon dont on la perçoit change selon la société, nos valeurs, nos expériences, nos perceptions… Pour ces raisons, il est difficile de donner une définition universelle à la liberté. Si nous ne considérons qu’une seule façon de la voir, certains n’en auraient pas alors qu’il croyait en avoir. Ce serait la même chose avec toutes définitions, car elles engloberaient pas assez ou trop de façon de la percevoir. Si nous définissons

innombrable. Cette humanité bien heureuse était fondamentalement pacifique. Elle ignorait la réalité, la concurrence. Et pratiquait spontanément la justice. Le bonheurs y est décrit de manière idéal comme absence du travail de douleur, comme absence de peur de mourir, bien vaillance des dieux et des animaux, absence de l'injustice et de guerre. Il ni a pas d'égalité social,, économique ou culturel. A la première génération de l'humanité, ce succède plusieurs race sans que Hésiode ne fasse allusion. La race

Sujet commentaire : Freud « La liberté individuelle n'est nullement un produit de la culture. C'est avant toute civilisation qu'elle était la plus grande, mais aussi sans valeur le plus souvent, car l'individu n'était guère en état de la défendre. Le développement de la civilisation lui impose des restrictions, et la justice exige que ces restrictions ne soient épargnées à personne. Quand une communauté humaine sent s’agiter en elle une poussée de liberté, cela peut répondre à un mouvement de