La Génisse La Chèvre La Brebis En Société Avec Le Lion

multifonctionnelle de l'oeuvre littéraire sera étudiée. Tout d’abord, la littérature peut se montrer propice à l’expression des opinions de l’auteur. L’homme de lettres peut ainsi dénoncer ce qui le scandalise parce qu'il est une figure de penseur dans la société, mais aussi parce qu'il sait déjouer les interdictions. Plusieurs genres ont en effet pour but de dénoncer. Certaines formes d’écriture sont par nature engagées. Le pamphlet, texte court qui fait le blâme virulent et explicite d’une personne ou d’un évènement 

Poésies • Texte 4 : Boris VIAN, « Les joyeux bouchers », 1954. TEXTES COMPLEMENTAIRES : • Du Bellay « Seigneur, je ne saurais regarder d’un bon œil », Les Regrets, 1558. • Jean de La Fontaine, « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion » Fables, 1668 • Paul Verlaine, « L’enterrement », Poèmes saturniens, 1866 • Arthur Rimbaud, « A la musique », Poésies, 1870. • Boris Vian, « Le Déserteur », 1954. Séquence n° 2 : La section « Spleen

trois le recueil des Fables pour des raisons structurales. En effet, la première partie du recueil ( livres I-IV ) contient les fables les plus connues de La Fontaine avec comme but de donner une moral et une critique sur la société de son époque et ce de manière indirecte. La Fontaine utilise dans cette première partie les animaux pour amuser, divertir sans subir des quelconques reproches « de la

veut se faire aussi grosse que le bœuf .....13 Les deux mulets ...................................................................14 Le Loup et le Chien .............................................................. 15 La Génisse, la Chèvre et la Brebis en société avec le Lion... 17 La Besace..............................................................................18 L’hirondelle et les petits oiseaux ........................................ 20 Le Rat de ville et le Rat des champs ..........

faire aussi grosse que le bœuf ........16 Les deux mulets....................................................................... 17 Le Loup et le Chien..................................................................19 La Génisse, la Chèvre et la Brebis en société avec le Lion......21 La Besace ................................................................................ 22 L’hirondelle et les petits oiseaux............................................ 24 Le Rat de ville et le Rat des champs..

faire aussi grosse que le bœuf ........14 Les deux mulets....................................................................... 15 Le Loup et le Chien ................................................................. 17 La Génisse, la Chèvre et la Brebis en société avec le Lion......19 La Besace ................................................................................ 20 L’hirondelle et les petits oiseaux............................................ 22 Le Rat de ville et le Rat des champs..

| |6. La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion |L'Eléphant étant écouté, |Enfin mainte et mainte machine | |La Génisse, la Chèvre, et leur soeur la Brebis, |Tout sage qu'il était, dit des choses pareilles. |Qui causera dans la saison | |Avec un fier Lion, seigneur du voisinage,

servi qu'un meunier, comme moi, tu ne serais pas si malade. » Le Loup et le Chien : Une fable où le Loup envie le Chien (sa situation), mais ce dernier n'étant pas libre, le Loup s'enfuit. La morale est implicite. La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le lion : Le lion ne veut pas partager avec les autres étant le plus fort, morale implicite. La Besace : Fable qui remet en question les défauts de l'homme, morale implicite. L'hirondelle et les petits oiseaux : Histoire d'une Hirondelle

prix un trésor. » Cela dit, maître Loup s’enfuit, et court encore. 10 La Génisse, la Chèvre, et la Brebis en société avec le Lion La Génisse, la Chèvre, et leur sœur la Brebis, Avec un fier lion, seigneur du voisinage, Firent société, dit-on, au temps jadis, Et mirent en commun le gain et le dommage. Dans les lacs de la Chèvre un cerf se trouva pris. Vers ses associés aussitôt elle envoie. Eux venus, le Lion par ses ongles compta, Et dit : « Nous sommes quatre à partager la proie. » Puis

personnages constituent la majeure partie du récit. Ainsi, le récit est dynamisé, cela plonge alors le lecteur dans la fable car celui-ci peut se confondre, se plonger dans la fable, et donc peut penser assister à un vrai dialogue. C’est le cas dans « Le Lion et le Moucheron » écrit par Jean de la Fontaine, provenant du livre II de ses Fables, où les deux protagonistes parlent activement à propos de qui est le plus puissant ; la morale de cette fable est que la force n'est pas nécessairement du côté du