La Grosse Tête

t – elle ? [pic] Avez-vous lu cette planche de la même façon que la première ? …………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….. • Etape 3 Gros plan sur les plans ! Lisez attentivement les explications sur les différents plans que l’on peut trouver dans les bandes dessinées. Reprenez, ensuite, la planche du Petit Spirou de la page 2. Trouvez le plan qui est utilisé pour chaque case. |Echelle

fini, on en a assez","Personn’ ne veut plus marcher","Et le cœur bien gros,comm’ dans un sanglot"), car ils savent ce qui les attend. "Notre place est si utile que sans nous on prend la pile" est une façon ironique de dire que les soldats vont se faire tuer au combat inutilement, ce qui montre leur absence d'illusions. "On s’en va là haut en baissant la tête" : cette phrase évoque à la fois la résignation et le fait de baisser la tête pour échapper aux balles ennemies en montant sur le plateau surplombant

Compétition German Au premier tour, on a eu du mal à se mettre vraiment dans le match, à enchaîner les frappes pour couvrir le filet et le mis court. Au 2eme tour on pensait jouer les 2eme paires danoises, finalement les Russes. Ils ont un gros ecart de niveau entre leur attaque et leur défense. Le But était de serré les premiers coups pour avoir l'attaque, ce qu'on a très bien réussi à faire. Quart de final : on rejouait les allemands qu'on a gagné la semaine dernière en 2set. Le but était

compose d’une tête de mort blanche, de deux carré fenêtres, de traits-graffitis-inscriptions blancs à l’extrême-bord droit. Tous ces éléments sont contenus dans un rectangle fond bleu marine très sombre, complètement éteint, les mille-et-une nuits. Mais ce rectangle-fond ne recouvre pas toute la première partie, il reste une bande noire d’une quarantaine de centimètres de haut sur un mètre de large en bas (tout le bas de cette partie) et un peu de noir en haut à droite. S6007468La tête de mort, qui

de quelqu'un de plus grand que lui Tibère: Vie de Tibère, LXVIII. Il était gros et robuste, d'une taille au-dessus de la moyenne, large des épaules et de la poitrine, bien fait et bien proportionné. Il était plus adroit et plus fort de la main gauche que de l'autre : les articulations en étaient si vigoureuses, qu'il perçait du doigt une pomme encore verte, et que, d'une chiquenaude, il blessait à la tête un enfant et même un jeune homme. Il avait le teint blanc, les cheveux un peu longs

champ). Quand machine s’arrête, Mme Mélikian parle : « Dis-moi, tu es sûre que je suis la seule à le savoir ? » Claire, assise près de la machine à coudre. Claire : « Ben oui. Elle fait face à la machine et est de profil. Elle Pourquoi ? » tourne la tête en direction de Mme Mélikian Mme Mélikian(son hors(hors-champ) champ) : « Parce Début du champ/contre-champ. que… » Mme Mélikian debout devant la table, qui parle Suite Mme Mélikian : en feuilletant le livre, toujours de profil. « …tout le monde s’inquiète

travers les deux corpus étudiés, il est intéressant d’analyser tout d’abord la description du sentiment amoureux et ses facettes et ensuite de regarder l’histoire d’amour comme un prétexte aux autres réflexions. CORPUS OLLIVIER, Mikaël. La Vie, en gros. Paris : Éditions Thierry Magnier, 2001 FLORIAN POUILLOUX, Sylvia. Le Garçon manqué. Paris : Éditions Nathan, 1993 I. L’AMOUR ET SES FACETTES La phase adolescente est caractérisée par la naissance d’un nouveau sentiment : l’amour. Ce sentiment

l'évènement : Tenant ses origines d'un petit personnage moqueur et gai luron que l'on nomme Gugusse, le carnaval de Marche est un mélange de personnages assez pittoresques issus des légendes de la Famenne tels les Nutons, les Diables, les Macrâles et la Grosse Biesse qui lui a maintenant donné son nom La légende : Autrefois à Marche, au « Fond des Vaulx », vivait un peuple de nutons barbus coiffés de bonnets pointus. Ils étaient très gentils et travailleurs. Comme ils étaient timides, jamais ils ne

cérémonie d'épousailles mit tout Boutigny sens dessus dessous. On admira fort les mariés, qui rentrèrent cacher leur bonheur au domicile conjugal, ayant résolu de faire tout simplement un petit voyage à Paris après quelques jours de tête-à-tête. Il fut charmant, ce tête-à-tête, maître Lebrument ayant su apporter dans ses premiers rapports avec sa femme une adresse, une délicatesse et un à-propos remarquables. Il avait pris pour devise : " Tout vient à point à qui sait attendre. " Il sut être en même temps

idée : de la résistance solide et surtout un volume : grosse est répété 3 fois, par comparaison avec [sa] grosse tête, et plus loin encore : me remplir la tête avec une seule idée. Le mot idée envahit le texte (7 occurrences) pour consacrer la supériorité de Robinson dans une sorte d’éloge funèbre : une belle idée, magnifique. B lui oppose une description péjorative de sa propre situation : Les miennes d’idées elles vadrouillaient plutôt dans ma tête avec plein d’espaces entre (…) : le pluriel est dévalorisant