La Fureur de vaincre

présente son maître comme un libertin sans aucune morale. Il a tenté de raisonner son maître à propos de ses mœurs qu'il n'approuve pas : « Il me réduit à applaudir ce que mon âme déteste. », mais en vain. De plus, Sganarelle croit en Dieu et craint la fureur divine si Dom Juan ne se repent pas. On peut affirmer que Sganarelle craint son maître : « La crainte en moi fait l’office du zèle. » par exemple, à la scène 4 de l'acte II avec Mathurine et Charlotte : « Mon maître est un fourbe […] elles se gardassent

L’Ingénu , Voltaire LA n°1 CH1) L'impitoyable bailli, qui ne pouvait réprimer sa fureur de questionner, poussa enfin la curiosité jusqu'à s'informer de quelle religion était M. le Huron ; s'il avait choisi la religion anglicane, ou la gallicane, ou la huguenote ? Je suis de ma religion, dit−il, comme vous de la vôtre. Hélas ! s'écria la Kerkabon, je vois bien que ces malheureux Anglais n'ont pas seulement songé à le baptiser. Eh ! mon Dieu, disait mademoiselle de Saint−Yves, comment se peut−il que

morale : « rien n’est trop chaud ni trop froid pour lui ». Il a tenté de raisonner son maître à propos de ses mœurs qu’il n’approuve pas : «Il me réduit à applaudir ce que mon âme déteste », mais en vain. De plus, Sganarelle croit en Dieu et craint la fureur divine si Dom Juan ne se repent pas. On peut affirmer que Sganarelle craint son maître : « la crainte en moi fait l’office du zèle ». Par exemple, à la scène 4 de l’acte II avec les paysannes : « mon maître est un fourbe […] elles se gardassent de

son maître comme un libertin sans aucune morale. Il a tenté de raisonner son maître à propos de ses mœurs qu'il n'approuve pas : « Il me réduit à applaudir ce que mon âme déteste. », mais en vain. De plus, Sganarelle croit en Dieu et craint la fureur divine si Dom Juan ne se repent pas. On peut affirmer que Sganarelle craint son maître : « La crainte en moi fait l’office du zèle. » par exemple, à la scène 4 de l'acte II avec Mathurine et Charlotte : « Mon maître est un fourbe […] elles se gardassent

plus lourd, les tirades sont pesantes. La mort en est le sujet principal. Avec Saül le furieux de Jean de La Taille (1572), la tragédie renaissante connaît une de ses plus belles réussites : en son cœur, moins la question de la mort que celle de la fureur, déchaînement des forces les plus obscures en l’homme. Le titre rappelle l’Hercule furieux de Sénèque. La pièce témoigne d’une vraie réflexion sur la tragédie. Dans sa préface, l’auteur prône les trois unités, les 5 actes séparés par un chœur, des

lendemain, 19 décembre, on brûla la mâture, les dromes, les esparres. On abattit les mâts, on les débita à coups de hache. L'équipage y mettait un zèle incroyable. Passepartout, taillant, coupant, sciant, faisait l'ouvrage de dix hommes. C'était une fureur de démolition. Le lendemain, 20, les bastingages, les pavois, les oeuvres-mortes, la plus grande partie du pont, furent dévorés. L'Henrietta n'était plus qu'un bâtiment rasé comme un ponton. Mais, ce jour-là, on avait eu connaissance de la côte

présente son maître comme un libertin sans aucune morale. Il a tenté de raisonner son maître à propos de ses mœurs qu'il n'approuve pas : « Il me réduit à applaudir ce que mon âme déteste. », mais en vain. De plus, Sganarelle croit en Dieu et craint la fureur divine si Dom Juan ne se repent pas. On peut affirmer que Sganarelle craint son maître : « La crainte en moi fait l’office du zèle. » par exemple, à la scène 4 de l'acte II avec Mathurine et Charlotte : « Mon maître est un fourbe […] elles se gardassent

leur indépendance faisait aussi, dans le principe, leur extrême pauvreté. Isolés au milieu des flots, éloignés de toutes villes, privés de secours et n’ayant pour subsister que le produit de leurs filets, il leur fallut un prodigieux effort pour vaincre leur misère et arracher le nécessaire. Mais la fortune souffre violence, et la nécessité incite l’esprit et le courage. Les pêcheurs des lagunes manquant de blé, de bois, de pierres et d’eau douce, choses de première nécessité à une société humaine

Phèdre (Racine), Didot, 1854 Esther  ► Jean Racine Œuvres de Jean Racine, précédées des Mémoires sur sa vie, par Louis Racine Didot , 1854 (p. 241-261). Phèdre PHÈDRE, TRAGÉDIE. — 1677. PRÉFACE. Voici encore une t ragédie dont le sujet est pris d’Euripide. Quoique j’aie suivi une route un peu différente de celle de cet auteur pour la conduite de l’act ion, je n’ai pas laissé d’enrichir ma pièce de tout ce qui m’a paru le plus éclatant dans la sienne. Quand je ne lui devrais que la seule idée

malgré moi se remplissent de pleurs. ŒNONE. Ah ! s’il vous faut rougir, rougissez d’un silence Qui de vos maux encore aigrit la violence. Rebelle à tous nos soins, sourde à tous nos discours, Voulez-vous, sans pitié, laisser finir vos jours ? Quelle fureur les borne au milieu de leur course ? Quel charme ou quel poison en a tari la source ? Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n’est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre