La Fuite Est Elle Une Lâcheté

sont comparés à démons qui font la fête joyeusement et nous dirige. Dans les vers 29-32, on retrouve des allégories des vices sous forme d’animaux. Baudelaire montre que le pouvoir destructeur de l'homme et ses vices nombreux, sont ralentis par sa lâcheté qui l'empêche d'aller jusqu'au bout de ses fantasmes morbides « Si le viol, le poison, le poignard, l'incendie, / N'ont pas encore brodé de leurs plaisants dessins / Le canevas banal de nos piteux destins / C'est que notre âme, hélas! n'est pas assez

chantage Montag exerce-t-il sur lui et par l'intermédiaire de quel objet le fait-il ? Quel projet envisagent-ils ensemble ? (2 points) C'est un vieil homme savant qui a vu arriver la disparition des livres et de la pensée mais n'a pas lutté, par lâcheté. Il se terre dans son appartement et essaie de ne pas se faire repérer par les autorités. Montag le contacte pour qu'il lui traduise ce que contiennent les livres, qu'il l'initie à la lecture. Faber commence par refuser. Montag déchire alors les premières

comme un personnage faible et à morphe par les deux auteurs. Dans l’extrait de La Débâcle, dès la ligne 3, Zola montre bien le côté faible de Napoléon III en écrivant « il pleura ». Il parle d’une « lamentable fuite en calèche ». L’adjectif « lamentable » insiste bien sur cette idée de lâcheté. Aux lignes 10 à 13, une phrase renforce lourdement cette idée : « le misérable empereur, qui, ne pouvant plus même supporter le trot du cheval, s’était affaissé sous la violence de quelque crise, fumant peut-être

chantage Montag exerce-t-il sur lui et par l'intermédiaire de quel objet le fait-il ? Quel projet envisagent-ils ensemble ? (2 points) C'est un vieil homme savant qui a vu arriver la disparition des livres et de la pensée mais n'a pas lutté, par lâcheté. Il se terre dans son appartement et essaie de ne pas se faire repérer par les autorités. Montag le contacte pour qu'il lui traduise ce que contiennent les livres, qu'il l'initie à la lecture. Faber commence par refuser. Montag déchire alors les premières

bétail que devrait se référer une telle description qu’à des humains, l’épique est parodié pour une approche ironique de la scène. Arrive alors la conclusion de ce premier passage relatant de la découverte de la guerre par notre jeune héros la fuite d’abord mais surtout l’image qui restera en mémoire, l’oxymore « boucherie héroïque » qui résume parfaitement le paradoxe et l’ironie qui motive ce passage. II. 2ème mouvement : les conséquences de la guerre Le lecteur quitte donc le champ de

Criton Quel étrange songe, Socrate ! Socrate Le sens m'en paraît très clair, Criton. Criton 1er raisonnement en faveur de la fuite Beaucoup trop, sans doute. Mais, ô mon cher Socrate ! encore une fois, suis mes conseils, laisse-moi te sauver. Ta mort serait un grand malheur pour moi à plus d'un titre : non seulement

cachée » au monde extérieur. Certains sont effectivement au courant de ce qui se passe dans le camp mais préfèrent se taire. En effet, l’homme libre ne veut pas savoir l’existence du camp même s’il en a tout de même la capacité, la possibilité, par lâcheté ou par peur. De telle manière que finalement il se contente d’accepter ce fait. Il se fait ainsi le complice du SS, en étant autant coupable que lui. Quant au déporté son espoir s’affaiblit progressivement jusqu’à s’éteindre dans la mort. Mais à la

l’inquiétude mais pourquoi, mon dieu pourquoi un être comme lui est-il soucieux, j’aimerais connaître la raison de son inquiétude et la faire cesser. Malheureusement pour ne pas passer pour une folle je quitte cette créature de rêve et je continue ma fuite. Je ne me retourne pas mais je peux encore sentir son regard sur moi. Après avoir quitté la cantine je me suis tout de suite sentie mieux mais je n’ai pas réussi à chasser ce souvenir, il repassait en boucle dans ma tête à me donner le tournis. Qui

qui a eu des suites si affreuses, vous ne voyez que des indécences1, et pas une action noire; vous n’y trouvez pas un seul de ces délits qui sont des crimes chez toutes les nations, point de meurtre, point de brigandage, point de violence, point de lâcheté: rien de ce qu’on reproche à ces enfants ne serait même un délit dans les autres communions chrétiennes2. […] Je vous dirai plus, monsieur; il n’y a point en France de loi expresse qui condamne à mort pour des blasphèmes3. L’ordonnance de 1666 prescrit

fois mariés, le séducteur n’éprouve plus aucun sentiment pour Elvire et l’abandonne, car « un autre objet a chassé Elvire de sa pensée ». Plus tard, Elvire va retrouver Dom Juan pour lui demander la raison de son départ, et celui-ci fait preuve de lâcheté en l’ignorant. Nous apprenons dans l’acte I, scène 2, que Dom Juan lie la constance à la mort, et que le seul intérêt qu’il a auprès des femmes est de les conquérir. Il avoue à Sganarelle que « lorsqu’on en est maître une fois (sous-entendu maître