La Fontaine Le Renard Et Le Bouc

Les animaux malades de la peste Jean de La Fontaine 1ère partie, v. 1-14 : la peinture de la peste. Cette première partie décrit la peste, fléau moins fréquent au XVIIème siècle, mais qui avait laissé de terribles souvenirs. Allusions aussi à l'Achéron (fleuve des enfers ; il fallait payer son passage, d'où la richesse !). On voit ici se mettre en place la symbolique animale : opposition entre les prédateurs (Loups, renards) et les proies (innocentes !), entre animaux belliqueux et pacifiques

Jean de la Fontaine est un écrivain français, connu essentiellement pour ses recueils de fables inspirées d’Esope, textes souvent plus complexes qu’il n’y paraît; il est également l’auteur de contes licencieux. Dans son recueil (les fables), il écrit « les animaux malades de la peste ». Cette fable amène une réflexion sur l'injustice, sur une décision politique qui consiste à trouver un "bouc émissaire" dont le sacrifice sauvera la société du fléau qui l'accable (la peste qui est en relation directe

apologues, qui est une des bases de ce type de texte. Le divertissement peut s’expliquer par une rapidité de l’action avec peu de description, aucun monologue ou même de prise de parole d’un personnage trop longue. Nous pouvons noter que dans Le Renard et le Bouc (fable V, livre 3), et dans tout apologue, on trouve un début in medias res avec le verbe conjugué « allait » v.1 qui permet de rentrer directement dans l’action sans avoir de description. De plus dans Le Loup et le Chien (fable V, livre 1) la

Lorsque Jean De La Fontaine publia ses fables en 1668, il les dédicaça à des enfants ainsi, il annonça ouvertement ses aspirations didactiques. « Le corbeau et le Renard », « La Cigale et la Fourmi », nous avons tous appris à l'école ces Fables de la Fontaine qui connurent en leur temps un glorieux succès pour l'originalité des récits et le caractère attrayant du monde animal.Pourtant, à peine un siècle plus tard, Rousseau, écrivain des lumières, critiqua ces fables dans Émile ou de l'éducation,

1 LES ANIMAUX MALADES DE LA PESTE « Les Animaux malades de la peste » est la première fable du livre VII, qui ouvre le deuxième recueil des Fables. Publié 10 ans après le 1er, en 1678, le talent de la Fontaine se décline ici dans des textes généralement plus longs, ce en quoi il s'éloigne de ses modèles que sont les fables d' Esope et de Phèdre, qui elles se limitaient à quelques phrases. On s'accorde généralement à dire qu'il leur donne, dans ce second recueil, un

LA FONTAINE – LES FABLES Jean de la Fontaine né le 8 juillet 1624 et mort le 13 avril 1695 à 74ans Peu d'information sur son enfance. Au collège il étudie surtout le latin, pas le grec (regret plus tard--> car volonté de traduire des textes anciens) Poète francais contemporain principalement connu pour ses fables. Courant : Classicisme Classicisme(1660-1685) : concevoir en harmonie les textes et les écrits, mettre en évidence la gloire du roi et la beauté du peuple français. Les

Commentaire composé : Les Animaux Malades De La Peste « La raison du plus fort est toujours la meilleure » Jean de La Fontaine. La Fontaine, un écrivain du 17ème siècle, se sert de l’écriture et plus particulièrement des fables pour prêter aux animaux les défauts et les qualités des hommes. Le monde animal qu’il crée à travers ces récits, représente la société du 17ème siècle. Son but était d’écrire pour instruire et faire réfléchir son lecteur tout en le distrayant, pour cela il fait apparaître

genre parfait pour mettre en pratique le précepte d’Horace. Vous pouvez reprendre la défi - nition que La Fontaine donne de la fable, comme étant composée de deux parties, le corps et l’âme (voir p. 102). ● La visée première de la fable est didactique, et c’est le choix de l’argumentation indirecte qui sert cette visée : « Je me sers d’animaux pour instruire les hommes », dit La Fontaine dans la fable liminaire du premier recueil, adressée au Dauphin. D’autre part, dans la préface du premier

TEXTE 1 : Les animaux malades de la peste, La Fontaine Intro: Auteur: - C'est sur la Fable LAMDP que s'ouvre livre 17 des Fables de la F - Depuis 1678 LF . s'intéresse de + en + à l'homme . accorde + de place à satyre de société contemporaine - Ce fabuliste utilise beaucoup l'apologue - Ds cette fable LF pointe du doigt l'injustice qui règne à la cours - montre comment un conseil (réuni par le lion) pour châtier le plus coupable finit par sacrifier le moins

de Jean de La Fontaine propose de même une réflexion sur l’autrui. La fable « Le Renard et le Bouc » (p19) est un apologue (petit récit allégorique exposant une vérité morale). Nous avons d’un côté le Renard fourbe « [Le Renard] était passé maître en fait de tromperie » (v4) et le Bouc naïf ; ayant tous les deux soif, ils descendirent dans un puits mais se retrouvèrent dans l’incapacité d’en remonter. Le Renard mis en pratique sa stratégie, ce qui rend le Bouc admiratif ; le Renard se trouve arrogant