La Fontaine Le Lion Et Le Rat

liberté ≠ tyrannie / avenir ≠ passé  La présence massive de l’Histoire On fait apparaître une écriture de l’opposition  Opposition peuple ≠ foule Définition antithétique du genre humain : lumière ≠ chaos On souligne la place des images  L’image du lion On interroge la représentation du poète. La figure du poète : - « le penseur », celui qui « entendra » - qui représente le « nous » du Prologue ? Conclusion : Programmation d’une écriture de l’antithèse, d’une écriture de l’image, d’une écriture

A. Distinguez les comparaisons, les métaphores, les allégories et les personnifications en indiquant dans chaque cas les points communs entre comparé et comparant. Un Lion décrépit, goutteux, n'en pouvant plus, Voulait que l'on trouvât remède à sa vieillesse : Alléguer l'impossible aux rois c'est un abus. Jean de La Fontaine, Fables Un caractère moral s'attache aux scènes de l'automne : ces feuilles qui tombent comme nos ans, ces fleurs qui se fanent comme nos heures, ces nuages qui fuient

brin d’ironie retorse, le rusé « brave homme » s’appuie sur elles pour en duper les représentants. La morale du fabliau La morale du fabliau – « Nul ne doit agir contre sa nature » – est surprenante. Habitués que nous sommes aux fables de La Fontaine, nous nous serions plutôt attendus à voir blâmer l’esprit 7 Réponses aux « … à vous… » Moyen Âge crédule du bourgeois accordant sa confiance et ses deniers à un imposteur. La générosité du bourgeois serait-elle signe manifeste d’orgueil

sales, sans oublier ma vipère, que je pris cette fois par la queue et à qui j'imprimai un joli mouvement de balancier. Mais, soudain, un hurlement déchira mes premières réflexions scientifiques et, de la fenêtre de la peu courageuse Mlle Ernestine Lion, tomba cet ordre épouvanté : « Voulez-vous lâcher cela tout de suite ! » Puis, en crescendo tragique : « Ah ! le malheureux enfant ! » Je restai perplexe. Quel drame ! Appels, exclamations entrecroisés, affolement de talons par les escaliers.

désireuse de plaire, émue d’être digne et embellie de sabbat. « Bienvenus, paisible sabbat », nous disait-elle. Et de ses mains levées, écartées en rayons, elle me bénissait sacerdotalement et regardait, presque animalement, avec une attention de lionne, si j’étais toujours en bonne santé ou, humainement, si je n’étais pas triste ou soucieux. Mais tout était bien ce jour-là et elle aspirait l’odeur du myrte traditionnel que nous lui apportions. Elle frottait les brins entre ses petites mains et

attractions paronymiques : donataire (n.m.) – Personne à laquelle on fait une donnation / donateur (n.m.) – Personne qui fait une donnation; greffon (n.m.) – Fragment de tissu ou d’organe transplanté / griffon (n.m.) – 1. Monstre mythologique à corps de lion et à tête et griffes d’aigle; motif décoratif qui représente un tel monstre. 2. Espèce de chien de chasse à poils longs et rudes. 3. Bouche d'un puits à eau minérale. Dans certains cas les paronymes ont le même nombre de sons, leur ordre étant

d’exemple », « toute ma vie est destinée à… » 4. Registre satirique : vocabulaire péjoratif « attifée », « pend », « faux », « mal mis », « traînassant » etc. ; métaphore dévalorisante « un nez à bec de perroquet » et comparaison dévalorisante « comme un rat d’église ». 5. Registre tragique : lexique de la fatalité « fardeau » ; tournure passive « qui m’était imposé » et tournure impersonnelle « Il fallait » qui exprime la nécessité ; évocation du « choix des dieux » en association avec le dernier vers

narrative souligne d’abord son empressement (v.  13-16). La Fontaine a ensuite recours au discours descriptif pour rendre compte avec précision des sentiments et pensées du renard. Ainsi, l’imparfait (se réjouissait, v.  18  ; croyait, v.  19) et les notations descriptives (caractérisation sensorielle – vue, goût, odeur – de la viande, v.  18, 19) dominent ; l’auteur décrit les pensées du renard (v.  18, 19). En suggérant l’appétit du renard, La Fontaine accentue l’écart entre les attentes de l’animal et

prendre garde à ce que vous dites de ma famille, maître. Tueur des miens ou pas, je demeure un lion. » La déclaration parut amuser infiniment le seigneur des fromages. Il se claqua une cuisse charnue et lança : « Ah, les Ouestriens ! Vous êtes tous les mêmes. Vous cousez un animal sur un bout de soie, et vous voilà soudain des lions, des dragons ou des aigles. Je peux vous mener devant un vrai lion, mon petit ami. Le prince en garde une troupe dans sa ménagerie. Aimeriez-vous partager leur

a tenté de faire que la grammaire devienne une « conseillère modeste et judicieuse de ceux qui entendent parler et écrire exactement ». Dépréciant vertement la méthode traditionnelle admise depuis des siècles de la vieille grammaire, André Fontaine, dans son ouvrage Le Problème grammatical, osa entrevoir que la grammaire, plus qu’une science des signes et des mots, est une science des idées. En grammaire, il faut connaître d’abord les formes pour mieux connaître le mécanisme des fonctions