La Fontaine De Sang Baudelaire

Baudelaire, Les Fleurs du mal Analyse du recueil Nous allons analyser l'ensemble de ce recueil , analyser son atmosphère , l'ambiance , le thème , le type d'univers , mais aussi décrire le style de ce recueil . Pour cela , nous allons commenter et argumenter chaque parties en s'aidant des poèmes choisis . • Conception de la poésie par Baudelaire Baudelaire est en conflit avec l’idée des Lumière que tous les hommes sont bons. Il n’est pas d’accord avec l’idée que l’art est une vitrine de

Vague gentille et odorante fleur, Ne te plains d'être en ce vase serrée, La blanche main qui belle t'a donnée Tient beaucoup plus étroitement mon coeur. Que si l'eau manque à te donner vigueur, Toujours seras de mes larmes baignée, Et de mon sang, par la plaie ferrée Qu'amour m'a fait te rendrai la couleur. Et pour l'amour de celle qui t'envoie O fleur où gît un fragment de ma joie! Cent fois le jour je te veux odorer, Cent fois le jour je te veux adorer, En attendant qu'amour ma

regardait avec amour et l'admirait longuement, ou lui disait des vers écrits dans une langue qu'elle ne savait pas2 nous raconte Th. de Banville), en passant par Apollonie Sabatier (à qui Th. Gautier a écrit ses Lettres à la Présidente3), Charles Baudelaire conservera, son existence durant, ce goût précoce des femmes qui façonnera durablement et profondément son œuvre et aiguisera sa sensibilité de dandy. Les allégories féminines Différentes réalités abstraites sont présentées sous les traits d’une

mais une Dom Juan Inconstance   Introduction Le 17ème siècle est celui du classicisme qui est marqué par la recherche d'un idéal esthétique et humain représenté par les écrivains de la seconde moitié du 17ème siècle, notamment Racine, La Fontaine, Bossuet et Molière. Dans le théâtre, Molière se plait à critiquer l'imposture et la fausse dévotion. Sa pièce Dom Juan jouée en 1665 eut un gros succès mais sa représentation fut rapidement retirée et censurée. Dom Juan, représenté à la première

3. Montesquieu, Lettres Persanes, lettre XXIV, les embarras de Paris (1721) 4. La Fontaine, Fables, III, 2, « Les Membres & l’Estomac », (1668) 5. Montaigne, Essais, Livre I, XXXI, « Des cannibales »

élément qui leur est commun (la motivation, ou point de comparaison) et grâce à un outil grammatical (comme, pareil à, tel que, ressembler à, mieux que, autant que, ...). À savoir pour les troisième ! Le poète est semblable au prince des nuées. (Baudelaire) [modifier]La métaphore Elle établit une assimilation entre deux termes. Comparé et comparant sont rapprochés sans terme de comparaison. On peut dire que c'est « une image ». Un gros serpent de fumée noire. (Maupassant) À savoir pour les

écrits et témoignages. Il crée également la revue « Poètes casqués » qui paraît ensuite sous le nom de « Poésie 40...45 » qui renferme des textes de poètes au front. Ces revues sont bien évidemment soumises à la censure. Les exemples foisonnent: « Fontaine » paraît à Alger et a été créée par Max Paul Fouchet. Et enfin il y a « Confluences » qui paraît à Lyon, éditée par René Tavernier. Le système des éditions clandestines est également utilisé, illustrons avec les Editions de Minuit chez qui les auteurs

sera « L’Eté » de Theodore de Banville ; et le deuxième un sonnet : « Vent d’été » de Charles Cros. Puis, viendra l’automne, toujours avec des poèmes du XIXème siècle. D’abord « L’automne », d’Alphonse de Lamartine ; puis « Chant d’automne » de Baudelaire. Enfin, l’hiver, encore avec des œuvres du XIXème siècle. Nous commencerons par « Que j’aime le premier frisson d’hiver » d’Alfred de Musset ; pour finir avec « L’Hiver » de Theodore de Banville. Nous avons choisi cet ordre car il suit le cycle

Les Obsèques de la Lionne Fables de la Fontaine N.B : Le premier recueil est dédié a monseigneur le Dauphin, fils de Louis XIV. Le deuxième (1668-1694) est une dédicace à Madame de Montespan (la maitresse en titre du roi). Elle est mariée au marquis de Montespan, qui toute sa vie, refusera cette situation de cocu royale. Il va ajouter à ses armes deux énormes Cornes de Cerf qui exhibent aux yeux de tous, sa qualité de cornard. Jean de la Fontaine (1621-1695) commence sa carrière au prés

dans la flamme les poisons, les ordures, les rouilles, les oxydes […] Faites passer ces incandescences à travers le prisme ou à travers la poésie, vous aurez des spectres splendides et le laid deviendra le grand et le mal deviendra le beau » Baudelaire va délaisser le ridicule, le grotesque, le comique du laid. Il se situe à un autre niveau. Pour lui la laideur et le mal renvoient à présent au monde contemporain, à la société moderne et à la femme. Il reproche à la modernité de n'avoir aucun idéal