La Fonction De Consommation Keynesienne

d’Epargne ? Dans cette perspective deux courants idéologiques s’opposent, d’une part les néoclassiques qui incitent à l’Epargne pour pourvoir aux besoins de l’activité économique, en stimulant du côté de l’offre. D’une autre, les Keynésiens préconisent l’impulsion de la consommation du côté de la demande afin d’atteindre les objectifs des grands variables macroéconomiques. C’est-à-dire l’emploi, la croissance, la stabilité des prix, le faible taux de chômage et la balance commerciale excédentaire comme

croissance. Pas de réponse unique dans la théorie éco. Ex : théorie du chômage : Néoclassique (rigidité des salaires, w trop élevés,…) Keynésiens (insuffisance de la demande effective) Théorie traditionnelle : Théorie de la croissance exogène de Robert Solow. (En 1956) Cette théorie ne commence pas avec lui (Ricardo,…) =Réponse à une théorie d’inspiration Keynésienne inférieure : théorie d’HARROD-DOMAR (années 30-40). Le modèle de Solow va être le modèle de croissance pendant une trentaine d’années

Qu'est ce que l'Economie ? Le PIB La consommation finale L'investissement La croissance Le chômage L'Inflation Les politiques économiques Qu'est ce que l'économie ? ● L'économie : organisation de la production et de la répartition des richesses – – – Circuit économique simplifié Interdépendance entre les acteurs Loi de la rareté et implication Microéconomie & macroéconomie Définition et rôle de la théorie économique Théorie classique & keynésienne ● L'économie : une science – –

Fiche n°4 : Consommation et épargne dans les modèles de la synthèse de Keynes : * Les comportements de consommation dépendraient de facteurs objectifs et subjectifs. * Conditions objectives aux revenus primaires, à la redistribution et à l’inflation. Revenus primaires : salaires, bénéfices, intérêts. Redistribution : politique fiscale et parafiscale : impôts, taxes et prestations. * Conditions subjectives liées aux penchants psychologiques, aux coutumes. Perception des revenus passés

définit la consommation finale des ménages comme la valeur des biens et services marchands et non marchands utilisés pour la satisfaction des besoins individuels. L'épargne est la partie non consommée du revenu disponible, c'est-à-dire net d'impôt. Les questions de la consommation et de l'épargne des ménages sont au centre du débat économique contemporain. I. La préférence keynésienne va à la consommation… A. Au cœur de l'arbitrage, le revenu B. Au cœur de l'analyse, la fonction de consommation

pendant les années capitalistes A débuté au Etats-Unis et s’est propagée dans le monde entier Dans les années 20, tout va bien « The US roaring Twenties » les années folles Croissance : - du marché immobilier aux Etats-Unis - des crédits à la consommation et au logement - des valeurs mobilières (bulle spéculative) - du PIB aux Etats-Unis Entre 1918 et 1920 le taux des prêts a augmenté, sont très importants Tout le monde espère faire fortune, on empreinte car on sait qu’on va gagner de l’argentLes

idéologie / choix partisan Chapitre 1 : Le cadre comptable Chapitre 2 : Les hypothèses du modèle 1. Les hypothèses concernant les comportements des agents économiques 1. Les ménages • L’offre de travail  • Consommation et épargne 2. Consommation et épargne • Motif de transaction • Motif de précaution • Motif de spéculation 3. Les comportements des entreprises 1. Les décisions d’emploi et de production (=d’embauche) 2. Les décisions d’investissement

Question 54 : Quels sont les différents déterminants de l’épargne et la consommation ? INTRODUCTION L’épargne des ménages peut être définie comme la différence entre leur revenu disponible et leur consommation. Consommer signifie détruire par l’usage, immédiatement ou progressivement des biens et des services. Il existe donc une interaction entre consommation et épargne. Nous allons dans un premier temps montrer en quoi la consommation et l’épargne ont un rôle dans l’équilibre offre/demande et dans un

monnaie ; avec cette monnaie, ils achètent soit des biens de consommation, soit des titres émis par les entreprises (actions et obligations) ; les titres sont émis par les entreprises pour financer leurs acquisitions de biens d'investissement, l'achat de titres par les ménages correspond donc à un achat indirect de biens d'investissement ; ainsi, avec leur monnaie, les ménages achètent directement ou indirectement, soit des biens de consommation, soit des biens d'investissement ; le marché assure l'équilibre

­­> Le mécanisme multiplicateur :   Utilisation keynesienne qui consiste à montrer que : Augm. Revenus ­> Augm. Conso ­> Augm. P° ­> Augm.  Emploi  Selon Keynes, le chômage est une situation d’équilibre, qui necessite l'intervention de l’Etat.   ­­> La propension marginale à consommer :  Elle mesure la part qu’un agent économique consacre à la consommation en cas de variation de ses revenus.   ­­> 3 grands acteurs économiques : les ménages, les entreprises et l’état.   Multiplicateur keynésien : k= 1/1­C   Le déficit