La Folie Chez Maupassant

Affamés par des semaines de lutte, le mouvement se durcit. Les soldats rétablissent l'ordre, mais la grève continue. Lors d'un mouvement de rébellion, de nombreux mineurs défient les soldats qui se mettent à tirer sur les manifestants : Maheu, l'ouvrier chez qui Étienne logé, est tué. Les mineurs se résignent à reprendre le travail. C'est alors que Souvarine, un ouvrier anarchiste, sabote la mine. Quelques mineurs meurent. Étienne, Catherine et Chaval son amant, sont bloqués dans la mine. Chaval provoque

s'accomplir. Ils imaginent une Europe unie, une « république des Lettres » qui privilégie les intérêts de l'homme à toute cause politique ou religieuse. Le pacifisme est illustré par des œuvres comme L'Utopie (1516) de Thomas Morse, L’Éloge de la folie (1511) d’Érasme, les romans de François Rabelais ou les Essais (1580-1595) de Michel de Montaigne. Un monde de culture:l'harmonie entre les hommes ne peut s'effectuer qu'à partir du moment où ils peuvent communiquer et se comprendre. Aussi tous les

et l’inconscience de la victime est fréquemment employé dans les récits ou les films d’épouvante. Les mots du champ lexical de la peur deviennent nombreux à partir du § 7 : « effrayante », « [une] épouvante » (noter l'emploi récurrent, chez Zola comme chez Maupassant, de l'article indéfini avec le nom d'une émotion : les émotions s'analysant comme des substances chimiques), « horrible ». Le meurtre se passe presque sans bruit : au début, Camille « voulut crier », mais vainement, et les deux appels

jouissance ont diminué son goût, j'ai été longtemps sans m'en apercevoir ; j'aimais pour deux, je passais ma vie entière avec lui, et mon cœur, exempt de soupçon, jouissait du plaisir d'aimer et de l'illusion de se croire aimé... Texte 2. Guy de Maupassant : Le bonheur. Texte publié dans Le Gaulois du 16 mars 1884, puis publié dans le recueil Contes du jour et de la nuit. C'était l'heure du thé, avant l'entrée des lampes. La villa dominait la mer; le soleil disparu avait laissé le ciel tout rose

l'atteindre car il a dû souffrir dans cette période de son enfance. Pour commencer "il a ouvert la bouche" (L4), et lorsqu'on nous indique "mais rien n'est sorti" (L6), cela montre la fêlure de Romand. Ce dernier entre dans un état de crise proche de la folie comme nous le montre la gradation ligne 6 et 7: "Il a vaciller. Il s'est mis à trembler doucement, puis fort, de tous ces membres et une sorte de fredon égaré s'est échappé de sa bouche". Ici Romand entre dans un réelle crise, il ne se contrôle plus:

Sartre J-P S. naît le 21 juin 1905 à Paris, il est fils unique et provient d'une famille bourgeoise. Son père meurt trois mois après sa naissance, terrassé par la fièvre asiatique. Sartre ne connaitra donc pas son père. Sartre vivra donc son enfance chez les Schweitzer, sa famille maternelle. Il fait ses études à Paris où il rencontre Paul Nizan. En 1924, Sartre intègre l’École normale supérieure et obtient son agrégation de philosophie en 1929. Reçue seconde a l'agrégation de philosophie, Simonde

côtés obscurs de sa personnalité que vers sa littérature. Pourquoi écrivait-elle? "... J'écris comme j'aime, parce que telle est ma destinée, probablement, et c'est ma consolation". Elle aima le désert, elle a su l'écrire. Elle n'avait de chez soi paisible que dans les zaouias hospitalières et sur cette terre d'Afrique "où même la mélancolie des horizons n'y est ni menaçante, ni désolée comme partout ailleurs". Ce qui a de plus clair en elle, de plus limpide: sa recherche des

déjà présent dans le mouvement romantique (dans les écrits d’un Musset ou d’un Gérard de Nerval, par exemple, sans compter ceux de Gautier – on n’a qu’à penser à la préface de Mademoiselle de Maupin pour s’en convaincre) comme il le sera plus tard chez Baudelaire. Ainsi, époque de bouleversements tant économiques que sociaux, le XIXe siècle est traversé de nombreuses contradictions qui se retrouvent aussi dans la condition de ses écrivains. 1. Ce qui explique le mépris dans lequel sera tenu

personnage pendant une période de folie. Le récit est mené à la première personne; mais le "je" recouvre deux personnes distinctes : celles du personnage qui perçoit des mondes inconnus et celle du narrateur qui transcrit les impressions du premier. A première vue le fantastique n'existe pas ici : le personnage considère ses visions comme une vision plus lucide du monde (il est donc dans le merveilleux) ni pour le narrateur qui sait qu'elles relèvent de la folie ou du rêve, non de la réalité (de

est, quelle est sa véritable personnalité. Cet ouvrage propose également un tableau de la société sous le règne de Charles X.   * Vie d'Henry Brulard (1835–1836) est un ouvrage qui permet de mesurer le paradoxe dans l'écriture autobiographique chez Stendhal. En effet, Henry Beyle use d'un nouveau pseudonyme (Brulard est le nom de son oncle paternel) pour mieux se connaître ou se faire connaître. Ce livre relate la vie de Stendhal, selon une chronologie classique de l'enfance aux premières années