La Foi Chez Machiavel

Chrétienté ( ne désigne pas tous les chrétiens, pas les orthodoxes), la chrétienté est une sorte de corps mythiquosociale qui reconnaisse l’autorité de l’Eglise de Rome et qui a participait à l’empire Carolingien. La chrétienté découle d’une unité de la foi qui n’empêche pas les différentes frontières. Pape et empereur ont une double autorité : spirituelle et 1 sur 28 temporelle. Cette unité de chrétienté et lié a l’unité de croyance qui se base sur des prières, sur le culte de la Vierge, sur le cultes

grands exaltés ou les toquades futiles et fugaces de certains illuminés, elle nourrit pour sa part une passion presque opiniâtre pour la recherche de l’excellence. Une passion étonnamment circonspecte, qui a du souffle et qui instille, la vie durant, chez celui qui la possède le goût d’aller au fond des choses. Elle a en horreur la médiocrité, la nonchalance, le désœuvrement, le je-m’en-foutisme et la trivialité. Les demi-mesures lui répugnent au plus haut point. Aussi, n’a-t-elle jamais éprouvé d’inconfort

morale ». Mais le problème, c'est que cette religion de l'homme ne convient pas non plus ; elle est trop douce, trop « pacifiste », elle détourne les citoyens de leurs devoirs proprement politiques; le chrétien ne peut pas être un bon citoyen (cf. Machiavel), le vrai chrétien est impuissant, démuni face aux tyrans. Rousseau est donc amené à inventer une nouvelle religion politique sans pouvoir le dire. Cette nouvelle religion civile cherche à valoriser un sentiment de sociabilité : il s'agit d'aimer

pouvoir la diriger. Qui sont ces philosophes ? Ce sont ceux qui sont concentrés, qui ont une réflexion sur le B commun. Les plus savants. Platon considérait que ts les enfants devaient être élevés ensemble et que, très jeune, on allait voir chez ces enfants leurs qualités et tempérament réel. Puis on pourrait les orienter vers une fonction qui correspond à ce qu’on estime être leur nature profonde => pas de liberté pour définir son avenir : indiv doit se soumettre a cette vérité supérieur

par l’empire des turcs dut l’empire Ottoman. Les turcs sont des très bons militaires, devenus de très bon agriculteurs et au 16ème siècle, ils deviennent de très bons marins. L’Europe face aux turcs se sent UNE et on trouve cette idée chez les poètes et notamment chez un poète portugais Camouais. En 1571, il y a une bataille à LEPANTE (appelé bataille de la chrétienté)ou toutes les nations d’Europe se sont battues contre les Turcs sauf les français (qui ont été les traites de la bande). Les français

activités et tel que les associés s'engagent à partager toute perte ou tout bénéfice qui découlerait de cette association. Recherchant un fondement du pouvoir moins discutable que le droit divin (Saint Bonaventure) et moins arbitraire que la force (Machiavel), les penseurs politiques se sont tournés vers le concept juridique d'accord contractuel fondé sur le consentement mutuel. La conception contractuelle de l'Etat est le produit d’une culture qui définit l’être humain comme un être rationnel, c’est-à-dire

France, s'ils n'en ont pas montré certaines faces exceptionnelles, très défavorables, si ces peintures où l'on ne trouve guère que nos vices et nos laideurs, n'ont pas fait à notre pays un tort immense près des nations étrangères. Le talent, la bonne foi des auteurs, la libéralité connue de leurs principes, donnaient à leurs paroles un poids accablant. Le monde a reçu leurs livres, comme un jugement terrible de la France sur elle-même. La France a cela de grave contre elle, qu'elle se montre nue aux

donc chercher dans la mythologie nationale pour appuyer la position du roi. Dans un premier temps on développe les liens entre la monarchie capétienne avec la monarchie carolingienne et la dynastie mérovingienne. Par ailleurs on trouve cela notamment chez Jean Paris le développement du mythe païen. C’est un mythe qui consiste à dire que l’origine de la monarchie française serait dû à quelques milliers de troyens qui auraient quitté leur ville au moment de la défaite contre les grecs et qui seraient

locuteurs/ sujets parlants distincts ou une seule instance soumise à une visée regardante différente, prise dans un contexte différent. Les termes idiolecté et idiolectant ne sont pas sans rappeler le couple locuteurs citant/cité, ou encore, chez Bakhtine  :  le couple consciences représentante/représentée . Le travail de re- présentation opéré par la conscience représentante rend compte du caractère construit, voire reconstruit, de l’idiolecte. La re-présen- tation de la voix

utiliser afin de vider une querelle à son avantage n'offrirait qu'une assurance insuffisante à l'autre partie; des accords tacites pour cesser le combat resteraient également instables[3]. De tels sentiments d'avoir été injustement traités peuvent naître chez les deux parties même si le droit apparaît parfaitement clair et si les deux s'accordent sur les aspects de la conduite de chaque personne. Il y aura d'autant plus de risques de représailles que les faits ou les droits resteront obscurs jusqu'à un