La Flèche d'or

1.3 l'arbre d'or En septembre 1990, la forêt se retrouve incendiée pendant 5 jours ce qui a dévasté la forêt. Heureusement après cette catastrophe des dons ont afflués. La protection sinistrée par l'association de sauvegarde du val sans retour ont assurés la replantation et le nettoyage de la forêt Pour garder en mémoire ces événements François Davin à crée l'arbre d'or entouré de cinq arbres noirs représentant les forêts détruites et brulées. Si on ne veut que l'arbre d'or devienne la représentation

de bataille ou d’évoluer en «formation de tortue » (bouclier sur leurs têtes afin de parer aux flèches ennemies).Chacune des légions possédant une couleur différente on pouvait voir évoluer ainsi toute la vaillante armée de César. Ce dernier, fin stratège exigeait que ces illustres légions continuent leur prestigieux entrainement, il allait jusqu'à se mettre en avant afin de parader avec son bouclier d’or brillant. Il les faisait se déplacer autour de la citadelle afin de mettre à mal le moral des

paraphrases de textes bibliques, sur les Douze Petits Prophètes (1601) et sur les Psaumes (1613). Biographie : Pierre de Marbeuf (1596-1635) est un poète baroque français du XVIIe siècle. Naissance : SAHURS Il fait ses études au collège de La Flèche et vit à Paris de 1619 à 1623. Il étudie le droit en compagnie de Descartes. Auteur de sonnets baroques et du Recueil de vers (publié à Rouen en 1628), il met en œuvre les thèmes de la nature, de la fragilité de la vie et de l'amour. Il sera aussi

qu’à … » b. Simplicité des biens Peuple à l’ état de nature ; référence aux sauvages d’Afrique et d’Amérique ( explorations depuis le XVIème ) avec ce voc : « habits de peaux », »plumes », «coquillages »,  « se peindre le corps », « arcs » , « flèches » + ADJECTIFS : rustiques et grossiers Allitération en « p » : rudesse de ce peuple c. Simplicités dans le relations humaines Relations réduites au minimum : « des ouvrages qu’un seul pouvait faire » « des arts qui n’avaient pas besoin de plusieurs

bel obus semblable aux mimosas en fleur Et puis ce souvenir éclaté dans l'espace Couvrirait de mon sang le monde tout entier La mer les monts les vals et l'étoile qui passe Les soleils merveilleux mûrissant dans l'espace Comme font les fruits d'or autour de Baratier1 Souvenir oublié vivant dans toutes choses Je rougirais le bout de tes jolis seins roses Je rougirais ta bouche et tes cheveux sanglants Tu ne vieillirais point toutes ces belles choses Rajeuniraient toujours pour leurs destins

début du XIIe siècle av. J.-C. Les Grecs voulurent sans doute piller cette cité prospère pour ses richesses, ou bien faire cesser le contrôle commercial qu'elle exerçait sur les Dardanelles. Dans les récits légendaires, la guerre naquit d'une pomme d'or, sur laquelle étaient inscrits ces mots : «!à la plus belle!», et qui fut jetée par Éris, déesse de la Discorde, au milieu d'un banquet divin, où l'on célébrait l'union de Pélée, roi des Myrmidons, avec Thétis, l'une des Néréides. La pomme, destinée

amante de Valère. VALÈRE, fils d'Anselme, et amant d'Élise. MARIANE, amante de Cléante, et aimée d'Harpagon. ANSELME, père de Valère, et de Mariane. FROSINE, femme d'intrigue. MAITRE SIMON, courtier. MAITRE JACQUES, cuisinier et cocher d'Harpagon. LA FLÈCHE, valet de Cléante. DAME CLAUDE, servante d'Harpagon. BRINDAVOINE, LA MERLUCHE, laquais d'Harpagon. LE COMMISSAIRE, ET SON CLERC. La scène est à Paris. ACTE I, SCÈNE PREMIÈRE VALÈRE, ÉLISE. VALÈRE.— Hé quoi, charmante Élise, vous devenez mélancolique

amante de Valère. VALÈRE, fils d'Anselme, et amant d'Élise. MARIANE, amante de Cléante, et aimée d'Harpagon. ANSELME, père de Valère, et de Mariane. FROSINE, femme d'intrigue. MAITRE SIMON, courtier. MAITRE JACQUES, cuisinier et cocher d'Harpagon. LA FLÈCHE, valet de Cléante. DAME CLAUDE, servante d'Harpagon. BRINDAVOINE, LA MERLUCHE, laquais d'Harpagon. LE COMMISSAIRE, ET SON CLERC. La scène est à Paris. ACTE I, SCÈNE PREMIÈRE VALÈRE, ÉLISE. VALÈRE.— Hé quoi, charmante Élise, vous devenez mélancolique

Mycène. Hercule partit sur le champ pour l'Erythrie. Lorsqu'il arriva devant le chien qui gardait le troupeau, il prit sa massue et l'assomma pour le mettre hors de danger. Puis, il décocha sept flèches au dragon. Géryon accourut. Hercule l'abattit puis emmena son troupeau jusqu'à Mycène. | Les pommes d'or des Espérides Hercule dût cueillir les fruits d'un pommier en or et qui était gardé par les Espérides, filles d'Atlas, et par un dragon.Hercule partit à la recherche de ce pommier. On lui avait

entreprise à la suite de l'enlèvement d'Hélène, épouse du roi de Sparte, Ménélas, par le troyen Pâris, fils de Priam, roi de Troie. En effet, Hélène lui avait été promise par Aphrodite, en remerciement pour le jugement du mont Ida, lui attribuant la pomme d'or. Pâris dut alors choisir entre Héra, Athéna et Aphrodite, lui promettant respectivement l’Asie, la sagesse et l'amour de la plus belle femme du monde : Hélène. Les rois grecs, descendants de Pélops, se réunissent alors. Liés entre eux par le serment