La Femme Venal

féminin sont évoquées, comme par exemple « ses reins », « ses seins », « sa taille » ou encore « son bassin ». Dans le deuxième poème, la femme est très sexualisée. Elle représente la tentation à se laisser aller aux plaisirs charnels, comme avec la phrase : « Et pétrissant ses seins sur le fer de son busc, laissant couler ses mots tout imprégnés de musc », où la femme met en avant ses atouts féminins afin de séduire l’homme en face d’elle. Elle se décrit comme étant : « si docte aux voluptés », « timide

sexuels hors mariage « elle était couchée et se laissait aimer ». On peut ajouter dans ce registre « Les métamorphoses du vampire », encore un poeme condamné, texte dans lequel la femme incarne un animal érotique et malfaisant : le serpent « en se tordant ainsi qu’un serpent sur la braise ». dans les poeme “lesbos” et “femmees damnées” baudelaire n'hésite pas à parler de l'homosexualité féminine qu'il perçoit comme un fantasme inaccessible, pour appuyer sont ideé il fait une description detaillé de ses

C’est le triomphe de la femme lascive, tout en courbes, qui évoque peut-être le serpent de la Genèse, la femme sensuelle et tentatrice (Voir poème XXVII ou XXVIII Le serpent qui danse ou À une Madone qui lie la femme tout à la fois à la Vierge et à la vision apocalyptique du péché). Qui est cette femme ? Certains ont voulu y reconnaître une femme que Baudelaire avait aimée et dont il ne cite pas le nom, peut-être la mulâtresse Jeanne Duval car, selon le poète, cette femme était « couchée [sur un]

problèmes ? -> catégorie spleen *La muse vénale : sonnet B. parle de lui-même à travers le perso de la muse ? -> catégorie spleen *L'ennemi : sonnet mot "fleurs" parle du temps, de lui face au temps -> catégorie spleen *La géante : B. attiré par le gigantisme Décrit un plaisir, une envie -> catégorie idéal *Parfum exotique : compare femme à un paysage exotique => symbolisme -> catégorie idéal *Le serpent qui danse : description d'une femme beaucoup de comparaison et métaphore

Parfum exotique + L’invitation au voyage + Le serpent qui danse + Le chat, XXXIV + À celle qui est trop gaie + Le vampire -VII – La Muse malade -VIII – La Muse vénale – Jeanne Duval (poèmes 21 à 35) Elle est une source de correspondances pour le poète. Elle ouvre au poète un monde d’images et de sensations visuelles et olfactives, mais simultanément elle le trouble et le glace comme le révèlent les images sataniques (vampires...). Les figures sont empruntes de sensualité et

au-dessus de la femme pour montrer qu’il domine dans le couple et l’homme montre sapuissance par sa virilité avec le blouson de cuir et la cigarette et le fait qu’il regarde sa femme d’un air supérieur . la femme obeit on voit qu’elle est soumise par le fait que sa bretelle soit tombée . Clichés numéro 2 : les femmes à la maison, les hommes travaillent on voit que l’homme travaille puisqu’il est devant un ordinateur en plein travail avec son casque et à coté de lui sa femme qui s’occupe de

outre qu’il soit légitimé par la nécessité démographique, l’acte sexuel «  est le seul plaisir qui ne coûte rien » et dés lors il est une compensation à la misère, « on se console pendant la nuit, sans frais, des calamités du jour. » (59) - Amour vénal, amour passager, amour passionné, amour sensuel, de conquêtes en ruptures, l’amour est montré sous tous ses aspects. Le parfait amour ne semble pas exister, il reste inaccessible aux humains et non sans ironie et humour, en faisant du chien du meunier

écrire la lettre d'une femme (accords, sensibilité, rapport de séduction ? ) -         évocation de ses émotions ressenties à la lecture de la légende -         développement des réflexions que l'histoire lui inspire.   Mon cher ami, Comme votre légende m'a plu ! Elle a fait naître en moi la plus vive émotion ! Votre homme au cerveau d'or m'a touchée au plus haut point. Comme j'aurais souhaité être celle qu'il aimât. J'espère que j'aurais su me conduire autrement que cette femme oiseau et reconnaître

il y a bien lieu à condamnation, l’ouvrage contenant des passages ou expressions obscènes et immorales. Baudelaire doit verser une amende de 300 francs et six poèmes sont retirés du recueil: Les bijoux, Le Léthé, A celle qui est trop gaie, Lesbos, Femme damnées et les Métamorphoses du vampire. Le procès des Fleurs du Mal pose à nouveau, plus de cinquante ans après l’abolition de la censure par la Révolution Française, la question des rapports de l’écrivain avec la liberté d’expression. II- Vue

qui, dans la mythologie grecque, serait le fils du Chaos été frère de la Nuit. Il représente donc les Ténèbres infernales. On parle aussi « des grands sphinx » dans ce poème. Un sphinx est un monstre énigmatique et cruel de la mythologie grecque, mi-femme mi-lion. Pour pouvoir passer, il fallait répondre correction à sa question sinon elle nous mangeait. La question était « qui, le matin marche à quatre pates, à deux le midi et trois le soir ? ». La réponse était l’Homme. Cette créature imaginaire