La Femme Et Le Pantin

son désir pour les femmes et le désir qu'elles ont pour lui. Ici, Dom Juan dis "Si je peux vivre dans ta chair à n'importe quoi je m'engage." c'est une sorte d'indice pour dire que rien n'est un obstacle suffisant pour l'empêcher de conquérir une femme, même le mariage ne lui fais pas peur. Dès le départ il parle de l'acte de l'amour avant même de lui promettre sa main d'époux. Dans cet extrait nous voyons aussi son aspect hypocrite. Il dit "Tant que Dieu me prêtera vie, je serai votre esclave. Voici

2. La Bruyère Caractères, XI, « De l’Homme », § 35 => Ironique - Irène est hypocondriaque car elle a peur de la mort. => Ridicule, selon Bruyère puisque la mort est naturelle, il ne sert à rien de la redouter. - Satire de la médecine - Femme coquette, vieillissante qui redoute la mort Comique de répétition et décalage entre les questions et les réponses. Elle ne dévie pas de son obsession. 3. Bossuet « Sermon sur la mort » => Pathétique - Sermon : discours religieux, prêche

maitre pourrait-elle exister dans la réalité ? Dans les Bonnes de Genet les personnages sont pathétiques et grandioses. Ces personnages évoquent les grands clowns. Madame est le Monsieur Loyal de ce cirque métaphysique. Claire et Solange en sont les pantins. Rien n’est plus éloigné du réel que ces figures outrancières. Enfin la parole théâtrale peut éloigner davantage théâtre et réel. Ainsi dans les tragédies classiques ou les drames d’Hugo les pièces sont écrites en vers. Les personnages s’expriment

mystique, tandis qu’il roulait sur son pouce une prise de tabac (…) ». (21) Mais, plus grave encore : ce côté matérialiste se retrouve dans les propos de Bournisien. Inutile de rappeler la scène si connue entre Emma et le curé, lors de laquelle la jeune femme recherche un réconfort moral tandis que le prêtre ne « songe qu’au physique ». (22) Si, lors de ses visites à Hippolyte, le curé incite l’infirme à reprendre ses pratiques religieuses, quels arguments emploie-t-il ? L’espérance d’une vie future ? Non

L’« automate » et le « Pantin » : ils représentent la déshumanisation, la mécanisation de l’individu et dénoncent alors le capitalisme, la justice bourgeoise et la militarisation du monde (notamment par des robots, des somnambules, des épouvantails, des clowns, des statues qui prennent vie, etc.). Le « double », le « reflet », l’« ombre » : ce sont des métaphores de la division, du sujet écartelé entre le bien et le mal, entre son inconscient et le conscient. La « femme » : elle a un statut ambigu

Exclamatives et interrogatives. Notion de théâtre dans le théâtre à nouveau. B] La cruauté de la scène Scène de portrait dans la tradition satirique des moralistes. Euphrosine n’a qu’une envie : s’en aller. Scène dure. Personnage tels des pantins. C] Emprisonnement des êtres. Euphrosine: victime «voilà qui est fini»: mort sociale. Fascination de Cléanthis pour son rôle. Utilisation du « on » : les amis. ⎝ Scènes d’exposition racontant la vie passée des deux personnages

Je vous ai mis en rouge les connecteurs logiques pour que vous vous souveniez que les connecteurs logiques, c’est la vie. Cette phrase doit être votre mantra l’année prochaine, quand vous travaillerez l’écrit du bac. (LES OBSÈQUES DE LA LIONNE La femme du Lion mourut ; Aussitôt chacun accourut Pour s'acquitter envers le Prince De certains compliments de consolation, Qui sont surcroît d'affliction. Il fit avertir sa province Que les obsèques se feraient Un tel jour, en tel lieu ; ses prévôts

l'univers psychiatrique. Dans le premier acte, on trouve Giselle aux pieds nus dans un décors de nature luxuriant, mais plus simple que celui de l'original. Une île tropicale dont les formes montagneuses suggèrent la sensualité du corps de la femme. Le second acte bouleverse encore plus l'image de Giselle. Il se passe dans un établissement psychiatrique. Giselle n'est pas morte, mais elle devient folle et elle est internée. C'est une vision tout à fait surréaliste. Elle appartient

vouée au malheur, malgré les assauts d’Apollon son Dieu protecteur, impétueux mais fatalement sous le joug du destin dont il ne saurait se défaire par sa nature même d’Oracle. A noter que les deux Olympiens semblent se jouer des hommes comme de pantins. Pour autant il convient de se demander si Apollon et Athéna, à l’instar des mortels ne sont finalement pas, eux aussi, soumis à la volonté d’autres divinités dont le pouvoir est encore plus grand que le leur. La mythologie nous rappelle

et comment ils vont « recréer » la pièce des auteurs qu’ils ont choisi de représenter. L’affiche du Cid en flamenco d’une grande sensualité et beauté plastique, très dramatique dans sa composition, montre deux ombres sur un fond de feu, celle d’une femme nue élancée les deux bras levés tenant une épée dirigée vers la tête d’un homme situé plus bas qu’elle et s’offrant à la mort ; la recherche graphique rejoint la recherche musicale et chorégraphique du flamenco et insistent sur les intentions essentiellement