La Femme Et Le Pantin

Le père Goriot peut être considéré comme le personnage le plus important de l’œuvre de Balzac, étant au centre de l’intrigue même si il est moins actif qu’Eugène de Rastignac, l’histoire gravite autour de lui. Balzac disait dans Autre étude de femme « L’amour unique et vrai […] produit une sorte d’apathie corporelle en harmonie avec la contemplation dans laquelle on tombe » et c’est peu être ainsi que l’on doit qualifier ce personnage, quelqu’un d’aimant qui est hors de la réalité et que sa passion

qui il est. Le théâtre possède donc un rôle important. Le théâtre peut ainsi faire passer des message et faire réfléchir tout en divertissant. Dans le texte de Kean de Dumas la aussi le théâtre a une fonction importante car grâce à lui Anna, une femme "sans vis, ni âme" reprend goût a la vie après qu'elle est la pièce de théâtre Roméo. Dans le Fo, le gai savoir de l'acteur, l'acteur insiste sur la différence entre le théâtre et la littérature "il n'y rien (...)qu'on fasse pour l'y réduire".Selon

inférieure(ce qui est souligné par le mari qui affirme orgueilleusement qu’il fait partie de « ceux qui sont au-dessus de [George Dandin ] »), ils sont tellement caricaturés dans leur étroitesse d’état d’esprit que le spectateur les voit comme des pantins qui, au nom d’une obéissance stricte aux codes de l’époque, cachent en réalité une situation défavorable mais surtout une avarice et un manque total de respect, ce qui ne les place absolument pas au-dessus de celui qu’ils critiquent. Dans un troisième

voit 3 « gueules cassées » assises autour d une table entrain de jouer aux cartes. Ils jouent dans une pièce sombre, peut être un café. Il y a un décalage entre le banal de la situation (une partie de carte ) et des joueurs représentés comme des pantins ridicules assis autour d’une table. Ces trois caricatures ne peuvent plus tenir les cartes en main: prothèses, pieds et bouches les remplacent dans cette fonction. Ils sont difformes, estropiés, affreux. Les regards sont vides L’homme de droite

souvient de rien (l26) 2) Une fille passive -« on » : Suzanne est objet, énumération pour montrer une succession d’actions et accentue sa passivité -« je fus prêchée » Suzanne sujet à la voix passive -comparaison avec un « automate », Suzanne pantin, manipulée, elle agit mécaniquement : « aucune conscience de ce qu’elle fait » (l5) 3) Une description clinique -« on est excédé de réflexion » (l12) : renvoie à une expérience médicale ; « on » > impersonnel : généralisation -l15-18 >

ancien français, et étaient récités par des jongleurs lors de fêtes ou dans les foires.(thèmes principaux) Le fabliau des « Perdrix », également intitulé « Le dit des perdrix », met en scène une tromperie, construite autour de trois personnages : une femme gourmande et rusée parvient, à l'aide de ses mensonges, à berner son mari, un paysan naïf et impulsif, et un prêtre. (problématique) [1]« Le dit des Perdrix » apparaît comme un texte argumentatif original : le caractère foncièrement distrayant de cette

absurdes ou vides • Refus du didactisme, de l’engagement, de l’idéologie. Caractéristiques : • Disparition de l’intrigue : les situations n’évoluent pas, pas d’intrigue dans le sens « narratif » du terme. • Crise du personnage (présenté comme un pantin qui perd parfois son identité). • Lieu et temps imprécis ou incohérents. • Absence de communication entre les personnages : le langage mis en scène n’est plus un moyen de communication mais exprime le vide, l’incohérence : déconstruction du langage

mademoiselle Louise B. A Mlle Fanny de P. A Petite Jeanne A propos d'Horace A propos de dona Rosa A qui donc sommes-nous ? A qui la faute ? A quoi songeaient les deux cavaliers ... A un homme partant pour la chasse A un poète A un poète aveugle A une femme A une jeune fille A Vianden A Villequier A Virgile Abîme - L'Homme Abîme - La Voie Lactée Adieux de l'hôtesse arabe Ah ! c'est un rêve ! non ! nous n'y consentons point Aimons toujours ! Aimons encore !... Air de la princesse d'Orange Âme ! être, c'est

la fuite d'Oedipe. Mais le Sphinx n'est pas libre comme elle le voudrait pour elle et Oedipe. Oedipe est loin du héros myhtologique que l'on attendaient, c'est un héros puéril qui n'a aucun courage " Oedipe pousse un cri." Il est une sorte de pantin ridicule dans les mains des Dieux. Jean Cocteau a voulu le faire paraitre comme un homme simple d'esprit , en effet l'exclamation " Vainqueur ! " et ridicule puisque la victoire n'est du qu' au Sphinx ce qui montre sa vanité car il ne comprend pas

sur l’esprit des femmes : on a pu voir le sort de Nana, le linge sale accumulé dans la blanchisserie insinue chez Gervaise le laxisme et la paresse morale. Zola montre le milieu professionnel des ouvrières comme entraînant un déséquilibre moral. La femme ne gagne que de l’argent au prix d’une perte de sens moral, le travail chez l’homme lui permet de conserver son honorabilité (cf. la déchéance de Coupeau et le regard accusateur du lecteur quand il se vautre dans la paresse). 2. L’alcoolL’alcoolisme