La Femme Et Le Pantin

et s’apprête à se lancer la vie « active ». Avec son ironie subtile, Flaubert nous raconte comment son pantin va évoluer, se trouver un travail, une femme, mais surtout des ennuis. Découpage du texte en quatre parties distinctes * L’examen raté de Charles. * Comment sa mère va lui trouver un travail * Comment sa mère va lui trouver une femme * La description de cette femme Axe Principal Comment Flaubert fait-il passer Charles pour un incapable notoire. Thèmes * L’éducation

aussi un autre mutilé, bien vêtu, le buste bien droit et qui passe devant le mendiant sans le regarder. On voit ensuite des morceaux de personnages tel qu’une femme aux formes généreuse qui porte une robe rose ; des bourgeois que l’on distingue grâce à leurs gants et leurs costumes. Tous les personnages ressemblent à des poupées, des pantins. Quelques œuvres du même auteur vues en classe : Le marchand d’allumettes La Guerre

Le rôle de Florence dans l'oeuvre. I) Florence : un décor. a) Réalisme et couleur locale. b) Une certaine unité de lieu. II) Florence : un personnage. a) Une mère nourricière, protectrice. b) Une femme perdu, débauché. III) Florence : un symbole. a) Florence : miroir de Paris en 1830. b) Florence : miroir du pessimisme de Musset. I) Florence : un décor. a) Réalisme et couleur locale. Florence est le berceau de la renaissance italienne (référence à Tebaldeo). Elle

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féminins en ruine, ou à l’exposition de chairs déchues qui surent jadis inspirer la passion, s’opposerait l’image du beau vieillard, sec, droit, élégant et digne comme un hidalgo. 5 S’il y a une violence certaine de l’écriture et du regard porté sur la femme vieillie, c’est aussi celle du regard extérieur porté sur l’autre, sur le féminin (même si ce regard peut-être parfois celui d’un autoportrait par déplacement, ou par anticipation, ou par identification). Tandis que sur un autre registre se dessine

pâles émanations que simulait l'extrait du tilia de Londres. Ce décor posé en quelques grandes lignes, fuyant à perte de vue sous ses yeux fermés, il insuffla une légère pluie d'essences humaines et quasi félines, sentant la jupe, annonçant la femme poudrée et fardée, le stéphanotis, l'ayapana, l'opopanax, le chypre, le champaka, le sarcanthus, sur lesquels il juxtaposa un soupçon de seringa, afin de donner dans la vie factice du maquillage qu'ils dégageaient, un fleur naturel de rires en sueur

ne s’inscrit d’emblée dans aucune direction précise, son entrée – qui serait très attendue dans le cadre d’une tragédie classique – est déceptive car son effet est aussitôt annulée par sa sortie. Cette didascalie désigne le Roi comme une sorte de pantin dérisoire, effet farcesque à relier à la fin de la 1ère didascalie concernant le décor p 12, fort explicite à ce sujet «  on entend une musique dérisoirement royale, imitée d’après les Levers du Roi du XVIIème siècle ». Cette gestuelle des personnages

formes sont irréelles, plus elles s’approchent de la vérité physiologique du corps humain et non de la vérité animale. Ainsi elles répondent à l’image de la femme désirable. La femme désirable serait fade pour Bataille, elle ne provoquerait pas le désir si elle n’annonce pas un désir aussi un peu animal secret, suggestif. La beauté de la femme désirable annonce ses parties honteuses, les parties pileuses, animales. L’instinct inscrit le désir de ces parties. Mais au-delà de l’instinct sexuel, le

et allitérations soulignent la mélancolie du poème et de la douleur d’aimer. II) Un mal contre lequel on ne peut lutter a)Le désordre des sentiments -Présence abondante d’antithèses, qui engendre le trouble et le désarroi de la femme amoureuse donc le plaisir et la souffrance -L’accumulation de conjonction de coordination montre la multitude des sentiments éprouvés. –Rythmes binaires incessants + parallélismes de construction qui

d’abord nous pouvons remarquer que les textes 2 et 3 traitent le même point de vue de l’homme, qui est l’insensibilité des condamnés lors de leur jugement. “[…] il sidérait les psychiatres en leur fournissant […] un récit articulé, en évoquant sa femme et ses enfants sans émotion particulière’’ (Texte 3 l. 13-15) et “Pas une seule fois, […] cet homme n’a paru ému de son abominable forfait.’’ (Texte 2 l.5-6), “Je ne regrettais pas beaucoup mon acte’’ (l.9-10). De plus, le texte 1 met au jour la