La Fatiha

africains (le processus a déjà commencé pour le Mali et la Côte d'Ivoire) C.PRINCIPAUX PROMOTEURS ET ADMINISTRATION DE L'AFFAIRE : Principaux promoteurs - DRISSI Talal - DRISSI Amine - DRISSI Med - DRISSI Oussama - DRISSI Marouane - FASSIFIHRI Fatiha Conseil d'Administration : - M. DRISSI Talal - M. DRISSIAmine Dirigeants : - M. DRISSI Amine -Mme DRISSI Marouane % du capital 30% 20% 20% 10% 10% 10% D. moyens d'exploitation Existants : Fonds de commerce Registre de commerce : créé : N° 149183

comptables-francais DUNORD. • Système Comptable : document de travail, plan comptable général (PCN), projet 4 modifie, mars 2004. • MEMOIRE de fin D’étude (élaboration d’un bilan comptable) : réalisé par Melle BELDJILALI Amina-DAHO Soraya et BOUKERMA Fatiha, encadrer par : ABDERRAHMMANE.2003/2004. • Séminaire : prise d’inventaire des stocks et des investissements, étude, formation, conseil, novembre 2007. • Mémoire de fin d’étude : les opérations de fin d’exercice, réalisé par : Melle HADJ Sahraoui Nassima

qualité de son encadrement. Mes remerciements s’adressent également à mon chef hiérarchique, Mlle Amal KAANANE, pour son soutien et ses orientations. Il m’est particulièrement agréable de remercier le responsable de ce cycle, Mr MOUAFFAK, et Mme Fatiha AHDI ainsi que tous les intervenants qui ont animé les séminaires et qui n’ont épargné aucun effort pour nous faire bénéficier de leurs connaissances et de leurs expériences. Enfin, Je souhaite par ce présent travail apporter un plus à ma société

tour, un repas copieux et nous vous donnerons une indemnisation pour les élèves les plus avancés. ». Il accepta. Quand ils l’eurent fait entrer dans la mosquée, ils réci- 43 Le patrimoine immatériel et ses acteurs tèrent tous ensemble la fatiha puis ils se réunirent pour se concerter. « Il nous faut honorer nos engagements envers le maître d’école, dirent certains. ». Comme les élèves sont nombreux, il nous faut désigner quelqu’un pour veiller au bon déroulement du tour. Quiconque ne

contrôle de l’agent des sûretés (comptes mis sous séquestre). Chaque compte aura un objet bien défini, donc l’emprunteur devra conserver les montants convenus sur les comptes de réserves spécifiques. Ces comptes doivent être nantis au profit de 34 Fatiha TALEB, « financement de projet », revue algérienne des sciences juridiques, économiques et politiques, volume n° 3, 1996, p 405 35 JBIC Séminaire Financement de Projet. Alger, avril 2008 Page | 100 Chapitre II : Le Project Finance comme Technique

il était sale, il puait comme une bête. » .» | P63 « durant ces neuf jours, j’ai dû supporter la bestialité sexuelle de ces hommes. J’ai été violée par 17 d’entre eux en une semaine, parfois à raison de quatre, cinq fois la même nuit » | P79 «  Fatiha disciplinée et affectueuse était très appréciée par son entourage, jusqu’au jour où elle entra au lycée. Des changements inexpliqués transformaient le caractère de l’adolescente. Elle devenait dure, amère et difficile à contrôler. Elle commença à

et système de motivation du Marin ». Par SY FEYROUZ Najatt. – « La mise en place d'un système de contrôle interne efficace ». Par BOUAFIA Mohamed. – « Projet de réorganisation du département programme et dévelop/RAM ». Par SENHAJI Wafae et BENCHIBA Fatiha. – « Relations SNDE /Filiales /Évaluation, contraintes et proposition d'une alternative ». Par BEN WAHMANE Karim. – « Audit organisationnel du groupe DOUNIA Plast : TUMAG diagnostic au manuel de procédures ». Par NGHEDE MDARGA Thomas. OPTION FINANCE

26 Lire notamment Noha Mellor, The Making of Arab News, 2005, p. 10. Maurice Flory, Robert Mantran, Les régimes politiques arabes, PUF, 1991. Banque mondiale, chiffres de 2004 : http://www.worldbank.org/data/ countrydata/countrydata.html 7 Fatiha Kaoues, Monde arabe: la démocratie introuvable, http://www. arabesques.org/lien1.php?Cdoss=6&Cart=4, décembre 2002 8 9 Al-Watan, le 3 juillet 2002 Nouchine Yavari-d’Hellencourt, «Islam et démocratie: de la nécessité d’une contextualisation »

forme d’équilibre que tout le monde a essayé de trouver par et en lui même. La deuxième station, encore plus majoritaire, si l’on peut dire, c’est le " culturel cultuel ". C’est l’Islam de ma mère qui fait sa prière quotidienne avec une moitié de fatiha, massivement assaisonnée de noms de Dieu et de familiarité pieuse, de mon père, qui le vit sans le penser s’acquittant d’un devoir avec une discrétion surprenante dans ses espaces de promiscuité que sont les médinas. Une troisième station est renaissante

pas être très courageux, mais sa présence parmi nous était réconfortante. Hamid me demanda si je connaissais la jeune femme à la fenêtre. — Non. Qui peut-elle être ? — Elle s’appelle Fatiha la Charifa. Son mari était un flic tuberculeux qui se soignait à domicile. Un de ses amis venait souvent le voir à la maison. Fatiha buvait et fumait avec cet ami. Des fois, le mari les accompagnait et buvait jusqu’à cracher du sang. Je crois qu’il savait que sa femme le trompait avec son ami. Un soir il les a surpris