La Fabrique des sentiments

la colère ou d'embrasser dans l'amour que d'appeler table une table. Les sentiments et les conduites passionnelles sont inventés comme les mots. Même ceux qui, comme la paternité, paraissent inscrit dans le corps humain sont en réalité des institutions. il est impossible de superposer chez l'homme une première couche de comportements que l'on appelerait "naturels" et un monde culturel ou spirituel fabriqué. Tout est fabriqué et tout est naturel chez l'homme, comme on voudra dire, en ce sens qu'il

l’histoire Grégoire est un garçon qui hait l’école. Il a déjà redoublé deux fois. Ses parents veulent qu’il étudie plus et ils se disputent à cause de ses mauvaises notes. Grégoire est moqué par ses camerades de classe. Il aime bricoler, inventer et fabriquer comme son grand-père Léon. Après changer entre des écoles diverses, Grégoire décide de poser sa candidature a l’école du Grandchamps, un lycée technique. A ce moment son grand-père est à l’hôpital, pour ça Grégoire est très triste et désespéré.

attendris". Il ne voit pas le côté démoniaque de la machine il en est fasciné. Ses sentiments sont tendres et affectifs par rapport à L'Alambic. Il va même jusqu'à dire qu'il veut que le tuyau soit souder à sa bouche pour qu'il puisse boire de l'alcool jusqu'à en perdre la vie (il faut ici analyser des procédés pour éviter de paraphraser le texte). Alors que Gervaise à une vison opposée à celle de Mes Bottes ses sentiments sont très différents face à L'Alambic. Elle se sent mal à l'aise par rapport

désirs ni passions,des machines automatiques ,comme nous les appelons.»(l.3-4).Il décrit de manière péjorative les «instruments»,les «machines »qui fabriquent les articles .Il insiste sur le fait,qu’elles ne sont pas humaines et donc dépourvues de sentiments ,généralement de valeur affective.Elles ne peuvent ainsi transmettre à l’objet une quelconque valeur artistique .Il reproche en quelque sorte de manière implicite la déshumanisation engendrée par l industrialisation .C’est d’ailleurs ce qui transparaît

Dissertation Culture Générale “ Tout est fabriqué et tout est naturel chez l’homme. ” Maurice Merleau Ponty, Phénoménologie de la perception. “ Il a le geste vif et appuyé, un peu trop précis, un peu trop rapide, il vient vers les consommateurs d’un pas un peu trop vif, il s’incline avec un peu trop d’empressement (…). Mais à quoi donc joue t-il ? Il ne faut pas l’observer longtemps pour s’en rendre compte : il joue à être garçon de café.” écrit Sartre en 1943 dans l’Etre et le Néant.

(Opposé à sensibilité) 3) Sensibilité : Aptitude d'un être à éprouver des sensations. Disposition à être ému de compassion, de pitié, de tendresse. Il y a là un non-sens, une contradiction ! Pour comprendre et reconnaître un sentiment, nous avons besoin de l'intellect. Un sentiment peut exister sans l'intellect, oui mais... Comment l'exprimer, le définir, le revendiquer ? Comment expliquer un vague à l'âme, un tremblement dans la voix, le rouge qui monte au front, les larmes aux yeux ? Seuls les

Ce document a été fabriqué par PDFmail (Copyright RTE Multimedia) http://www.pdfmail.com APPROCHE CYCLIQUE DE LA CROISSANCE Introduction : Les fluctuations du taux de croissance de l'activité économique semblent présenter selon un schéma identifiable sous le terme de "cycle économique" aux caractéristiques clairement définies et donc la périodicité varie dans le temps selon un rythme relativement régulier. Une analyse plus fine de l'évolution de l'activité économique sur une longue période

l’acquis. Par la culture, nous ne nous contentons pas de suivre notre instinct, nous contrôlons nos pulsions. La culture nous permet aussi d’adapter la nature à nos besoins, elle est synonyme d’habilité, de compétence. Celle-ci nous inculque des sentiments, et nous rend compréhensif. Il sera alors légitime de nous demander : La culture nous humanise-t-elle ou au contraire nous rend-t-elle plus cruel ? Dans un premier temps, nous étudierons l’hypothèse que la culture nous humanise, dans un second temps

Tout action, sentiment, sensation, se rapporte à un je central qui s’attribue ces facteurs ; bien qu’il soit dénué de toute réalité d’existence effective, il se définit et se fortifie grâce à ces actions, il fabrique des pensés et les fait tourner incessamment ; cet être maléfique, ce fantôme, se nourrit de ses pensées et de ses illusions, il a besoin de voyages et aventures, de sorties et de promotion sociale, il est une énergie qui s’épuise après une période d’activité. Le petit je ignore tout

l’heure de la mondialisation, on cherche à fabriquer de l’identique, des clones, des robots interchangeables. Pour que le groupe soit homogène, on écrase celui qui n’est pas calibré, on annihile toute spécificité, qu’elle soit de caractère, de comportement, de sexe, de race… Formater les individus est une façon de les contrôler. Le harcèlement moral est donc un des moyens d’imposer la logique du groupe. L’envie, la jalousie, la rivalité. Les sentiments de jalousie peuvent apparaître entre collègues