La Fable Un Recit Plaisant

Ce corpus est constitué de trois apologues, écrits à des siècles différents. Le premier est une fable écrite au XIIIème siècle par un anonyme, puis traduite en prose par G. Rouger. Elle se nomme «  Le prud’homme qui sauva son compère ». La seconde intitulée «  L’huitre et les plaideurs » fut écrite par Jean de la Fontaine en 1678. Enfin, le troisième est un conte philosophique, extrait du chapitre 6 du roman Zadig écrit par Voltaire en 1747. Les dénominateurs communs à ces 3 textes sont la

est célèbre pour ses fables, récits brefs et plaisants qui ont pour but de plaire et instruire« Le pouvoir des fables » se démarque des autres car elle n’évoque pas des animaux à qui il donne des caractéristiques étant propres aux humains, ce que nous appelons plus communément : l'antropomorfisme. Donc ici, pas d'animaux présents, juste une dédicace flatteuse à un ambassadeur non fictifEn 1678 , La Fontaine publie le pouvoir des fables dans le livre 8 , c’est la fable 4Elle est adressée à Mr de Barillon

transformer la fable populaire, d’en faire un véritable genre poétique en la mettant en beau style et en beaux vers. Ainsi, dans son recueil Phaedri Augusti Fabulae Aesopiar , il entreprend de réécrire en sénaires iambiques les œuvres du fabuliste grec Ésope, dont les dialogues prosaïques sont jugés secs et langoureux. Comme il l’écrit dans le prologue de son premier livre de Fables, son entreprise

supériorité de physique l'emporte sur l'intelligence II - Interprétation de la morale 1) Animaux personnifiés 2) Dénonciation de la justice de Louis XIV En quoi ce texte est-il un apologue ? I - Une fable complète, l'Art de la Fable 1) Fable courte (28 vers) 2) Plaisante (par le récit) 3) Instructive (par la morale) II - Une morale simple/explicite du cas particulier au cas général 1) Tout le monde peut la comprendre 2) Personnages représentatifs de la société La fontaine est-il

La Fontaine donne ses lettres de noblesse à la fable, genre datant de l’antiquité grecque et méprisé car peu prestigieux. Il s’inscrit dans la volonté moraliste du classicisme, courant majeur sous Louis XIV, tout en veillant à divertir son lecteur. Le premier recueil de ses Fables, qui regroupe les livre I à VI, est écrit à l’intention du Dauphin alors âgé de 6 ans. Publié en 1668, il rencontre un très grand succès. Bien que la plupart des fables qu’il contient mettent en scène des animaux et sont

L'argumentation indirecte vise comme l'argumentation directe mais elle ne prend pas la voie directe elle passe par des récits fictifs divertissent ,plaisent comme l'apologue. L'apologue est un discours narratif démonstratif a visée argumentatif indirecte,rédigé en vers ou en prose qui renferme des enseignements,dont on tire une morale pratique. Il existe plusieurs formes d'apologues comme la fable,le fabliau,la parabole,le conte philosophe,l'utopie... . L'analogue est une forme d'argumentation indirecte qui

le dialogue de l’article Liberté de penser offre cette possibilité. – Le dialogue présente l’agrément et la variété propres au théâtre : la personnalité de chaque personnage transparaît dans sa façon de s’exprimer, ce qui complète de façon plaisante ce qui pourrait être un aride exposé d’idées. Les Fables de La Fontaine sont les illustrations de cet aspect. – En répartissant la parole entre plusieurs personnages, on peut espérer se protéger de la censure puisque les thèses défendues ou combattues

structure et une intrigue relativement simple. Le lecteur doit pouvoir tirer aisément une leçon du récit : l’auteur ne cherche donc pas à brouiller les pistes. Par sa brièveté, l’apologue peut se rapprocher de la pointe, trait d’esprit concis, recherché, qui termine de manière plaisante, une anecdote, un sonnet.. Tout d’abord, les apologues mettent en scène des formes différentes. A commencer par la fable, qui grâce à la mise en scène d’animaux, reflètent les attitudes et les caractères des hommes.

 Les fables, par leurs qualités, sont bien destinées aux enfants. En effet, elles ont une apparence simple, amusante, qui permet de faire étudier l’enfant en le captivant. La fable s’inscrit souvent dans un cadre merveilleux. Elle rend vivant des objets inanimés comme « Le Cierge » (Livre IX, fable 12) victime de sa trop vive curiosité, et dote les animaux de la parole. Ces derniers se querellent, se lamentent, et qui ont très souvent des manières proches de celles des hommes. Ainsi dans « Le

L’APOLOGUE : Def : Désigne cour récit, vers ou prose, racontant histoire comportant enseignement ou morale. C’est un texte narratif (voir discours narratif) mais aussi texte didactique (pédagogique) Spécificité de mêler les deux discours. *Narration à l’argumentation : Portée didactique repose caractéristiques -Choix des personnages. Animaux, végétaux ou humains. Représentatif catégories ou comportements. Cela permet une généralisation et assimilation. Personnage familiers, rappellent situations