La Fable Un Recit Plaisant

fables. Connu surtout pour ses fables, il a en réalité pratiqué tous les genres littéraires. Concernant l’œuvre il faut savoir que au XVIIe siècles la fable se réduisait à une brève anecdote, plutôt austère. La Fontaine va ressusciter ce genre, en l’étoffant et en l’animant pour qu’il prenne l’allure d’une petite comédie. Ici le texte, première fable de la deuxième série de livres, «  Les animaux malades de la Peste » fait assister le lecteur à une décision politique : il s’agit de trouver un « bouc

de la fable « Le loup et le chien ». La fable est une forme d’apologue, qui comporte souvent un récit précédé ou suivi d’une morale. Les plus célèbres sont celles de Jean de La Fontaine, auteur du XVIIe siècle, qui connut un immense succès, sans doute par que ses fables répondaient à la grande doctrine du classicisme « plaire et instruire ». Dans « le loup et le chien », extrait du livre I des Fables publié en 1668, nous ne trouvons pourtant aucune morale explicite. En effet, cette fable est composé

contradiction entre les deux objectifs, celui du conteur pour le plaisir (qui lutte contre l’ennui) et celui du moralisateur qui donne une leçon morale (peu être vu comme « ennuyeux »). Or ce sujet vient de la théorie exposée par La Fontaine dans la fable « le pâtre et le lion » notamment = la relire ! = « conter pour conter me semble peu d’affaire » ; mais aussi « une morale nue apporte de l’ennui ». La Fontaine refuse d’être un « moralisateur » (souvenez-vous qu’il est « libre penseur », « libertin

IDEES POUR COMMENTAIRE « ANIMAUX MALADES DE LA PESTE » Problématique : Comment JDLF à travers un récit aux apparences ludiques et plaisantes parvient-il à dénoncer les défauts des hommes ? / à dresser une satire sociale ? I. Récit court et plaisant 1) Qui suscite le plaisir du lecteur (animaux qui parlent=ludique, rimes=musicalité, ref à mythologie) 2) Structure simple (histoire qui tient sur 64 vers) 3) Mais riche : variation ponctuation, vers (alexandrins, octosyllabes), rimes, césures

objectif il va reprendre un genre antique utilisé par Esope et Phèdre, celui de la fable. Cet extrait est une de ces fables, un genre relevant de manière plus générale de l’apologue, un court récit ici en vers dont on tire un enseignement moral. Intitulé « Les animaux malades de la peste », elle fait partie du livre 7 situé dans le second recueil des Fables écrit par La Fontaine entre 1678 et 1679. Le thème de cette fable vient d’une vieille tradition du Moyen-âge et existait aussi dans la légende orientale

d’introduction : Problématique : comment un récit d’apparence très simple peut-il véhiculer des messages complexes ? Fable à la morale implicite sur les liens qu’entretiennent l’argent et le bonheur. Argumentation indirecte dont la force repose sur le contraste entre les deux personnages et le jeu des valeurs mis en scène dans la fable. Genre de l’apologue : récit bref à visée argumentative et dont les éléments ont une portée allégorique. UN RECIT PLAISANT des personnages stylisés et contrastés

plupart mettant en scène des animaux et contenant une morale. Ici, nous étudions la fable 5 du livre I, Le Loup et Le Chien. Elle prouve de façon implicite mais claire, l'importance de la liberté à travers la rencontre d'un loup affamé et d'un chien bien nourri. Nous réfléchirons sur le fait que c'est un récit plaisant puis nous enchaînerons avec une analyse du comportement pour finir avec l'enseignement moral de cet fable. Dès la première lecture, nous pouvons constater que c'est une confrontation

certains récits orientaux. Le but des fables est de fournir des éléments de réflexion. Le récepteur des visées didactiques est le dauphin du roi, c’est donc à un enfant appelé à gouverner plus tard que La Fontaine entend, grâce au monde animal, fournir une vision sur la morale, la justice. Cette dimension morale est marquée dans les premiers livres, qui comme « Caractère » ont connu des rééditions successives. Les « derniers livres » comportent une dimension plus philosophique comme la fable de La Jeune

Introduction : Un apologue est un récit dont le but est de délivrer un message et faire réfléchir le lecteur. Ce genre littéraire permettant de divertir et d’enseigner à la fois était très utilisé par les écrivains des lumières pour critiquer la pauvreté et les institutions tout en contournant la censure puisque ce genre emploie l’argumentation indirecte avec des récits fictifs. Il existe plusieurs formes d’apologues : l’utopie, le conte philosophique et la fable. C’est cette dernière que nous allons

I / L’apologue, dans un sens, est une forme d’argumentation efficace. 1) Les avantages de la fiction =>plaire au lecteur, c’est un récit simple et naturel. court et plaisant L’apologue, bref récit imagé illustrant une morale, est pratiqué par de nombreux auteurs soucieux de convaincre leurs lecteurs en recourant à cette forme littéraire plaisante et efficace. La Fontaine y voit par exemple le moyen d’instruire sans lasser : « Une morale nue apporte de l‘ennui ; le conte fait passer le précepte