La Fable Plaire Instruire

cour en conseillers foisonne ; Est-il besoin d’exécuter, l’on ne rencontre plus personne. » Jean de La Fontaine Premier Recueil (1668) : « L'apologue est composé de deux parties, dont on peut appeler l'une le Corps, l'autre l'Ame. Le Corps est la fable ; l'Ame, la moralité. » Synthèse établie par D-A Carlier Citations sur L’argumentation 2/4 La Fontaine, préface des Fables (1668) : « Tout cela se rencontre aux fables que nous devons à Ésope. L’apparence en est puérile, je le confesse ; mais ces

beauté. Une fable est un récit court, en vers ou en prose, qui illustre une morale implicite ou explicite. La Fontaine, grande figure du classicisme, remet au goût du jour le genre de la Fable au XVIIème siècle, en s’inspirant des Anciens, notamment d’Esope et de Phèdre. Il utilise souvent le monde animalier pour dénoncer les injustices de son temps. La forme de la fable correspond parfaitement à l’idéal classique de brièveté, et du « plaire et instruire ». Cette fable nous conte

« Le Chat, la Belette et le petit Lapin », Jean de La Fontaine Fable XV, livre sept , page 228 . I. LA COMPOSITION DE LA FABLE 1. Distinguer l’histoire et la morale Histoire : v1 à 45 : temps du récit au passé (passé simple, imparfait, passé antérieur, présent de narration) Morale : v46 et 47 : Présent de vérité générale. La distinction se fait également par l’emploi des temps verbaux. Typographiquement : un blanc typographique met en valeur la morale. 2. Résumer l’histoire et préciser

comprendre le contraire de ce qui est énoncé) IV/ L’argumentation au XVIIe et au XVIIIe siècle A) L’argumentation au XVIIe siècle · La doctrine classique vise à « instruire et plaire ». On privilégie l’argumentation indirecte. · Apologue : récit plaisant dans lequel l’auteur distille une morale au lecteur. La fable est une forme possible de l’apologue. 1- Les Fables de la Fontaine Il écrit selon la doctrine classique de l’imitation. Il imprime à ses fables un style qui lui est

du genre de la fable ? 2) Citez des auteurs anciens à l'origine de ce genre. 3) De quels auteurs s'inspire La Fontaine ? 4) Comment définir le genre de la fable ? l’apologue ? 5) Comment la Fontaine définit-il ses fables ? (Fable VI,1) 6) Quels buts La Fontaine donne-t-il à ses fables ? ? 7) Comment évolue le genre de la fable d’Esope à Anouilh ? (appui sur le groupement du « Chêne et le Roseau » )?` 8) Qu’ apporté La Fontaine de plus au genre de la fable ? 9) Quels

Etudions d’abord la vocation didactique de cette fable. Cette fable assume son côté donneur de leçon et se veut à la fois démonstrative,  sérieuse, et universelle. La fable veut éduquer et pour cela, elle n’hésite pas à mettre en relief, en bonne place et sans ambigüité sa morale. Contrairement à d’autres fables qui jouent davantage sur l’implicite (comme « La Cigale et la fourmi » ou bien encore « la jeune veuve ») le lecteur n’a ici pas à deviner mais juste à lire, au moment conclusif, la morale

amputer la fable de sa morale ? N’est-ce-pas dénaturer l’apologue et le ravaler au rang de simple anecdote ? La fable est surement un des types d'apologues les plus populaires et accessibles à tous ainsi que celui qui possède l'argumentation la plus efficace. Elle se compose généralement d'un récit et d'une morale, porteuse d'un message et destinée à faire réfléchir. Pourtant, de nos jours, l'intérêt pour cette morale semble se perdre. Mais, peu-ton intéresser seulement au récit de la fable sans

la première fable du 7°livre qui inaugure le second recueil publié en 1678. Ce dernier est dédié à Madame de Montespan, maîtresse de Louis XIV.                                                                                   Les livres 7 à 12 présentent des fables plus amples (le 12° a été édité en 1693) que celles du premier recueil composé en 1668 à l'intention d'un enfant, le Dauphin. Comme toute fable, elle allie le récit à l'enseignement (docere et placere=instruire et plaire). Hérité de

défauts de l'homme et de la société? Vous traiterez cette question dans un développement organisé qui prendra appui sur vos lectures personnelles et sur les textes étudiés en classe. Depuis l'antiquité, beaucoup d'auteurs recourent à la fiction pour instruire et critiquiter les hommes, comme Esope et Phèdre. Puis plus tard, La Fontaine dans ses fables, ou en core Molière, dans ses pièces de théâtre. La Fontaine a déclaré "Le monde est vieux (dit-on je crois), cependant il le faut amuser encore comme un

double mission d’instruire et de plaire. Instruire, c’est-à-dire édifier un public de plus en plus nombreux en lui montrant la modèle de l’honnête Homme. Introduction : Ici nous avons une fable qui ouvre le livre VIII ; c’est une fable qui donne le ton au livre mais en même temps un traitement particulier , c’est un thème qui peut surprendre car on ne s’attend pas à un sujet comme celui-ci ; c’est un sujet qui pourrait être grave. Ici , l’intérêt de la fable est de nous présenter une réflexion