La Domination masculine

Les femmes et les hommes : l’égalité dans et par les pratiques physiques et sportives I/ Des années 1920 aux années 1960. Un rapport social de domination : - Code Napoléon 1804 « La femme doit obéissance à son mari » « Les personnes privées de droits sont les enfants mineurs, les femmes mariées, les criminels et les débiles mentaux ». Société patriarcale. Quelques évolutions (1920 1940) : - 1920 La garçonne (milieu favorisé) : une image de la femme sexuellement affranchie

théories à l’heure actuelle la plus efficace pour comprendre de manière intelligible la réalité. C’est une théorie qui 'efforce d'identifier les pièges les plus courants qui invitent au sens commun : piège de la domination symbolique, adhésion spontanée, au sens commun. La domination symbolique est l’idée que l’on peut facilement tomber dans le piège d’estimer que notre façon de voir le monde est la vraie, la seule. Bourdieu dit la même chose qu’Elias, cette pensée est une invitation à la déconstruction

c'est-à-dire 1945, un an après le début de la « grande noirceur ». À partir de cette assise historique, il deviendra évident, pour les lecteurs et lectrices perspicaces, qu’il se dégage de ce texte une constante : la domination que subissent les Canadiens-Français de cette époque ; une domination qui prend plusieurs visages; parfois collectifs, parfois individuels et qui s’exerce à plusieurs niveaux. Ainsi—tout en filigrane—, verra-t-on à l’œuvre, dans le con-texte social de la « grande noirceur » et d’une

l’intérieur du Parlement. En effet, lors des crises politiques, il s’agit de moderniser la politique en montrant que le genre féminin peut être une ressource essentielle. Les femmes n’étaient pas présentes dans le champ politique dû à la domination masculine sous la Vème République. Comment les femmes ont-elle fait pour combattre leur exclusion politique, être moins en situation de dominées et, dans un contexte de crise du métier d’homme politique féminiser la politique doublement ? Nous verrons

problématique qui décide de la façon de considérer les identités historiques ou communautaires, une question  centrale dans la démocratie contemporaine.       Que le genre puisse être distingué du sexe entraine la potentialité de leur désarticulation. Dès lors le « masculin »  n'est plus entraîné par le « mâle » et le féminin par le « femelle ». En français, le sexe ‐ à supposer qu'il n'y en ait que  deux, ce qui est aujourd'hui contesté ‐ entraîne le genre, mais il est évident que, depuis les années 1970, et sans 

qui laisse bien voir cette asymétrie. Mais selon Tabet il ne faut pas en tirer une loi universelle car ce n’est pas « naturelle » et donc ce n’est pas immuable. Elle démontre que la sexualité des femmes est au centre de rapports de pouvoir et de domination des hommes sur les femmes et repose sur l’inégalité entre les sexes. Par la division sexuelle du travail, les femmes ont un accès inégalitaire aux ressources par rapport aux hommes et elles sont donc dépendantes de l’activité des hommes. C’est

deux qui résument bien sur quoi reposent cette violence et ses diverses expressions. - La violence contre les femmes est la manifestation de rapports de force historiquement inégaux entre les femmes et les hommes qui ont abouti à la domination exercée par les hommes sur les femmes et à la discrimination à leur égard, empêché leur pleine promotion. La violence contre les femmes est le mécanisme social fondamental et extrême qui contraint les femmes à une position de subordination par rapport

mondiale : A/ Les conséquences humaines : ← Les victimes : 40 millions de morts, plus de la moitié sont des civiles. Conséquences sur la démographie : ← Enorme déséquilibre ← Baisse importante de la population jeune et masculine ← Les déplacements de population : Suite au conflit les frontières ont été modifié, prés de 20 millions de personne ont été déplacé. B/ Les conséquences économique et Européenne : = Europe anéantie ← Les effets immédiats :

odieusement l’incarnation de la volonté de puissance, c’est parce qu’il n’a pas d’éthique : il est tellement dénué de sens moral qu’il ne voit même pas en quoi son comportement est choquant. Sa relation amoureuse est elle-même posée sur le monde de domination : Il ne voit dans les sentiments de Valérie qu’intérêt : « Il savait pourtant qu’elle n’avait pas de tendresse pour lui. Il devinait qu’il flattait sa vanité », telle est l’interprétation de Ferral. Mais Ferral se trompe. En effet, le narrateur

de texte : Le deuxième sexe, tome II, Simone de Beauvoir Intro : La représentation de soi dans la société est un élément majeur du développement personnel d'un individu. Elle diffère selon certains critères dont le sexe. Les comportements masculins et féminins ne répondent pas aux mèmes attentes. Mais cette différentiation est elle inée ? Nait-on en sachant les comportements à adopter selon notre sexe ? Les inégalités qui s'en suivent, subies par les femmes sont-elles alors justifiables?