La Diversité Des Cultures Est Elle Contraignante Ou Libératrice

Terminale 2013-2014 LA CULTURE Nom : …………………… Prénom : …………………… www.philocelo.fr 1 Plan du cours NATURE ET CULTURE DEFINITIONS Les différents sens de « Nature » et « Culture » ü QU’EST-CE QUE L’HOMME E. Morin F. Jacob le culturel et le biologique Rousseau et la perfectibilité Camus, Sisyphe ü ü ü ü 2 Nature & Culture 1 COMMENT PASSE-T-ON DE LA NATURE A LA CULTURE ? ü Levi-Strauss et la prohibition de l’inceste 3 LA CULTURE NOUS REND-ELLE MEILLEUR

philosophie remet en cause l'ordre établie est-elle pour autant dangereuse ? (Philosophie) Ou puis-je trouver des renseignements sur le mythe d'Adam et Eve en philosophie ou encore quel est le meilleur mythe a travailler en philosophie ? (Philosophie) La diversité des philosophies est-elle un atout pour la philosophie ? La philosophie se situe-t-elle entre le mythe et la science? Les sciences nous dispensent-elles de philosopher? (Philosophie) " Le monde ne vaut que par les extrêmes et ne dure que par les

avec l'Asie et une notion historique aux frontières changeantes" Métaphore entre l'Europe et la Grèce Antique "unita multiplex" (les cités grecques étaient très indépendantes mais elles formaient une communauté d'idée ). Paradoxe : Unité mais diversité La naissance de l'Europe s'explique par la présence de mouvements convergents et opposés, c'est une entité complexe (complexus : tissé ensemble), les mouvements antagoniques ont participé à sa préservation. Succès de l'Europe ? Une atomisation

réactions : travail éthique, amélioration des conditions de travail, classement des entreprises où il fait bon travailler, formation continue, etc. (-) open-space comme cadre de travail sans intimité; externalisation du travail comme renoncement à la diversité des tâches au sein de l’entreprise. 10. L’analyse du travail comme la meilleure police Le labeur est une police qui discipline, arrache à la réflexion et à la pensée. Sécurité garantie. « Dans la glorification du « travail », dans les infatigables

représenter » soi-même. Elle constitue notre dignité mais aussi notre douleur. Tout d’abord la conscience implique la responsabilité de nos actes. J’ai conscience de mon unité malgré la diversité de mes pensées ou de mes sentiments : le fait de dire « Je » en témoigne, et ceci dans toutes les langues ou cultures, même si ce mot n’existe pas séparément : « Posséder le « Je » dans sa représentation : ce pouvoir, écrit Kant, élève infiniment l’homme au-dessus de tous les êtres vivants sur la terre.

« on n’en finit jamais de devenir un homme ». Pour définir l’éducation, Reboul insiste sur les notions élever-enseigner-former, puis étudie l’éducation entre nature et culture pour s’interroger enfin sur les fins de l’éducation. Selon lui, « la fin de l’éducation est de permettre à chacun d’accomplir sa nature au sein d’une culture qui soit vraiment humaine. Si cette fin paraît utopique, elle est la seule qui préserve l’éducation de laisser-faire comme de l’endoctrinement »P25 La philosophie de

chances de l'individu dont il perçoit avec acuité la tendance à surestimer le poids de la société pour mieux justifier sa faiblesse et son inertie. Avec le développement des démocraties, le citoyen glissera bientôt de l'enthousiasme pour la société libératrice aux litanies plaintives : "C'est la faute à la société !" Car l'individualisme a décidément pour corrélat le sentiment d'une omnipotence du tout social : "A mesure que les conditions s'égalisent chez un peuple, les individus paraissent plus petits

échapper aux critères du beau et du laid ? Peut-on reprocher a une oeuvre d'art de ne rien vouloir dire ? (Art) L'horrible est beau . (Art) L'art et la distraction s'excluent ils ? (Art) L'art est-il divertissant ? (L'art) "Tous les goûts sont dans la culture ", qu 'en pensez vous? (Goût) A quels besoins l'art peut-il répondre? (Art) Peut définir le génie ? (Art) Pourquoi respecte-t-on les oeuvres d'art? (Art) L'art nous détourne-t-il de la liberté? (Art) L'art est-il mort ? (Art) Nos préférences sont-elles

coopération fructueuse entre le Ministère de la Culture Marocain et l’UNESCO grâce au généreux soutien financier du Gouvernement du Japon. Cet ouvrage s’adresse aux élèves et étudiants de Marrakech et plus généralement du Maroc. Il a pour ambition de contribuer à mieux faire connaître à ces jeunes, ce patrimoine culturel qui se déploie depuis des siècles, sur la place Jemaa El Fna. Mais cette re-sensibilisation de la jeunesse marocaine à ce pan de sa culture, de plus en plus méconnu, ne peut se faire

source de financement, après les enlèvements et les impôts révolutionnaires. Toutefois l’organisation se défend de cette accusation d’association avec les narcotrafiquants, précisant que dans leurs zones d’influence, la culture de la coca est taxée sur la même base que les autres cultures. La lutte reprend plus intensément dans les années 90. Durant cette période considérée comme l’apogée du mouvement, la guérilla compte environ 12000 à 18000 combattants, dont 40% de femmes, actifs sur quelque 70 fronts