La Diphtérie

il y a une classe de grande section où on compte 26 enfants. Pour rentrer à l’école un enfant doit être propre, il doit habiter la commune et il doit être à jour dans ses vaccinations : le B.C.G (vaccination antituberculeuse) et le D.T.P (diphtérie, le tétanos, poliomyélite). Depuis peu, le BCG n’est plus obligatoire. Avant de s’inscrire à l’école il faut d’abord s’inscrire à la mairie et apporter le livret de famille, une pièce d’identité, un justificatif de domicile et un document

acheté une chienne. ” Le commerce marche mal : “ Pour faire face, surtout pas de désirs. Jamais d’apéritifs ou de bonnes boîtes sauf le dimanche. ” En 1938, la première fille des parents (sœur d’Annie, qu’elle n’a jamais connue) meurt à 7 ans de la diphtérie: “ comme les autres enfants de la Vallée, elle n’était pas vaccinée ”. De retour à Yvetot, à la sortie de la guerre, ils achètent un fonds de café-épicerie : une maison paysanne modifiée avec une grande cour et un jardin ; ils sont propriétaires

d'anticorps antiHbS pour les personnes vaccinées contre l'hépatite B après 25 ans * Examen ophtalmologique par un spécialiste si nécessaire * Examen audiométrique en cas de travail à partir d'un dictaphone 8.3. VACCINATIONS * Hépatite B, diphtérie, tétanos, poliomyélite : pour les personnels exposés à des risques de contamination des établissements relevant de la loi hospitalière * Rubéole chez la femme jeune conseillée 8.4. SUIVI POST PROFESSIONNEL * Néant 8.5. DOSSIER MEDICAL

philosophie, mais reste muet à l’oral : recalé. Il est mobilisé dans l’infanterie à Falaise, puis au G.Q.G. des Armées françaises à Metz. Il lit Nietzsche (La Naissance de la tragédie). En 1919, il suit le G.Q.G. à Chantilly, et contracte la diphtérie. Il passe sa convalescence dans la villa d’Henry Bataille, où il écrit la Promenade dans nos serres, premier texte où apparaît le matérialisme logique. Å Strasbourg, avec Gabriel Audisio, Jean Hytier, il prépare l’École normale supérieure : admissible

Cette création témoigne d’une prise en compte des problèmes de santé publique mis en lumière par la guerre. Sous on égide, on construit, entre les 2 guerres, une politique de santé publique où la prévention a toute sa place (vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la tuberculose, surveillance de la santé des enfants avec l’instauration du carnet de santé en 1942, création des centres de lutte contre le cancer). La Constitution française de 1946 réaffirme ce devoir de l’Etat de protection de la

établissements publics que privés, qu'en cas du retour en classe d'un élève ayant contracté l'une des maladies contagieuses figurant au tableau ci-joint. Durées d'éviction pour maladies contagieuses : Coqueluche 30 jours après les premières quintes Diphtérie 30 jours après guérison clinique Méningite cérébro-spinale réadmission après guérison Poliomyélite 30 jours après le début de la maladie Streptococcies 15 jours si certificat attestant traitement antibiotique hémolytiques du groupe A Rougeole jusqu'à

naissance et la narration de cette période-là n’est pas donc fondée sur ses propres souvenirs, mais sur les souvenirs de sa mère qu’elle nous passe. Annie Ernaux nous raconte par exemple que ses parents avaient déjà une fille qui est morte de la diphtérie avant qu’elle naisse. « Ma mère racontait en s’essuyant les yeux avec un chiffon sorti de sa blouse, “elle est morte à sept ans, comme une petite sainte. ” » (P, p. 47) Cet événement a beaucoup influencé la vie de l’auteur, parce qu’il se sent toujours

une chienne. ” Le commerce marche mal : “ Pour faire face, surtout pas de désirs. Jamais d’apéritifs ou de bonnes boîtes sauf le dimanche. ” En 1938, la première fille des parents (soeur d’Annie, qu’elle n’a jamais connue) meurt à 7 ans de la diphtérie: “ comme les autres enfants de la Vallée, elle n’était pas vaccinée ”. De retour à Yvetot, à la sortie de la guerre, ils achètent un fonds de café-épicerie : une maison paysanne modifiée avec une grande cour et un jardin ; ils sont propriétaires

obligatoire était celui contre la variole .Ce ne fut efficace qu’après la seconde guerre mondiale, car les enfants non vaccinées n’était pas autorisé à s’inscrire dans des établissements scolaire. A l’heure actuelle quatre vaccins sont obligatoire (BCG*, Diphtérie*, Tétanos*, et Polio*) pour les enfants er vérifié lors de leur scolarité. En ce qui concerne les adultes, seuls les professionnels de santé sont soumis a une obligation vaccinale particulière .C’est le cas du vaccin contre le cancer du col de l’utérus

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