La Danse macabre

souvenir= métaphore= Sorte de pâté chaud composé d'andouillettes, de hachis de veau. viandes associées à la mort (morts nés, ossuaires, danse macabre mortes) V34pensées mortes depuis des millénaires=hyperbole V35 ont le goût fade des mammouths gelés V36 les os viennent du cimetière Assonance en O «os» «songe» «ossuaire» V37 Il voit le festin comme une danse macabre dans sa tête V38 personnification des mets= ils crient V39 Sacre à Dieu = Évocation de la vie personnelle de Max Jacob car Juif de

Mourez donc les premiers, nous vous cédons le pas Mais de grâce, morbleu! laissez vivre les autres! La vie est à peu près leur seul luxe ici bas Car, enfin, la Camarde est assez vigilante Elle n'a pas besoin qu'on lui tienne la faux Plus de danse macabre autour des échafauds! Mourrons pour des idées, d'accord, mais de mort lente D'accord, mais de mort lente Mourir pour des idées, l'idée est excellente Moi j'ai failli mourir de ne l'avoir pas eu Car tous ceux qui l'avaient, multitude accablante

pas le mythe en introduisant 2 nouveaux thèmes : l’amour de Salomé pour Jean-Baptiste et sa folie. I) Un mythe déformé 1. Les éléments traditionnels 2. Mais des distorsions 3. Le jeu de la composition II) Le mythe de la danse 1) Une écriture qui limite la danse 2) Vers le paroxysme III) Amour et cruauté 1) Une mise en scène comme au théâtre 2) Une jeune fille qui souffre 3) Une mascarade I) Un mythe déformé Quand on a lu ce poème, le poème est ardu car aucune histoire ne

cette époque, qui se caractérise par un vif intérêt pour les civilisations et cultures orientale. Le passage à étudier donne à lire comment Hérodias, animée par une vengeance morbide, cherche à travers la danse de sa fille Salomé à séduire Antipas pour réaliser à son dessein macabre. Comment Flaubert réécrit – t-il le mythe de la femme fatale ? Nous allons voir dans un premier temps comment la description est orientalisée avant de voir comment Salomé incarne la figure de la femme

aux XIVème et XVème siècles une culture du macabre. On la retrouve tout d’abord dans la peinture. Celle-ci représente la mort comme un squelette portant une robe ou une toge noire avec une capuche, et éventuellement une grande faux. La Mort devient une allégorie, et est alors connue sous le nom de « la Grande Faucheuse ». Ce symbole d'origine italienne est très présent durant tout le Moyen Âge et à la Renaissance, dans les peintures apocalyptiques et macabres comme celles de Pieter Brueghel l'Ancien

gueules-cassées sont rafistolés , recollés avec des prothèses ou des machines : ce sont des bêtes de foire . Le jeu de cartes est tourné vers nous : les jeux sont faits . Les personnages dansant gravés sur le crâne du personnage du milieu évoquent une danse macabre , un souvenir . Lumière : C'est une lumière en clair/obscur . La mort est présente dans la scène on observe dans la lampe un crane la représentant . | L'INTERPRETATION ( le connoté ) Les mutilations renvoient bien sûr à la violence subie

d’attente + accélération du rythme dans le dernier paragraphe (v. procédé de juxtaposition aux vers 20-21) : exprime un affolement + déstructuration de la syntaxe / rythme du vers (cf contre-rejet du vers 18 • Des êtres, animaux fantastiques = une danse macabre : personnifications et hypotyposes De nombreuses images, comparaisons et allégories font basculer le lecteur vers une atmosphère fantastique, angoissante. Au vers 15, par exemple, " esprits errants " est une image dépréciative qui s'y rapporte

désenchanté 1- Le portrait physique Le roi est présenté comme quelqu'un de malade : "jeune malade dont le visage ne peut être égayé" (v.8), "maladie incurable (v.13-14). Il y a comme quelque chose de pourri en lui. On passe du morbide (malade) au macabre : malade (v.8) – squelette (v.12) – cadavre (v.17). On peut percevoir la froideur de la mort au vers 17. 2- Le portrait moral L'ennui est le monstre le plus terrible du Spleen. Il emploie des tournures négatives telles que "ne plus trouver

et Idéal ». Cycle consacré à Jeanne Duval. Le poème est le numéro XXVII (27), entre « Le Serpent qui danse » (évoquant le charme de la beauté, l’idéal) et « de profondis clamavi » (évoquant le spleen). Sujet : Le poème décrit une promenade amoureuse interrompue par la découverte d’un cadavre en décomposition. Inspiration de la poésie amoureuse de la Pléiade, et du réalisme macabre de la poésie baroque.

signification pour un romain de l’Antiquité (humilité, carpe diem d’Horace, influencé par épicurisme et stoïcisme) que pour un chrétien quelques siècles plus tard (salut de l’âme, peur de l’Enfer). ❖ Bien savoir ce que sont les Vanités et la Danse macabre ❖ Grande influence de Théophile Gautier (romantique et parnassien) et des Grotesques : représentations picturales représentant des êtres hybrides composés des divers éléments naturels dont l’origine est antique et qui furent très en vogue