La Dame du lac

propose une réflexion sur l’écriture. Han d’Islande : parodie du roman noir (gothique) Notre Dame de Paris ; Quatre-vingt-treize : roman historique Les Misérables : domaine de l’engagement social Poésie * Alfred de Vigny : courant passéiste conservateur. Le cor * Alphonse de Lamartine : progressiste. 1e poète romantique français : Méditations poétiques. Son christianisme est social. Dans Le lac il exprime une nostalgie en accord avec une nature compatissante. * Marceline Desbordes

élu était englouti par la terre ; c'est pourquoi cette place s'appelait le Siège Périlleux. Il semble que cet ajout où seul le plus pur d'entre eux peut s'asseoir est un rajout chrétien tardif ; en effet dans la légende celtique ce serait Lancelot du Lac qui découvre le Graalééé[réf. nécessaire], mais d'un point de vue chrétien, sa relation adultère avec Guenièvre, l'épouse du roi Arthur, le rend impur. C'est donc Galahad, qui trouvera le Graal, le rapportera à la Table ronde et s'assiera dans le Siège

s'entassait dans le plus beau désordre. Chaque semaine, j'allais dans cette maison un jour entier, seule pour être bien tranquille, et je commençais à tout arranger. J'en éprouvais un vif plaisir. Je mis aux murs d'une chambre les images de la « La Dame à la Licorne » avec son miroir, sa tente dressée et le petit lièvre blanc aux aguets dans la prairie pleine de fleurs. Le fond rougeâtre, parfois tirant sur la rose, de cette tapisserie me plaisait à tel point que j'avais fait recouvrir d'un tissu

[footnoteRef:11]. »[footnoteRef:12] [9: Auteur de Corinne en 1807 (cf. manuel, p. 142). ] [10: Rousseau, en 1777, dans la Cinquième Promenade des Rêveries du promeneur solitaire (publiées en 1782) écrivait déjà : « Les rives du lac de Bienne sont plus sauvages et romantiques que celles du lac de Genève ». (Nous soulignons dans la citation.)] [11: Aspect mystique (= relatif au mystère, à une croyance cachée, supérieure à la raison, dans le domaine religieux, cf. Le Petit Robert). ] [12: Cf. Dossier de Frankenstein

grande délicatesse. Les sourcils ont une implantation a quelques endroits plus épais qu’a d’autres selon la disposition des pores, le nez aux narines roses et délicates et le battement des veines au creux de sa gorge. On prêtent que la Joconde est une dame Florentine faite d’après nature. On dit aussi que Mona Lisa serait une jeune maman d’où le voile sur la tète en imaginant que ses cheveux seraient attachés dans le dos comme les jeunes maman de l’époque, et surement le premier sourire peint sur un

patriotisme des citoyens Français. Description : Huile sur toile d' Eugène Delacroix. Oeuvre figurative de dimmensions : 260x325 cm. La scène se passe sur une barricade dans la rue à Paris → on peut apercevoir la cathédrale Notre Dame de la ville ; immeubles typiques. On obsèrve 3 plans : Au premier plan, on voit les morts de l’insurrection. Il nous montre la violence des combats (on peut imaginer les explosions et les fusillades). Au deuxième plan, le peuple parisien ;

en 1712 a Genève, qui, à le temps, était une république independente. Il est né dans une famille protestante, mais il était orphelin de mère, donc il a été enlevé dans une pension. Il a été accueilli par plusieurs familles, toujours riches, mais une dame en particulier. Madame de Warens a été très importante parce que elle lui a educé à la foi catholique, mais il a choisi une réligion personnelle et il se défine panthéiste (Dieux est dans tous les lieux, surtout dans la nature). A 28 (1740) ans il

mariage, ni à sa robe blanche, même si elle est en deuil.  Le beau temps d’avant Date : Octobre 1919 Lieu : Paris Evènements : Mathilde rencontre la femme de « Six-sous », Francis Gaignard. Elle a écrit à la femme de Cet Homme (Benoit Notre-Dame) mais elle reste introuvable. Par le curé de leur village, Mathilde apprend qu’elle est partie du village avec son fils et a tout vendu. Elle reçoit une lettre de Mme Conte qui lui parle de sa filleule Valentina Emilia Maria, dite Tina, maitresse d’Ange

relâche remonté etdescendu par un double courant qui, après s'être brisé sous le perronintermédiaire, s'épandait à larges vagues sur ses deux pentes latérales, legrand escalier, dis-je, ruisselait incessamment dans la place comme unecascade dans un lac. Les cris, les rires, le trépignement de ces mille piedsfaisaient un grand bruit et une grande clameur. De temps en temps cetteclameur et ce bruit redoublaient, le courant qui poussait toute cette foulevers le grand escalier rebroussait, se troublait

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