La Création De Richesse Et Le Niveau De Vie

RICHARD Angélique Thème 2 : La création de richesses et la croissance économique 2.1. Les finalités de la croissance Chapitre 7 : Croissance et développement économique A. Les interactions entre croissance et développement 1. Les transformations de longue période de la croissance et du développement Document 1 p.88 1. Les notions de développement et de croissance ne doivent pas être confondues comme la croissance correspond

siècle la science économique L'économie politique émerge à la Renaissance et devient peu à peu autonome vis à vis de la philosophie. L'objet de l'économie politique est l'étude des besoins, de l'organisation de la production, de la circulation de richesses et de leurs répartitions au sein des sociétés humaines. Le type d'approche privilégiée en économie politique est plutôt macro sociale, contextualisée, « historique ». K. Marx s'inscrit dans cette approche et critique les auteurs d'économie politique

la croissance du PIB par habitant comme indication de l'amélioration de la richesse individuelle, assimilée au niveau de vie. La croissance est un processus fondamental des économies contemporaines, lié notamment à la révolution industrielle, à l'accès à de nouvelles ressources minérales (mines profondes) et énergétiques (charbon, pétrole, gaz, énergie nucléaire...) ainsi qu'au progrès technique[2]. Elle transforme la vie des populations dans la mesure où elle crée davantage de biens et de services

brut ). Il est mesuré « en volume » ou « à prix constants » pour corriger les effets de l'inflation. Le taux de croissance, lui, est le taux de variation du PIB. On utilise la croissance du PIB par habitant comme indication de l'amélioration du niveau de vie. Quant au développement, cet un phénomène qualitatif qui qualifie l’ensemble des transformations techniques, sociales et culturelles qui permettent l’apparition et la prolongation de la croissance économique. Il est généralement mesuré à partir

L’amélioration du niveau de vie et le développement économique 1) Le Produit Intérieur Brut, indicateur économique quantitatif, est le résultat d’une production de biens et de services marchands et non marchands, mesurée par la somme des valeurs ajoutées. Il mesure donc les richesses crées par un pays et permet de comparer les niveaux de richesses entre différents pays. Cependant étant avant tout un indicateur quantitatif, il ne permet pas de mesurer tout ce qui est qualitatif tel que le

d'une économie sur une longue période, c'est un phénomène qui est quantitatif que l'on peut mesurer avec un agrégat appelé PIB . Elle se traduit par une hausse de la productivité résultant d'innovations. La croissance économique est synonyme de création de richesse et débouche sur le développement, cependant cette relation n'est pas toujours vérifiée en effet cette dernière a aussi des limites et peut même avoir des effets contraires au développement ( dégâts environnementaux, écart au sens d'une population

croissance fournit un surplus de richesse, c’est-à-dire de valeur ajoutée à partager. Celle-ci s’accompagne généralement d’une hausse des gains de productivité dont les effets peuvent être positifs pour l’ensemble de la population. Ils peuvent conduire à une hausse du pouvoir d’achat des salariés, grâce à l’augmentation des salaires et à la diminution des prix. Les entrepreneurs peuvent également augmenter leurs profits, ce qui va encourager les investissements donc la création d’emplois à moyen terme.

de la croissance ? Fluctuations économiques, crise économique, désinflation, dépression, déflation. - s'interroger sur l'intérêt et les limites du PIB comme mesure de l'activité économique. - Montrer que le PIB ne reflète pas l'évolution du niveau de vie des populations et qu'il convient de se référer à d'autres indicateurs. - Etudier des séries longues pour procéder à des comparaisons internationales. - À partir d'une présentation simple de la fonction de production, aborder la manière dont la

mesure des richesses produite. Celles-ci correspondent à la production et son mesurées par un indicateur que l’on appel PIB. Le PIB comprend une part marchand et non marchande. PIB marchand : la composante marchande du PIB est évaluée au prix de marché, ce qui conduit à écarté les productions sans valeur monétaire (ménages chez nous). PIB non-marchand : la composante non-marchande du PIB est évaluée à son coût de production, ce qui consiste à contribuer à la production de richesse économique

(= partage) De ce fait elle est une science de la rareté. Toutefois cette rareté objective des ressources (capital, travail, nature) fait face a des besoins illimités de l’individu. C’est pourquoi l’économie s’interroge sur l’accumulation des richesses qui parfois est encouragée par l’Etat. Le point de départ est le besoin économique qui se définie comme un manque comblé par la consommation donc la production de B & S. Keynes différencie 2 catégories de besoins: Ceux qui possèdent un caractère