La Cruauté Dans Un Roi Sans Divertissement

nous verrons en quoi le théâtre peut montrer la bassesse du genre humain, dans un 2ème volet nous analyserons en quoi ce genre sert aussi à divertir le spectateur, enfin dans une 3ème partie nous nous demanderons si le théâtre n’utilise pas le divertissement pour dénoncer la noirceur de l’homme. I En quoi le théâtre montre-t-il la noirceur des hommes ? On considère le théâtre comme la métaphore de la condition humaine, il montre donc ce que l’homme peut avoir de mauvais tant dans ses préoccupations

Extrait n°2 (lecture analytique n° 6) : p. 31, « tous les tyrans » à « il est insensible » INTRODUCTION : Pblm : Comment LB fait-il la diatribe de l’usage du divertissement comme moyen d’asservir les peuples ? Annonce du plan : On verra comment l’écrivain s’appuie sur des exemples historiques pour fustiger le recours au divertissement pour contrôler les populations. On montrera enfin que derrière cette diatribe contre les tyrans, c’est aussi le peuple que LB critique en fustigeant sa lâcheté

nature une place privilégiée dans Un roi sans divertissement et force est de constater que la nature n'est pas au centre du récit, on peut même remarquer que l'évocation de la nature est quasi inexistante après la mort de M.V. Néanmoins, la chronique, s'ouvre sur la description d'un hêtre, hêtre qui joue un rôle incontestable dans l'intrigue policière et qui par ailleurs incarne, au même titre que les autres arbres qui sont décrits le thème de l'esthétique de la cruauté qui sous-tend toute la chronique

dans le village. Il est avant tout ami et complice de Langlois, mais l’on ne sait pas comment ils se sont rencontrés. Il n’a pas de nom et il est présenté par le nom de son métier. (C’est le procureur royal. Un procureur est l’avocat qui défend le roi/le gouvernement) Il a un rôle secondaire, il n’entre que pendant la seconde partie du récit: il apparait au moment ou Langlois retourne au village comme étant le lieutenant de louveterie. Physiquement, on sait qu’il a un ventre “qu’il

théâtre. => abandon du réalisme. *mimesis: imitation du réel, le théâtre n’est plus qu’une reproduction vraisemblable du réel. *Picasso: « l’art est un mensonge qui nous fait comprendre la vérité ». => Artaud et le Théâtre de la cruauté. *pour lui: cruauté psychologique nécessaire à la catharsis (purge des sentiments). *privilégie les gestes que le texte (longues didascalies), naissance des metteurs en scène, différentes interprétations des textes = pièces polysémiques. => Brecht (théâtre

personnages d’un rang élevé. La tragédie doit se présenter en cinq actes et en vers. -La comédie La comédie française du début du XVIIème siècle cherche son inspiration dans la comédie italienne et espagnole. Le public ne demande qu’un divertissement, une série de surprises et de retournements de situation propres à déchaîner le rire. Vers 1660, on se détourne de la fantaisie et de la singularité et on s’intéresse au naturel, au vraisemblable et aux analyses psychologiques. C’est ainsi que

n'aurait pas fait rire (sc. 1). » Le rire revêt différentes fonctions et significations dramatiques dans le théâtre de Molière : il correspond le plus souvent à une sanction morale du public à l’égard d’un ridicule qu’il s’agit de fustiger, non sans cruauté parfois; sont ainsi visés quelques uns des errements de l’homme considérés comme des accidents, tels que l'hypocrisie, l'avarice, ou le snobisme. Après la faillite de l’Illustre Théâtre, Molière et la famille Béjart quittèrent Paris en 1646.

conte merveilleux • le récit est à la première personne : Gulliver est le narrateur de ses voyages. •registre comique : le roi domine physiquement Gulliver car il est chez les géants •registre merveilleux : Gulliver est chez les géants qui sont des personnages merveilleux. b) des discours rapportés •La narration de ce texte est réduite : - introduit la parole du roi - organise le passage. Dans cet extrait : • 3 paragraphes de narration : -1er : Discours indirect + Discours indirect libre

Nous en venons donc au divertissement de la fable qui est donc une caractéristique de sa légèreté. La fable peut prendre une toute autre forme et jouer sur l'intertextualité. En effet, Queneau, avec sa fable « La cimaise et la fraction », utilise la méthode Oulipo, et à partir de la fable « La cigale et la fourmi » de La Fontaine, il créé une toute autre fable sans aucun sens, mais qui, grâce à la forme, véhicule de l'intertextualité. La Fable est donc un divertissement, ce qui est prouvé par

réflexion contre l'esclavage, dans le célèbre chapitre “Sur l'esclavage des nègres”. Au siècle précédent, c'est la figure du lion chez La Fontaine qui apparaît parfois comme l'image du roi, dans laquelle peut éventuellement se reconnaître Louis XIV : dans “la Génisse, la Chèvre et la Brebis en société avec le Lion”, le roi des animaux impose sa tyrannie et se présente comme le miroir discret du pouvoir abusif. Il s'octroie ainsi toutes les parts du gibier chassé, privant de nourriture ses trois associées